Page 19 | Superbes citations sur le mariage

Une femme qui veut que son mari lui achète une robe dernier cri aura toujours le dernier mot.

J'ai choisi un mari d'une grande douceur pour pouvoir le quitter sans amertume.

Les femmes choisiront toujours pour mari le plus riche de leurs prétendants, et elles ont raison, car l'amour est un enfant gâté, et le gueux ne saurait satisfaire ses fantaisies.

Dans cette union intense qu'est la prière, Dieu et l'âme sont comme deux morceaux de cire fondus ensemble.

J'ignore ce que sont les heures de félicité que l'amant goûte avec la bien-aimée avant le mariage ; mais les heures d'enivrement qu'elle connaît dans un magasin de couture lui passent sous le nez.

L'amour est pourtant une chose simple, mais le mariage...

La femme est souvent le point faible du mari.

Puissent les dieux te donner un mari, un foyer et la grâce de la paix, car il n'y a rien de plus grand et de meilleur que cela.

L'union même de la médiocrité fait la force.

Se marier c'est le destin, Se pendre aussi.

Se marier, c'est consommer le même épiderme jusqu'à la nausée.

Pour une femme, se marier c'est comme sauter dans la rivière en plein hiver : une chose qu'on ne fait pas deux fois.

De l'union d'un veuf et d'une veuve naît un enfant habillé en deuil.

La seule joie des gens mariés, c'est d'assister au mariage des autres... une joie diabolique !

La veuve de deux maris a droit à une carte de visite avec un w, c'est à dire double veuve !

Quand il s'agit de se marier, on est bien embarrassé de choisir ; le mariage a tant de chances contraires ! Ma foi, le meilleur est, je crois, de ne choisir point.

Aimer et se marier, c'est bien différent. Aimer ne suffit pas.

Informatique : Alliance d'un science inexacte et d'une activité humaine faillible.

L'union fait la force.

Se marier, c'est prendre femme. Mais la femme de qui ?

Certaines femmes aiment tellement leur mari que, pour ne pas l'user, elles prennent ceux de leurs amies.

Quand on est marié, il faut rester avec son mari et ses enfants, attendre là que le reste de soi-même se soit tout évaporé.

Le métier de mari n'est si difficile que parce qu'il n'a pas de vacances. Créez des week-ends conjugaux et tout ira bien.

Lorsqu'on couche longtemps avec une femme mariée, il y a toujours un moment où l'on est pour le mari.

Il me semble, que, des amants les plus tendres et les plus ardents, le mariage, même le plus heureux, ne peut faire que des fonctionnaires de la volupté et des ronds-de-cuir du bonheur.

J'ai toujours pensé que toutes les femmes devraient se marier, mais non les hommes.

Il y a tant de femmes qui, le lendemain de leur mariage, sont veuves du mari qu'elles avaient imaginé.

Un arbre est une alliance entre le proche et le lointain parfait.

On devrait se marier entre compagnons d'enfance.

La femme mariée est une chasse gardée où souvent même le patron ne chasse plus.

J'ai toujours considéré une jeune veuve qui pleure son mari comme un bâton de bois vert qu'on a jeté en travers sur le feu : il pleure par un bout, quand le coeur est près de s'enflammer.

Epouser une maîtresse, c'est mettre en hachis les restes d'un vieux gigot.

Il y a cette différence entre un cornichon et un mari que l'un se confit dans son entier et l'autre dans sa moitié.

La femme est une propriété dont le mari a rarement l'usufruit.

Les femmes mariées sont comme les serrures : toutes ont leurs pennes.

Marié : n'être ni seul ni ensemble.

A la mort de son mari, elle cessa enfin de se sentir seule.

Elle cherche un mari pour sa fille et une femme mariée pour son fils.

A notre époque, on ne se marie jamais très bien du premier coup, il faut s'y reprendre.

Que d'époux ne sont séparés que par le mariage !