Page 7 | Toutes les citations de films cultes

Vous voulez la jouer soft, je suis pas contrariant. Vous voulez la jouer hard... on va la jouer hard.

Ma très chère Allie, je n'ai pas pu fermer l'oeil parce que je sais que tout est fini entre nous. Je ne suis plus amer car je sais que ce que nous avons vécu était vrai. Et si un jour, nous nous rencontrons dans nos nouvelles vies, je te sourirai sincèrement, en me rappelant l'été que nous avons passé sous les arbres, apprenant à nous connaître en étant amoureux l'un de l'autre. Le plus bel amour est celui qui éveille l'âme et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre coeur et apaise nos esprits. C'est ce que tu m'as apporté. Et c'est ce que j'espérais pouvoir t'apporter pour toujours. Je t'aime, à très bientôt. Noah.

Ô vierge, ne perd point l'espoir, cueille dès maintenant les fleurs de la vie, car la mort est si pressée, que le frêle bouton qui s'ouvre aujourd'hui, aura bientôt trépassé.

Maintenant nous sommes libre. Et nous nous reverrons... Mais pas encore, pas encore !

Tes fautes de fils sont mes défaillances de père.

Les dieux nous envient parce que nous sommes mortels, parce que chacun de nos instants peut être le dernier et que tout est beaucoup plus beau car nous sommes condamnés. Tu ne seras jamais plus ravissante qu'à cet instant. Plus jamais nous ne serons seuls ici tous les deux.

Ça vous fait même des gentillesses dans la tête. Tu veux que je t'y dise... ça rend meilleur !

Si je te balance dans la piscine maintenant, tu coules comme un caillou à la con ! T'en a trop pris mon vieux ! T'en a trop pris ! Trop pris ! Et n'essayes pas de lutter hein ! T'aurais des bulles d'air au cerveau, une rupture d'anévrisme, tu te ratatinerais et tu crèverais.

On me dit de me souvenir de l'idée et non de l'homme, parce que l'homme peut échouer, il peut être arrêté, il peut être exécuté et tomber dans l'oubli alors qu'après 400 ans, une idée peut encore changer le monde. Je connais d'expérience le pouvoir des idées. J'ai vu des hommes tués en leurs noms... et mourir en les défendant. Mais on ne peut embrasser une idée. On ne peut la toucher ou la serrer contre soi. Les idées ne saignent pas, elles ne ressentent pas la douleur... et elles ne peuvent aimer.

Maintenant quoi ? Je m'en vais te le dire moi quoi ! J'appelle deux experts complètement défoncés au crack qui vont travailler nos deux copains. Avec une paire de pinces, un chalumeau et un fer à souder. Est-ce que tu m'as entendu ! Espèce de porc ! Je suis très loin d'en avoir fini avec toi ! Je vais te la jouer à la flamme bien moyen-âgeuse !

- Parlez moi de vous plutôt. - Odile ! Moi c'est Odile ! Pluto c'est l'ami de Mickey ! - Ah non ! Pluto c'est le chien de Mickey ! L'ami de Mickey c'est Dingo !

Où sont les poulardes ? J'ai faim ! Où sont les veaux, les rôtis, les saucisses ? Où sont les fèves, les pâtés de cerf ? Qu'on ripaille à plein ventre pour oublier cette injustice ! Y'a pas quelques soissons avec de la bonne soivre, un porcelet, une chèvre rôtie, quelques cygnes blancs bien poivrés ? Ces amuse-bouche m'ont mis en appétit !

Mourir doit vraiment être une belle aventure !

Le courage ce n'est pas l'absence de peur mais plutôt la conviction que la peur n'est pas le plus important.

Il les a tuées avec leur amour. C'est comme ça tous les jours dans le monde entier.

- Et comment vous appeler un pays qui a comme président un militaire avec les plein pouvoirs, une police secrète, une seule chaine de télévision et dont toute l'information est contrôlée par l'État ? - J'appelle ça la France mademoiselle, et pas n'importe laquelle, la France du Général De Gaulle.

- Allo maman ! - Vic. - Alors ça valait le coup de casser la tire-lire ?- Oh tu peux pas savoir ! J'ai l'impression que j'ai ton âge ! - Ben pourtant c'est pas l'pied. - Ça va pas ?- Si si.

C'est ça mon déguisement, je suis un fou criminel : il ressemble à n'importe qui.

Je pense à toi sans cesse, tu es mon bonheur et toute ma joie, je t'aime.

L'ennemi de mon ennemi est mon ami.

Nul sacrifice, nulle victoire.

Ma maman elle est malade, et mon papa il dévalise les poubelles.

Mais tu es mon fiot, je suis fière de ton réussissement !

Une vie s'achève, une autre commence.

Tu sais ce que c'est un Hassa, Franck ? C'est un porc qui ne vole pas droit, tout à fait toi, Franck.

Je n'aime pas dire du mal des gens, mais effectivement elle est gentille.

- Ils me demandent de faire des gants à trois doigts pour les petits lépreux de Djakarta. C'est tout la Croix-Rouge ça ! Vous croyez pas que j'aurais plus vite fait de faire des moufles ?- Entre nous Thérèse, une bonne paire de chaussettes et hop ! Ohhh ! On dit de ces bêtises parfois.

Je n'ai jamais vu une bête sauvage s'apitoyer sur son sort. Un oiseau préférera mourir gelé et tomber de sa branche plutôt que de se plaindre.

Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie.

Si vous vous retrouvez tout seul, chevauchant de verts pâturages avec le soleil sur le visage, n'en soyez pas troublé, car vous êtes au Champ Elyseum et vous êtes déjà morts.

- La majorité des flics dans la rue, ils sont pas là pour vous taper, ils sont là pour vous protéger ! - Ah ouais, et qui nous protège de vous ?

Bouche toi les oreilles. Bouche toi les oreilles fort fort fort, encore plus fort ! Tu entends comme je t'aime ?

J'ai confiance en tout le monde. Ce dont je me méfie c'est du diable se trouvant en chaque homme.

Je crois que toi et moi on a un peu le même problème, c'est-à-dire qu'on peut pas vraiment tout miser sur notre physique,... surtout toi.

On est des sous-produits d'un mode de vie devenu une obsession.

Gandhi disait que tout ce qu'on fait dans la vie est insignifiant mais qu'il est très important de le faire. Je serais assez d'accord avec sa première phrase. Mickael, tu sais à quel jour je pense. À 22 ans Gandhi avait 3 enfants, Mozart 30 symphonies et Buddy Holly était mort. Une fois tu as dis : " Nous laissons une part de nous même sur tout ce que nous touchons ". Est-ce que c'est vrai pour tout le monde ? Ou c'était juste de la Poésie à deux balles ?

La vie me fait pas de cadeaux, alors j'vois pas pourquoi j'en ferais.

On croit que je compte les poissons. Non. Je scrute leur âme, je lis leurs rêves, et ils envahissent les miens. Les gens pensent que c'est con un poisson. C'est faux. Ils savent se taire. C'est les gens qui sont cons. Le poisson qui sait tout n'a pas besoin de penser.

J'aime pas les Américains... J'suis trop triste pour eux et ils sont trop cons pour moi.

- Bonjour. - Bonjour. - Nous allons voir la marmotte. - Oui, j'y vais. - À quand le printemps à votre avis ? - Je le prédis pour le 21 Mars. - Ha oui, ça serait chouette !