Page 9 | Toutes les citations de films cultes

- Tout le monde m'aime ici. Et j'aime tout l'monde. Je veux avoir la sagesse d'aimer tout le monde. Et je suis très heureux !- Alors vous y croyez à l'amour ? - Totalement ! Je crois qu'il y a une histoire d'amour pour chaque êtres humains de la planète.

Je ne sais pas si c'est maman qui avait raison ou si c'est le lieutenant Dan... Je sais pas si nous avons chacun un destin... ou si nous... si nous nous laissons porter par le hasard comme sur une brise... Mais je... je crois que c'est peut-être un peu des deux... peut-être un peu des deux arrive en même temps.

Tu verras que certaines familles de sorciers valent mieux que d'autres, Potter !

On cherche l'amour, on croit le trouver. Puis on retombe. De haut. Mieux vaut tomber que ne jamais s'élever ?

Pendant trente ans je vous ai torchés, nourris, couchés, levés, consolés, tous les trois... J'ai repassé vos chemises, lavé vos slips, surveillé vos études... Je me suis fait des monceaux de bile, je n'ai vécu que pour vous, qu'à travers vous... J'ai écouté toutes vos histoires, vos problèmes et vos chagrins, sans jamais vous emmerder avec les miens... Alors maintenant, je prends ma retraite.

Tu sais, tu es tout, Sylvia, tout ce qu'un homme peut désirer. Tu es la première femme du premier jour de la Création du monde. Tu es la mère, la soeur, l'amante, tu es le diable et tu es l'ange. Tu es la halte, le refuge dans la tempête, tu es si belle.

S'il ne me restait qu'une nuit à vivre je voudrais la passer auprès de toi.

- Pourquoi tu m'as choisi ? - Pour ton courage. - Mais je ne suis pas sans peur ? - Sans peur il n'y aurait pas de courage !

Allez, bande de macaques ! Si vous avez envie de vivre, battez-vous !

Il faut nous battre pour accomplir toutes leurs promesses. Il faut nous battre pour libérer le monde, pour renverser les frontières et les barrières raciales, pour en finir avec l'avidité, avec la haine et l'intolérance. Il faut nous battre pour construire un monde de raison, un monde où la science et le progrès mèneront tous les hommes vers le bonheur

C'est à une demi-heure d'ici. J'y suis dans dix minutes.

Chaque fois qu'un enfant dit : " Je ne crois pas aux fées ", il y a quelque part une petite fée qui meurt.

Meurs, pourriture communiste !

- Mais Lola, comment tu t'es épilée là ? - Mais maman ! - Beh quoi maman ? - Bah c'est mon corps, j'fais c'que j'veux avec ! - Ah... mais... non, enfin j'veux dire, tu va pas te transformer en actrice porno ! - Ah mais non mais maman trop pas ! C'est juste que j'aime pas les poils c'est tout ! - Mais j'espère que ceux-là personne les a vu hein ?! - Vous savez quoi, je viens dans le bain pour passer un moment en famille, et tout de suite ça devient un procès !

- L'enterrement aura lieu mardi prochain je pense. - Mardi ! Ah non... Je ne crois pas... Sinon je serais venue avec plaisir. - C'est gentil. J'espère au moins que le soleil sera de la fête, c'est plus gai, enfin moins triste.

Oh si si, prenez un chewing-gum, Émile.

C'est le plus grand moment de ta vie mec ! Et tu t'en évades !

Caroline m'a demandé ce que je te dirais si je savais que tu pouvais m'entendre. J'ai répondu : " Je sais. Je t'aime. Mon dieu, tu me manques. Et je te pardonne. "

- Le lion ne s'associe pas avec le cafard. - Quoi ? - Le lion... ne s'associe pas... avec le cafard. - Ah ouais, parce que j'avais compris " le nion n'a jamais eu de placard " !

- Voilà, cadeau... de Noël ! - Merci. - Non, je dis cadeau de Noël, parce que c'est par rapport à mon prénom. - Oui, c'est ce que j'avais compris. - Sinon y'a,... y'a aussi les boules... - De Noël...? - Oui ! ... Ohhh, oh si c'est rigolo !

D'abord il y a le désir, puis la passion, ensuite le soupçon, la jalousie, la colère, la trahison, quand l'amour va au plus offrant la confiance est impossible, et sans la confiance il n'y a pas d'amour. La jalousie, oui, la jalousie. te rendra démon.

L'humour juif c'est quand ce n'est pas drôle et que ça ne parle pas de saucisses.

- Balances moi maman sur la branche d'arbre, balances doucement le bébé rigole, balance plus fort le berceau s'envole. - Berceau. s'envole. - Je t'ai fait tomber qu'une fois, ou peut être deux fois.

Les femmes, tu peux pas vivre sans, tu peux pas vivre avec.

Ris et tout le monde rira avec toi, pleure et tu seras le seul à pleurer.

- Il fut une époque où nous nous aimions. C'était de l'amour n'est-ce pas ? Et vous me l'avez donné ce bonheur. - J'en ai encore à vous donner, le lien s'était dénoué jamais il ne s'est brisé.

J'ai soudain le sentiment étrange d'être en harmonie avec moi-même, tout est parfait en cet instant, la douceur de la lumière, ce petit parfum dans l'air, la rumeur tranquille de la ville. J'inspire profondément car la vie me parait alors si simple, qu'un élan d'amour me donne tout à coup envie d'aider l'humanité tout entière.

Qui a dit que mes rêves doivent rester juste des rêves ?

- Est-ce que je rêve ? - Non... - J'm'en doutais. Si j'rêvais y'aurait du rhum !

Dis donc toi ! On t'a jamais appris à manger la bouche fermée ? J'ai l'impression d'être à coté d'un camion poubelle qui travaille moi ici ! Éducation minimum, je vais t'emmener ça à l'abattoir ça va être vite fait moi t'sais !

La mort nous sourit à tous, tout ce qu'on peux faire, c'est lui sourire à notre tour.

- J'veux le vélo moi ! - Bon il est a 400, j'te le fais à 350 ! Et c'est un Eddy Mercx ça, fait gaffe c'est pas d'la merde t'sais ça ! - Quoi c'est un vrai ? - Ben ouais c'est un vrai !

T'as baisé ma femme, j'ai baisé ma femme, allez, on est quitte.

Mes amis, je ne les aimais pas parce qu'ils étaient noctambules, mais parce qu'ils étaient eux-mêmes. Je n'attendais pas d'eux qu'ils soient drôles, j'attendais d'eux qu'ils soient heureux, qu'ils soient gais. J'attendais d'eux qu'ils m'aiment. Qu'ils soient chaleureux, et que la vie soit chaude.

J'comprend pas mais qui est amnésique ? Ton cousin Hubert ou l'autre putois là ?

- Suis-je devenu fou ? - Oui je pense Chapelier. Mais je vais te dire un secret : la plupart des gens bien le sont.

Tu vois ce moment entre le sommeil et le réveil, ce moment où on se souvient d'avoir rêvé ? C'est là que je t'aimerai toujours, c'est là que je t'attendrai.

- Mais... mais qu'est ce que c'est que cette matière ? Mais c'est d'la merde ? - Non, c'est kloug.

L'espoir guide mes pas. C'est l'espoir qui me permet de traverser le jour et plus encore la nuit, l'espoir que si vous disparaissiez à mes yeux ce ne soit pas la dernière fois que je vous contemple.

Arrêtez ! Ou je tire une balle dans la tête à la main !