Page 71 | Toutes les citations de films cultes

Plus tard quand je serai plus grand et que je me marierai je vivrai tout seul. Est ce que c'est compris ? JE VIVRAI TOUT SEUL !

- Tu veux un papillionsse ? C'est un papillion séché. - Non merci, tu veux une cloque ? - Non, j'essaie d'arrêter.

Pourquoi as-tu fait ça ? Je t'aimais vraiment bien, et je méprise la plupart des gens.

- Lui ? Allons donc ?... Je suis sûre que c'est un homme absolument désintéressé, et parfaitement incapable... - Oui, parce qu'il est mal habillé, vous lui prêtez de grands sentiments.

Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de sa vie !

Il resterait pas dans cette ville un genre d'hôtel trois étoiles avec des draps propres, de bons oreillers et un room service ?

Parfois, il faut perdre quelque chose pour se rendre compte de sa valeur.

- Un vent nouveau souffle sur le pays, le vent de l'indépendance. Et il apporte avec lui l'oiseau de la liberté qui lâchera l'oeuf de la démocratie juste sur ton crâne !

Arrête de me foutre ton barreau de chaise de contrebande sous le nez avant que je t'en fasse un suppositoire que t'allumeras par les naseaux.

- Qu'est-ce qu'ils ont vos yeux ?- Quand j'suis debout, j'vois pas mes pieds. - Pourquoi vous ne portez pas de lunettes alors ?- J'm'en fous d'mes pieds.

Est-ce que c'est toi John Wayne ? Ou est-ce que c'est moi ?

- Combien en avez vous aimé avant moi ?- Aucune. - Et après moi ?- Aucune.

Je vis dans un monde merdique, mais je suis vivant.

- Ani ! C'est fou ce que tu as grandi ! - Vous aussi ! Je veux dire vous êtes de plus en plus belle ! Enfin pour un sénateur !

- Je ne peux pas manger ce canard. Renvoyez-le au patron ! - Inutile... lui non plus ne voudra pas le manger.

Quand j'étais petit, j'avais peur du monstre qui viendrait me manger, c'est pour ça que j'aimais bien avoir un copain qui dort à la maison, non pas pour qu'il me protège mais pour que le monstre le mange en premier et que j'ai le temps de me barrer.

L'attachement, mène à la jalousie. À l'ombre de la convoitise, il grandit.

- Toute ma vie, j'ai attendu ce moment. - Tu as attendu toute ta vie pour que Sir Hector meurt dans sa chiasse ?

- Je me suis volontairement brûlé. - Brûlé ? Pourquoi vous avez fait ça ?- Je m'entraîne pour l'enfer.

Comme dirait quelqu'un de plus avisé que moi : c'est toi qui cogne le bar, mais parfois, c'est lui qui te cogne.

- C'est ça la solution diplomatique sénatrice ? - Non ! Ça c'est des négociations musclées !

T'as vu ta tête ? T'es en travaux !

- Tu vas où là ?- Je vais aux toilettes, mais tu peux venir me la tenir si tu veux, j'ai pas le droit de porter des objets lourds.

Et en plus de nous blanchir, il y a le pognon. Des tonnes de pognon. Qu'est-ce que vous croyez qu'on vient foutre en plein milieu du désert ? On est là pour le fric !

- Tapas ! Angelo Tapas ! - De merde ! Footballeur de merde.

- He he ! Tu veux des bâtons de la mort ? - Tu ne vends pas de bâton de la mort. - Heu je ne vends pas des bâtons de la mort. - Tu va rentrer chez toi et penser à ton avenir. - Heu j'vai rentrer chez moi et penser à mon avenir.

Je suis pas Superman, je suis Super-vagabond, mais toi t'es Super-pomme. Tu es très gouteuse, tu es très... biologique, très naturelle ! Tu es la pomme de ma vie.

Ils veulent que vous leviez les yeux parce qu'ils vous regardent de haut.

- Je n'ai plus envie de mentir. - Et je ne te demanderai plus de le faire.

Au moins maintenant il est de nouveau dans son état normal.

Celui qu'a des lunettes, c'est Rey. Le plus dangereux, c'est Rey. Le plus con, c'est Rey. L'autre, c'est Massard.

Je suis dans une merde internationnale !

Et nous sommes censés vous faire confiance ? La comète a votre nom.

Les morts ne savent qu'une chose : il vaut mieux être vivant.

- T'es de quelle tribu ? - L'armée américaine.

Général, nous savons pourquoi vous êtes là et Dieu sait que je suis d'accord avec vous. Mais comme vous, j'ai fait le serment de défendre mon pays contre tout ces ennemis de l'extérieur... comme de l'intérieur. Nous avons fait couler le même sang dans les même tranchées, je ne peux donner cet ordre vous le savez aussi bien que moi !

- Je voudrai une vodka martini, merci. - Bien. - Une vodka drive extra avec des olives, beaucoup d'olives ! Genre... au moins trois olives.

C'est la pire nouvelle de l'histoire de l'humanité.

- C'est la première fois qu'on chante l'hymne américain dans ton anus ? - Non.

Je ne veux plus attendre ton coup de téléphone, je ne veux pas m'empêcher de tomber amoureuse, j'veux pouvoir coucher avec qui je veux quand je veux et sans scrupules. J'ai réfléchi, puisque ce que nous vivons n'est pas réel, c'est un jeu. Puisque c'est un jeu, il faut des règles. Nous nous verrons le plus loin possible. Quand tu sauras où tu vas, tu m'écriras chez ma soeur à Londres, elle saura où faire suivre le courrier. Ne te donne pas la peine d'écrire des mots gentils, préviens moi juste suffisamment tôt. Dis à quel hôtel tu descends, et où, et quand. Si j'peux j'me libérerai, sinon tant pis. Ne cherche pas à m'appeler ni à savoir où je suis ni comment je vis. Je crois que ce n'est plus le problème. Je pense que c'est la meilleure solution. Faire comme toi : vivre de mon côté, en t'aimant, mais de loin. Je ne voyais pas les choses comme ça, mais pourquoi pas. Après tout, ce sera un jeu, spécial, excitant. Quand tu descendras à l'hôtel parfois j'y serai, parfois non. Parfois je te rejoindrai au milieu de la nuit et nous nous perdrons l'un dans l'autre, sans un mot. Tu vois, j'suis prête à essayer, parce que c'est toi qui as raison : la vie sans scrupules, c'est...