Page 97 | Toutes les citations de films cultes

- C'est pour qui ? - Zborowsky. - Un prénom peut-être ? - Oui. - Qui est ? - Andrej avec un " j ", comme jardin. - Ah, j'ai toujours rêvé d'en avoir un. - Ah ? - Un jardin. - Ah.

- Priez-vous ? - Ah oui ! Parce que je crois en l'amour.

- Choisir un lit c'est personnel. C'est l'endroit où on aime, l'endroit où on rêve, l'endroit où on donne la vie. Quand on est enfant, c'est l'endroit où on se réfugie pour pleurer, c'est l'endroit où on cache ses premiers secrets. C'est sacré un lit, c'est comme une vache en Inde. - Eh dis-donc, t'as une théorie très très arrêtée sur les lits !

Et, pour la première fois, mon nom est sorti de ta bouche comme une caresse.

Dis donc, cet oeuf-là... nous pourrions en faire une sacrée omelette !

- C'est la chambre à coucher, mais là il ne s'est jamais rien passé. - Vraiment ? Dommage.

Attends voir, on est dans le futur, où sont les méga-phasers ?

Je m'en fous des filles que tu connais et puis je m'en fous aussi de ce que tu penses de moi. Je suis pas gourde au point de pas savoir à quoi je ressemble. Je suis pas gourde non plus au point d'attendre de qui que ce soit pour savoir à ma place ce que je suis capable de faire. On verra bien en fin de parcours où j'en serais et moi ça me fera bien marrer tous les gens qui m'ont prise pour une conne parce que je vais leur montrer. Mais bon je suis pas gourde non plus au point d'imaginer que je suis la seule qui parle comme ça.

Parfois, on assiste à des scènes terribles. Malheureusement le monde est une jungle, l'homme est un loup pour l'homme et surtout pour la femme.

- Mais elles sont très bien ces fleurs ! Et puis elles sont parfumées. - Ah non, on a pas r'fumé, non.

- Aimez-vous la nuit ? - Oui avec beaucoup de lumière. - L'aube ? - Oui avec un piano et des amis.

L'équipage vous remercie d'avoir choisi la compagnie tapis volant, veuillez rester assis jusqu'à ce que la carpette se soit stabilisée.

- Où est ta ferme ? Américain ! - Ma ferme ? ... Ma ferme ta gueule ! ... Je sème du plomb tête de con !

Si quelqu'un m'avait dit que je travaillerai dans l'aviation je ne l'aurais pas cru. Parce que moi quand j'étais petit, j'voulais devenir gardien de koala avec une sarbacane. C'était des types qui étaient dans un parc, qui gardaient les koalas et qui les soignaient et des fois pour les soigner, ils étaient forcés de les endormir alors ils prenaient leurs sarbacanes et ils leur tiraient dessus. C'était ça que j'voulais faire, j'trouvais ça cool !

Viens m'voir à Los Angeles, on passera Noël en famille, on fera la fête.

T'es pas mouru l'âne, t'es pas mouru !

- Oh, vous avez commencé quand ? - Demain.

Je comprends rien ! Traduisez-moi ça bordel de merde !

- Dis, Many, c'est vrai qu't'es le dernier d'ton espèce ? - Quand t'auras appris l'hygiène, prends des cours de délicatesse !

Ce que je veux April, c'est ressentir les choses, les vivre vraiment. Tu vois c'est ça mon ambition!

- J'en connais une de position : le cocard de l'instructeur de yoga ; c'est ma préférée, on essaye ? - Ahahahah je vois ta colèèèère, ouais. Ah je sens battre ton coeur plus fort, non ? Utilise-la. Canalise-la. Hum ! Boom.

- Eh ! Où monte cet escalier ? - Au dessus !

- Le Black Pearl ? Je connais sa légende. Il bombarde navires et campements depuis près de dix ans. ll laisse jamais de survivant. - Pas de survivants ? Comment les légendes prendraient forme dans ce cas là ?

- On te ramènera un bon steak. - Y a pas de steak dans le cochon ! - Ah bon ? Ya quoi alors ?- Pfff.

K'tor bonne bouffe kek'part ! K'tor trop content ! K'tor et la fifiiille !

- Veux tu ne pas m'épouser ? - Pourquoi pas !

On a peu d'opportunités dans la vie et on en vient très vite à se demander comment on est devenu médiocre!

Grimpe dans le 4x4 tonnerre mécanique, on va faire un tour de manège !

- Voilà ce qui fait tourner le monde. - Quoi ? - L'or. - Il y en a qui disent que c'est l'amour. - Oui, et ils ont raison, c'est l'amour : l'amour de l'or.

- Je ne comprendrais jamais le besoin que vous autres américains ressentez de toujours jouer les héros solitaires. Quel est le votre ? John Wayne ? Clint Eastwood ? - Je dois avouer que j'adore Roy Rogers. J'ai toujours eu un faible pour les chemises pailletées !

Ces murs ont un effet bizarre, au début on les déteste, ensuite on s'y habitue, et on finit par en avoir besoin, c'est ça être institutionnalisé.

- Ah ! C'est répugnant ! - Alors ça c'est pas gentil. C'est rien qu'un âne mais il est joli !

- Qu'est-ce que tu vas faire ? Tu vas te pointer et arrêter tout le village ? - Ouais, c'est l'idée !

Mais je ne peux te vouloir pour moi toute seule. Et je ne vivrai pas sans toi. Dieu m'est témoin que dans cette histoire je ne demande rien, je suis prête à tout sacrifier.

Diego ! Même les continents qui dérivent vont plus vite que toi !

- Mais comment il fait pour respirer, là-dessous ?- Jacques ? Il respire pas.

Et pour les petits veinards qui s'en sortiront, les requins feront la queue pour les bouffer !

La prochaine fois, tu y réfléchira à deux fois avant de tout engluer un mec qui a un positroneur désintégrant !

Bien joué John, bravo, très adulte !

Où chaque seconde est une poignée de terre, où chaque minute est un sanglot. Vois comme je lutte, vois ce que je perds en sang et en eau. J'espère qu'au ciel, des diables malins coupent aux anges leurs ailes pour que tu retombes du ciel, dans mes bras ouverts, cadeau providentiel.