Page 7 | Citations et proverbes sur la santé

En parcourant un livre de médecine, on s'imagine avoir toutes les maladies qu'il décrit, de même, en lisant l'ouvrage d'un moraliste, on découvre tous les travers qu'il signale... mais chez les autres !

Il en est des conseils comme des médicaments ; les plus amers sont les meilleurs.

Le rire est l'antidote de la morosité et de l'ennui : il dissipe les idées morbides et se fait souvent le garant d'une bonne santé mentale. Les gens qui rient sont des gens heureux : ils n'ont pas d'histoire.

La vie, qui a en partage la tempérance, le courage, la sagesse, ou la santé, est plus agréable que celle où se trouvent l'intempérance, la lâcheté, la folie ou la maladie.

La critique souvent n'est pas une science ; c'est un métier, où il faut plus de santé que d'esprit, plus de travail que de capacité, plus d'habitude que de génie.

On peut juger de la beauté d'un livre, à la vigueur des coups de poing qu'il vous a donnés et à la longueur de temps qu'on met ensuite à en revenir.

Le bonheur est l'absence des peines, comme la santé est l'absence des maladies.

L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, mais je m'en fous, je suis tout le temps malade.

Le malade est plus reconnaissant à la médecine qui le guérit qu'au conseil qui le préserve.

Le style est, pour l'oeuvre d'art, ce que le sang est pour le corps humain ; il le développe, le nourrit, lui donne la force, la santé, la durée.

Ecrire sur le mépris de la mort lorsqu'on est en santé, c'est écrire sur le mépris des riches lorsqu'on est dans l'opulence.

Il n'y a rien de si nuisible à la santé que la mort.

Chaque tourment possède son cri, la santé seule se tait.

Le chocolat nous rend pervers, il éveille en nous la culpabilité, il nous pousse au péché, il nous donne la santé, il nous rend chic et heureux.

La meilleure des chose est d'apprendre. L'argent peut être perdu ou volé, la santé et la force faire défaut, mais ce que vous avez appris est votre à jamais.

A vouloir enseigner trop de médecine, on n'a plus le loisir de former le médecin.

La gratitude va de pair avec l'humilité comme la santé avec l'équilibre.

A soixante-dix ans, il est meilleur pour la santé d'avoir des femmes dans la mémoire que sur les genoux.

Il faut définir le cadre d'une longévité en bonne santé. Vieillir n'est pas une maladie.

La seule question qui concerne la santé est "qu'est-ce qu'on fait avec" ?

Le bonheur, c'est avoir une bonne santé et une mauvaise mémoire.

Ce qui indique avec le plus de vérité le caractère d'un homme, c'est la santé de sa femme.

Le meilleur moyen de rester en bonne santé, c'est de manger ce que vous ne voulez pas manger, de boire ce que vous ne voulez pas boire, et de faire des choses que vous n'aimez pas faire.

Dans le possible, le croyant détient l'éternel et sûr antidote du désespoir ; car Dieu peut tout à tout instant. C'est là la santé de la foi, qui résout les contradictions.

Rien ne peut être aussi bénéfique à la santé humaine et augmenter les chances de survie de la vie sur terre que d'opter pour une diète végétarienne.

Soyons optimistes : la médecine a découvert beaucoup plus de remèdes qu'il n'y a de maux.

On pourrait composer une diète pour la santé de l'entendement.

En médecine, le cabriolet est plus nécessaire que le savoir.

La nécessité empoisonne les maux qu'elle ne peut guérir.

La médecine est une opinion.

L'amour qui naît subitement est le plus long à guérir.

Il ne faut ni vigueur, ni jeunesse, ni santé pour être avare.

Quelque possession que l'homme ait sur la terre, quelque santé et commodité essentielle qu'il ait, il n'est pas satisfait s'il n'est pas dans l'estime des hommes.

Il faut gouverner la fortune comme la santé : en jouir quand elle est bonne, prendre patience quand elle est mauvaise.

La médecine n'est pas une affaire de science : c'est une affaire de veine.

La Débauche et la Mort sont deux aimables filles, prodigues de baisers et riches de santé, dont le flanc toujours vierge et drapé de guenilles sous l'éternel labeur n'a jamais enfanté.

Le bonheur ne se perçoit pas sans esprit et sans vigueur.

C'est une ennuyeuse maladie qu'une santé conservée par un trop grand régime.

Vous n'avez pas plus le droit de consommer le bonheur sans le produire que de consommer la santé sans la produire.

Il faudrait pouvoir unir les contraires, l'amour de la vertu avec l'indifférence pour l'opinion publique, le goût du travail avec l'indifférence pour la gloire, et le soin de sa santé avec l'indifférence pour la vie.