Page 49 | Toutes les citations de films cultes

- Qu'est ce qu'il y'a, pourquoi tu pleures ? - Mais j'pleure pas ! C'est la pluie !

- Bonjour, j'm'appelle Bruce. - Bonjour Bruce. - Ça fait trois semaines que j'ai pas touché à un poisson, sur les dents d'ma mère, qu'on fasse une soupe de mes ailerons si jamais j'mens !

Ramasse ton colt ou je lui agrandi son trou de balle ! Enfin je veux dire le trou qu'elle a dans l'épaule. enfin le trou de balle qu'elle a dans l'épaule. tu m'as compris ! Son truc dans l'épaule là. Son trou de balle qu'elle a dans l'épaule, je vais lui agrandir. enfin je lui fais un autre trou de balle. un deuxième. plus gros.

J'ai été attaqué par des mecs dans le métro. Ils étaient une quinzaine, alors ils ont fini par m'avoir.

- Écoute Valentine, j'étais à Normale, on y était, le principal sujet de discussion, c'était qu'est ce qu'on peut faire pour ne pas devenir prof ! Comment échapper à cette fatalité ? - Mais Mallarmé était prof de lycée, Pagnol était prof de lycée, et vous vous êtes tous des cons !

J'ai été attaqué par des renards tout à l'heure. J'ai des comprimés contre les renards dans mon sac, t'auras qu'à les prendre !

J'suis pas mort dans tes chiottes, je vais pas mourir dans tes bras !

- Un cappuccino extra-mousseux, grand ou géant ? - Géant, c'est ce qui me correspond le mieux je crois.

Louise: C'est bien la première fois qu'ça m'fait chier d'avoir une voiture verte.

Je ne te dis pas que tu es un bon à rien, je te dis que tu es mauvais en tout !

Tu cherches le second souffle. Tu sais qu'il est quelque part mais j'te le laisserai pas ! Tu veux ce titre ? Tu veux porter la couronne ? Nez cassé, mâchoire explosée, défiguré. Tu es prêt ? Tu es sûr ? Parce que tu est face à un homme qui est prêt à mourir plutôt que de te laisser gagner.

- Mon colonel, Boscovan et moi, on a servi dans le même corps. - Ah bon ? - Si vous me permettez l'expression : je baisais sa femme.

- Vous êtes Michel Blanc ?- Je ne sais pas. Il est encore trop tôt, et vous ?

Avec nous quatre, t'as une belle boîte de macarons.

Tout condamné à mort aura la tête tranchée.

La catastrophe ! Une version de Virgile et j'ai fait un contre-sens, LE contre-sens !

- Je m'appelle Edmond... Edmond Michalon. Et vous ? - Emmanuelle. - Emmanuelle ?! ... Emmanuelle. Vous avez déjà vu le film ? - Quel film ? - Emmanuelle ! - Je vais jamais voir les films pornographiques, ça m'intéresse pas ! - Porno ?! Moi non plus je vais jamais voir les films pornographiques. Par contre, j'aime bien les films érotiques ! - Bref, vous aimez les films cochons !

Qu'est-ce que tu veux faire avec du pâté ? Parfumer tes armoires ?

Faut être débile pour manger la peau !

On va leur mettre le feu. Je peux vous dire que Johnny Hallyday au Stade de France, à côté c'est un Playmobil dans un évier.

Ainsi avons nous commencé à découvrir leurs vies. À acquérir des souvenirs communs que nous n'avions pas vécu. Nous avons compris l'emprisonnement que c'est d'être une fille, qui vous oblige sans cesse à réfléchir et à rêver, et fini par vous apprendre à marier les couleurs. Nous avons appris que les filles sont des femmes déguisée. Qu'elles comprennent l'amour et même la mort. Et que notre seule tâche est de produire le bruit de fond qui semble les fasciner. Nous avons appris qu'elles savent tout de nous, et qu'elles nous demeurent insaisissable.

- Regarde, c'est lui, là. - Qui, le jus de tomate ? - Non, l'acteur !

Sur ce, si ça ne vous gène pas, je vais m'évanouir.

N'attendez pas de chute à cette histoire, il n'y en a pas. Il est mort et plus rien n'a de sens pour moi. J'envisage l'avenir comme une éternité de souffrances et d'ennui. Ma lâcheté m'empêche de mettre fin à mes jours. Je continuerais à sortir, à taper, à boire et persécuter des cons... Jusqu'à ce que j'en crève... L'humanité souffre. Et je souffre avec elle.

Normalement l'année de l'agreg on voit personne ! On vit avec la charrette qui prépare le concours, on joue notre vie ! Cinq ans de préparation, en un seul jour on peut tout foutre en l'air !... J'la veux l'agreg !

Vous savez c'que c'est, de se lever tout les matins, désespéré, en vous disant que celle que vous aimez se réveille auprès d'un autre homme. Mais en même temps vous espérez qu'elle trouvera le vrai bonheur, même si ce ne sera jamais avec vous.

- On se met d'accord, jure-moi de pas me mettre la tête à l'envers ! - Je ne te mettrais pas le tête à l'envers si tu ne me déchires pas le coeur.

Tu sais je te l'ai jamais dit mais quand j'étais petit j'ai eu un accident de voiture quand j'avais 10 ans, je me suis explosé la tête contre le tableau de bord, je me suis fendu le crane, j'étais ouvert... 17 point de sutures et je n'aurais jamais pensé en avoir la nostalgie jusqu'à aujourd'hui.

- J'ai besoin d'un père qui soit un modèle masculin, pas d'un puceau en chaleur qui se met à mouiller son slip à chaque fois que je ramène une copine à la maison. Ça me fout les boules je préférerais pas avoir de père que de tomber sur un débile pareil !- T'aimerais que j'ten débarrasse ?- Ouais, tu le ferais ?

Je vous préviens, je connais Bernard Kouchner !

S'il y a que ça, des handicapés, y en a là-bas.

Elle a les yeux qui crient " braguette " !

On a affaire à une rêveuse totalement déconnectée de la réalité, en sautant, elle a du penser qu'elle s'envolerait.

Je ne rentre pas chez moi... Pas vraiment.

- On sert la main de la déléguée en signe de respect.- Lorsque que la déléguée aura obtenu mon respect, alors je lui serrai la main, pétasse ! - Pardon ? - C'est bon je te pardonne.

Si tu veux une deuxième chance, fais le premier pas.

Je suis un type tout ce qu'il y a d'ordinaire, qui n'a plus rien à perdre.

Le monde est rempli d'innocents. Les prisons aussi.

Mais mon petit chéri, ça durera ce que ça durera... Ça m'est bien égal, même si ça ne devait durer qu'une heure, je referais tout pareil... De toute façon, j'ai jamais vu que la durée fasse tellement de bien aux histoires d'amour.

- Hé Hubert, tu veux du Cacolac ? - Non. - Remarque, t'es déjà un Cacolac toi !