Page 8 | Citations sur les papas pour la fête des pères

La stupidité est mère du crime. Mais les pères sont très souvent des génies.

Les pères de famille, ces grands aventuriers du monde moderne.

Je dois tout à mon père avant qu'à ma maîtresse : que je meure au combat, ou meure de tristesse, je rendrai mon sang pur comme je l'ai reçu.

Un véritable roi n'est ni mari ni père.

Que de maux et de pleurs nous coûteront nos pères !

A qui venge son père, il n'est rien d'impossible.

Qui ne désire pas la mort de son père ?

Il n'y a que les pères et les mères qui s'affligent véritablement de la maladie de leurs enfants.

Le père cache les fautes de son fils, le fils cache les fautes de son père.

Le père qui n'enseigne pas ses devoirs à son fils est autant coupable que ce dernier s'il les néglige.

Le secret pour être un bon père est simple : écoutez toujours vos enfants...

Bien qu'innocent, tu dois expier les péchés de ton père.

Sage est le père qui connaît son enfant.

Il y a d'étranges pères, dont toute la vie ne semble occupée qu'à préparer à leurs enfants des raisons de se consoler de leur mort.

Il n'y a pas de bons pères, c'est la règle. Qu'on n'en tienne pas rigueur aux hommes, mais au lien de paternité qui est pourri.

Ne pas entendre ou ne pas voir le père est la seule base solide de la vie familiale.

Où le père a passé, passera bien l'enfant.

On ne suit pas toujours ses aïeux ni son père.

On choisit son père plus souvent qu'on ne pense.

Il nous faut obéir, ma soeur, à nos parents : un père a sur nos voeux une entière puissance.

Ah ! mon fils ! que la tendresse d'un père est aisément rappelée, et que les offenses d'un fils s'évanouissent vite au moindre mot de repentir !

Nos pères avaient un Paris de pierre, nos fils auront un Paris de plâtre.

Dieu : un père comme celui-là, il vaut mieux ne pas en avoir.

Je tiens beaucoup à ma montre, c'est mon grand-père qui me l'a vendue sur son lit de mort.

Je hais les railleurs malsains, les petits jeunes gens qui ricanent, ne pouvant imiter la pesante gravité de leurs papas.

On n'est pas forcément le père de quelqu'un mais on n'est jamais le fils de personne.

Les pères et les mères font des enfants ; Dieu seul fait les saints.

Telle est l'ingrâte position du père au sein de la famille : pourvoyeur pour tous, ennemi de tous.

Les pères emploient les pronoms possessifs à la première personne quand ils ont sujet de se louer de leur rejeton, à la seconde quand celui-ci a commis quelque balourdise.

La science, c'est ce que le père enseigne à son fils. La technologie, c'est ce que le fils enseigne à son papa.

Le défaut fondamental des pères est de vouloir que leurs rejetons leur fassent honneur.

Le chef est l'image du père, le peuple est l'image des enfants, et tous étant nés égaux et libres n'aliènent leur liberté que pour leur utilité.

En fin de compte, la vie de père ne tient qu'à un fils !

Un père qui porte le manteau de son fils est-il un bon "patère" ?

Un père n'est jamais expert : quand on est père, c'est pour la vie.

Un père biologique est-il forcément écolo ?

Un père en punissant, Madame, est toujours père : Un supplice léger suffit à sa colère.

Le temps est père de vérité.

Les pères ne savent jamais rien de leurs fils. Ni les fils de leurs pères.

Tout père sur qui son fils lève la main est coupable : d'avoir fait un fils qui levât la main sur lui.