Page 18 | Citation souffrance, proverbe souffrir

Qui sème l'illusion récolte la souffrance.

Là où l'esprit souffre, le corps souffre aussi.

Personne ne saurait en finir. On peut changer de souffrance. On ne peut supprimer la souffrance.

Trop souffrir rend aigre, pas assez, niais.

S'il suffisait à tous les hommes de désirer pour réussir, personne ne souffrirait : car personne ne souhaite la souffrance.

Tout n'est que vanités, misères et douleurs ;Le coeur de l'homme juste est un vase de pleurs.

Froide est la douleur de croire que la chaleur ne reviendra jamais.

Ceux qui souffrent et qui perdent sont toujours un objet de mépris.

Le désir est une source de trouble et de souffrance...

Souviens-toi que la douleur élève les âmes vraiment grandes et que ce n'est que le vulgaire qu'elle rend méchant.

Nul médecin ne fera du choléra un état agréable et nul politicien ou sociologue ne bannira la lutte et la souffrance du monde.

Tout le bouddhisme est basé sur la possibilité de se libérer de la souffrance, de s'en libérer par soi-même et d'être seul capable de s'en libérer.

Toutes les inventions jolies et charmantes pour ceux qui ont les moyens d'en jouir valent-elles, vraiment, la somme de misère et de souffrance que nos civilisations produisent ?

Vivre c'est aimer Aimer c'est souffrir Souffrir c'est mourir Alors pourquoi vivre ?

L'accouchement est douloureux. Heureusement, la femme tient la main de l'homme. Ainsi, il souffre moins.

On souffre moins quand on ne voit pas celui qu'on aime.

C'est un poids bien lourd pour un seul coeur de souffrir pour deux.

Il n'existe de plus grande douleur au monde que la perte de sa terre natale.

Il faut pousser sa volupté jusqu'à la douleur, pour être sûr de l'avoir goûtée tout entière.

L'impossibilité de la communication directe est le secret de la souffrance du Christ.

Un bon Allemand ne peut souffrir les Français, mais il boit volontiers les vins de France.

Aucun pays ne s'est jamais élevé sans s'être purifié au feu de la souffrance.

Nos seules vérités, homme, sont nos douleurs.

Pour la jeunesse, le bonheur c'est jouir. Ne pas souffrir est le bonheur de l'âge.

Quiconque ne sait pas souffrir n'a point un grand coeur.

Seul ce qui ne cesse de nous faire souffrir reste dans la mémoire.

L'homme souffre si profondément qu'il a dû inventer le rire.

Ceux qui ont souffert, l'éventualité de la souffrance les fait souffrir autant que la douleur même.

Comment souffrir que la passion soit mise au même rang que la raison ?

La discrétion est la seule vertu qui souffre l'excès, sans en souffrir.

J'appellerai un sage un homme qui ne serait affecté que par la souffrance physique.

Il vaut encore mieux Souffrir le mal que de le faire.

Il n'est de souvenir douloureux que des morts. Or ceux-ci se détruisent vite, et il ne reste plus autour de leurs tombes mêmes que la beauté de la nature, le silence, la pureté de l'air.

Les années heureuses sont les années perdues, on attend une souffrance pour travailler.

La maladie est le plus écouté des médecins : à la bonté, au savoir on ne fait que promettre ; on obéit à la souffrance.

La durée moyenne de la vie est beaucoup plus grande pour les souvenirs des sensations poétiques que pour ceux des souffrances du cÏur.

Le sage poursuit l'absence de douleur et non le plaisir.

Il y a l'amertume du bonheur comme il y a l'ivresse de la souffrance.

Nous avons tous la prétention de souffrir beaucoup plus que les autres.

La douleur est toujours question et le plaisir, réponse.