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Les citations proposées par les internautes - page 219

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  1. Eh ! faites-la donc, mon Dieu, votre malle, une bonne fois ! qu'on n'entende plus parler de vous...
    Alphonse Daudet
  2. Jacques se met à border le lit activement, avec un soin de vieille fille.
    Alphonse Daudet
  3. Et l'ange ouvre et feuillette son grand livre, mouillant son doigt de salive pour que le feuillet glisse mieux...
    Alphonse Daudet
  4. Un jour cependant, ce faquin de marquis se permit de répliquer, en pleine étude, avec une insolence telle que je perdis toute patience.
    Alphonse Daudet
  5. La fabrique avait repris son aspect florissant d'autrefois et son grand bourdonnement de ruche.
    Alphonse Daudet
  6. Une visite de M. le sous-préfet présageait évidemment quelque chose d'extraordinaire.
    Alphonse Daudet
  7. Ce qui me frappa d'abord, à mon arrivée au collège, c'est que j'étais le seul avec une blouse.
    Alphonse Daudet
  8. Le Petit Chose s'arrachant aux étreintes de ses amis franchit bravement la passerelle.
    Alphonse Daudet
  9. Les francs-tireurs étaient là avec leurs petits cabans, accroupis au fond d'une fosse pleine d'eau, tout le long du chemin de fer de Soissons.
    Alphonse Daudet
  10. Du reste, ce fragment de ma vie que je passe sous silence, le lecteur ne perdra rien à ne pas le connaître.
    Alphonse Daudet
  11. C'est qu'ils ne me sortaient plus de la tête, ces grands démons d'yeux noirs. Je les retrouvais partout. J'y pensais toujours, en travaillant, en dormant... C'était une obsession.
    Alphonse Daudet
  12. Le soir, on rencontrait par les chemins le vieux meunier poussant devant lui son âne chargé de gros sacs de farine.
    Alphonse Daudet
  13. L'homme du Midi ne ment pas, il se trompe.
    Alphonse Daudet
  14. Je rêvais de rester là tout le jour, comme un lézard, à boire de la lumière, en écoutant chanter les pins.
    Alphonse Daudet
  15. Le dimanche nous allions aux moulins, par bandes. Là-haut, les meuniers payaient le muscat. Les meunières étaient belles comme des reines, avec leurs fichus de dentelles et leurs croix d'or.
    Alphonse Daudet
  16. A lui voir tant de prudence, n'allez pas croire au moins que Tartarin eût peur... Non! seulement il se gardait.
    Alphonse Daudet
  17. Les larmes le gagnaient; il vait hâte de sortir.
    Alphonse Daudet
  18. Quelqu'un habitait là pourtant. Une petite fumée bleuâtre, montant de la cheminée de brique qui dépassait un peu le mur, trahissait une existence cachée, discrète et triste, comme la fumée de ce feu de pauvre.
    Alphonse Daudet
  19. Ce qu'on appelait jadis le vent de Fronde courait dans le Marais.
    Alphonse Daudet
  20. Souvent, paraît-il, il suffit d'un grand bruit, d'un frémissement sonore de l'air, pour éloigner les sauterelles, les empêcher de descendre.
    Alphonse Daudet
  21. Si les coeurs qui se brisent et qui saignent étaient autre chose que des façons de parler, à l'usage des poètes, je vous jure qu'on aurait pu trouver derrière moi, sur la plaine blanche, une longue trace de sang.
    Alphonse Daudet
  22. Rencontrer des hommes célèbres, échanger avec eux par hasard quelques mots, il n'en faut pas plus pour enflammer l'ambition.
    Alphonse Daudet
  23. L'amour est toujours dévoué, toujours héroïque, toujours capable de grandes choses, prêt à donner sa vie en échange d'un sourire, et je me porte garant pour l'amour.
    Alphonse Daudet
  24. L'espère! Quel joli nom pour désigner l'affût, l'attente du chasseur embusqué, et ces heures indécises où tout attend, espère, hésite encore entre le jour et la nuit. L'affût du matin un peu avant le lever du soleil, l'affût du soir au crépuscule.
    Alphonse Daudet
  25. Mais vous savez ce que nous disons ? « Qui se marie par amour, bonne nuit et mauvais jours ».
    Alphonse Daudet
  26. Ah ! Gringoire, qu'elle était jolie la petite chèvre de M. Seguin ! qu'elle était jolie avec ses yeux doux, sa barbiche de sous-officier, ses sabots noirs et luisants, ses cornes zébrées et ses longs poils blancs qui lui faisaient une houppelande !...
    Alphonse Daudet
  27. Mon oncle avait un grand verger Et moi, j'avais une cousine.
    Alphonse Daudet
  28. Si vous voulez savoir comment Nous nous aimâmes pour des prunes, Je vous le dirai doucement, Si vous voulez savoir comment.
    Alphonse Daudet
  29. Il y a deux Midi. Le Midi bourgeois, le Midi paysan. L'un est comique, l'autre est splendide. Tartarin et l'Arlésienne sont des échantillons de ces deux Midi si différents.
    Alphonse Daudet
  30. Plus de printemps, plus de jeunesse. Ou du moins tous deux aigres, durs, âpres, sans bonté, sans douceur.
    Alphonse Daudet
  31. Je rêvais de m'installer marchand de bonheur en plein Paris.
    Alphonse Daudet
  32. La vraie famille est chez les humbles.
    Alphonse Daudet
  33. En France, tout le monde est un peu de Tarascon.
    Alphonse Daudet
  34. Pourtant si, c'est une femme, une femme sans courage, un enfant sans raison qu'il ne faut plus jamais laisser seul.
    Alphonse Daudet
  35. Ding ! dong ! Levez-vous. Ding ! dong ! Couchez-vous. Ding ! dong ! Instruisez-vous ! Ding ! dong ! Amusez-vous. Et cela pour toute l'année.
    Alphonse Daudet
  36. Il n'est pas défendu, en littérature, de ramasser une arme rouillée ; l'important est de savoir aiguiser la lame et d'en reforger la poignée à la mesure.
    Alphonse Daudet
  37. Tartarin n'était pas un menteur. Comme tout homme du midi, il ne ment pas, il se trompe !
    Alphonse Daudet
  38. Le coeur de l'homme a de ces faiblesses ; il aime ce qu'il peut, même du bois, même des pierres, même une fabrique...
    Alphonse Daudet
  39. Tartarin racontait ses amours avec la princesse Likiriki, et leur séparation déchirante. Il savait que les femmes aiment à consoler, et que porter ses chagrins de coeur en écharpe est la meilleure façon de réussir auprès d'elles.
    Alphonse Daudet
  40. Le prisonnier voit la liberté plus belle qu'elle n'est. Le malade se représente la santé comme une source de joies ineffables - ce qui n'est pas. Tout ce qui nous manque est le divin.
    Alphonse Daudet
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