Page 211 | Découvrez les citations proposées par les internautes

La vie m'est insupportable, pardonnez-moi.

J'ai appris beaucoup sur la vie, grâce aux livres et à la spiritualité. Mon désespoir, c'est de ne jamais avoir eu d'enfants.

Chaque fois, que je vais chanter sur scène, c'est un vrai accouchement !

Entrer en scène, c'est parfois égal à un accouchement parfois ça se passe avec douleur, et parfois sans douleur.

La première fois que j'ai chanté sur scène, c'est vrai, c'était à l'Ancienne Belgique, et ça a été un moment... J'ai chanté faux, j'avais trois chansons, j'ai chanté tout faux, les trois chansons! Donc j'ai vu que c'était quand même quelque chose de particulier, le trac...

Un jour, on a demandé à Gainsbourg s'il avait quelqu'un de moins de trente ans à statufier et il a dit quelque chose qui m'a bouleversée : Ce serait France Gall. Ce serait une immense statue en sucre d'orge et tous les enfants viendraient lui lécher les doigts.

Tout a changé, quand j'ai rencontré Michel Berger.

Quand j'ai perdu ma fille, j'ai lu tous les auteurs qui avaient perdu leur fille. Ça m'aidait de savoir qu'on avait vécu la même chose et que les gens pouvaient en parler.

Je suis la fille du papa de La Mamma.

Chanter ne me manque pas.

Je refuse de m'installer : la vie n'est pas, elle, toujours à la même place.

Claude François n'était pas quelqu'un de facile. Personne n'était heureux autour de lui.

Ce public de jeunes de mes débuts, je l'aime bien car c'est le plus fidèle qui soit.

On avance dans le brouillard pendant des mois et on fait les choses qu'il faut faire parce que la vie continue et qu'on a des enfants. Il y a un métier, un public...

Quitte à vivre des choses extraordinairement tristes et douloureuses, autant les vivre en face. Ça ne sert à rien de sortir, de se distraire.

À la disparition de Michel, j'ai eu envie de continuer à chanter. À la disparition de Pauline, j'ai eu envie de me taire.

La journée, je suis dans l'action. La nuit, je vis. Je revis.

C'est douloureux de voir ces gens sans toit, sans rien, obligés de quitter leur pays.

Je pense que la mort n'existe pas.

Si Michel tenait absolument à laisser une trace, moi je m'étonne encore d'exister.

Les gens ne savent pas du tout qui je suis. Ils voient juste mon côté simple. Mais j'ai ma part de complexité.

Ce n'est pas intéressant, la lumière. La célébrité ne vous apporte rien. Au contraire: elle vous prive de la liberté.

J'ai besoin de silence, de calme et de solitude.

Toute ma vie, j'ai été à la quête du bonheur.

J'ai vécu de très grandes épreuves, mais j'ai aussi connu des bonheurs absolus.

La musique de Michel Berger est celle que je préfère au monde, je l'ai toujours dit.

Je vis une belle période. Tous les chagrins sont derrière.

Avec le temps, j'ai dû apprendre à décider toute seule. J'ai la chance d'être très bien entourée.

Si on continue avec la concurrence fiscale, dans dix ou vingt ans, il n'y aura plus d'impôt sur les sociétés.

Le plus gros abandon de souveraineté, c'est celui de la souveraineté monétaire.

On vit dans un monde où chaque pays a tendance à vendre son âme pour une petite place au soleil.

Tant que l'on sera dans ce régime de l'unanimité en matière fiscale dans la zone euro, il n'y aura aucun progrès.

On est trop habitués en Europe à bénéficier du libre-échange des biens, de la circulation des capitaux, en échange de rien.

Le principal mécanisme permettant la convergence entre pays est la diffusion massive des connaissance, au niveau international comme au niveau domestique. Autrement dit, les plus pauvres rattrapent les plus riches dans la mesure où il parviennent à atteindre le même niveau de savoir technologique, de qualification, d'éducation, et non pas en devenant la propriété des plus riches.

Le refus de compter fait rarement le jeu des plus pauvres.

Trop de capital tue le capital.

L'inégalité n'est pas nécessairement mauvaise en soi : la question centrale est de savoir si elle est justifiée, si elle a ses raisons.

Chaque société humaine doit justifier ses inégalités : il faut leur trouver des raisons, faute de quoi c'est l'ensemble de l'édifice politique et social qui menace de s'effondrer.

Ne regardons pas en arrière. Fixons notre attention, en direction, de l'horizon. Et avançons, droit devant, le cœur vibrant. Le bonheur, nous attend au bout du chemin.

Ne soyons pas frustré d'avoir fait un pas en arrière. Celui-ci nous a permis de prendre de l'élan et d'avancer droit devant.