Page 80 | Toutes les citations de films cultes

Deux fuyards dans le vaste, obscur, incroyablement violent, univers indifférent.

Et quand les mâles se dispersaient, en emportant chacun sa part, sais-tu ce que faisaient les femmes ? Elles suivaient amoureusement celui qui avait le plus gros bifteck.

Y a pas de caméra dans ma tête !

Le sang est la vie et j'en ferai la mienne !

- Pourquoi vous allez à l'aéroport ? Un avion à prendre ? - Oh, vous avez deviné ! - Bah ! Votre sac de voyage et le billet d'une ligne aérienne, j'ai tout de suite compris.

Seul deux personnes au monde connaissent la combinaison : moi et Dieu, lui il est trop occupé pour s'en souvenir.

C'est la force qui gouverne le monde. Et ces petits rectangles de papier bruissant... voilà la forme moderne de la force.

Le ciel est réveillé, alors moi aussi je suis réveillée. C’est l’heure de jouer maintenant !

N’aie pas pitié des morts Harry, aie pitié des vivants et en particulier de tous ceux qui vivent sans amour.

Si Butch se réfugie en Indochine, je veux un gonze dans chaque bol de riz prêt à lui plomber les molaires!

Si tu m'flingues en rêve, tu me demandes pardon en te réveillant.

- Tu étais l'élu, c'était toi ! Tu devais rétablir la paix dans la force pas la condamner à la nuit ! Tu étais comme mon frère. Je t'aimais Anakin. - Je te hais.

T'es pas un pygmée de la forêt, tu es un Sterling.

Et vous pourriez réfléchir avant de parler. Vous eussiez ainsi évité un zéro. Qui porte à votre moyenne un coup sensible.

Allons embrasser Hans ! Mais qui est ce Hans ?

La baguette de sureau, la plus puissante baguette jamais fabriquée. La Pierre de résurrection, la cape d’invisibilité, ensembles elles forment les reliques de la mort. Ensemble elles font de vous, le maître de la mort.

Si vous tapez sur ce gamin jusqu'à ce soir, il vous avouera que c'est lui qu'a bousillé le pont de la rivière Kwaï.

Nous sommes devenus des fous au service de Dieu, tous.

- Je pense à un petit paradis du nom de Aspen. - Oh t'es sur Lloyd, les espagnols sont si cons.

- Shenzi, tu connais un bon resto ? - Non pourquoi ? - La bouffe est en train d'se carapater.

Ce sera java et petites nanas.

Ces quelques jours qu'on vient de passer ensemble, ça va suffire à remplir toute ma vie. Le bonheur maintenant, je sais que ça existe !

C'est la pleine lune ce soir, et ça me fait penser à toi, à l'autre bout du monde.

Au final comme je l'ai dit, j'ai tout quitté, quartier, famille et amis... Mais en fait eux ils m'ont jamais quittés, j'pense constamment à eux.

Oui, je vous aime, mais non, pas d'une passion perverse et déshonorante. Non, mais d'un amour honnête et profond. Pour tout dire, conjugal.

L’objet est ici, caché dans le château. Si vous devez demander, jamais vous ne saurez. Si vous savez, il suffit de demander !

Je suis fait de cire ; et vous, de quoi êtes-vous fait ?

- Oh, bec de banane est terrifié ! - MONSIEUR bec de banane, peluche !

C'est juste qu'on est plus supérieurs que vous.

Écoutes moi bien ma petite fille, si tu veux te barrer, barres-toi, mais barres-toi vite. Quand ça fait mal faut pas que ça dure. C'est comme quand on arrache un pansement, faut le faire d'un coup. On serre les dents et c'est fini !

On s'embrasse à la photocopieuse, on se tient la main chez Ikea, on baise dans la douche... T'appelles ça juste des amis, toi ?

Je comprends que cette cour peut vous paraître petite, mais elle est en réalité agrandie par un règlement adroit.

C’est de la force des convictions que dépend la réussite, pas du nombre des partisans !

- C'est sûrement un piège. - Que fait-on, maître ? - On s'y précipite !

Oh, à propos, est-ce que vous saviez, que le chocolat a la propriété de déclencher la libération d'endorphine ? Ça vous donne la sensation d'être amoureux.

- Ceci est inqualifiable ! - J'avais mon stylo qui bavait. - C'est écrit au crayon. - Et ben il bavait aussi !

Hier est déjà derrière, demain est un mystère. Ce qui compte c'est ce que tu fais dans l'instant.

- Elle a mis une bombe dans ta voiture ? - C'était une fille susceptible.

La vie n’est pas juste tu vois Moi hélas, hélas je ne serai jamais roi Et toi, tu ne reverras jamais la lumière Adieu !

Vous l’avez élevé comme un porc destiné à l’abatoire