Page 16 | Superbes citations sur le mariage

A l'homme moyen, cinquante années de mariage suffisent à peine pour comprendre une seule femme.

Je me suis marié parce que ça donnait le droit à un costume pur laine et des chaussures en cuir : voilà où ça mène l'élégance.

On devrait pouvoir se faire interdire de mariage, comme on le fait pour le jeu.

Se marier c'est le destin, se pendre aussi.

Se marier c'est être aussi bien avec elle que si on était tout seul.

Pour faire le bonheur de son mari, il faut croire son mari et ne pas croire au bonheur.

Dieu a inventé le concubinage. Satan le mariage.

Celui qui est passionnément amoureux devient inévitablement aveugle aux défauts de l'objet aimé, bien qu'en général il recouvre la vue huit jours après le mariage.

De nos jours, le plus grand problème du mariage est de subvenir, avec un seul salaire, aux besoins de sa femme et à ceux de l'Etat.

Ce qui se fait au ciel, nous l'ignorons ; ce qui ne s'y fait pas, on nous le dit expressément : on ne s'y marie pas et l'on est pas donné en mariage.

Ce qu'il y a d'irritant pour un mari lorsque sa femme n'a rien à dire, c'est la façon dont elle ne le dit pas.

Il est exact que ça porte malheur de se marier un vendredi 13, car il n'y a pas de raison pour que ce jour fasse exception.

Le mari n'est jamais qu'un laquais ou qu'un maître. La femme a, sur ce point, des raisons qui font loi.

Oh ! le mari, le précieux mari ! personnage indispensable à la solidité des liaisons adultères !

Ayez vos yeux bien ouverts avant de vous marier, et mi-clos quand vous serez mariés.

Un célibataire n'a pas la valeur qu'il atteint dans le mariage. Il ressemble à la moitié dépareillée d'une paire de ciseaux.

Il y a des femmes qu'on ne devrait jamais épouser soi-même. On devrait les laisser épouser par ses amis.

Depuis que je suis marié, je n'ai jamais mis les pieds dans une autre femme.

L'infidélité de son mari, il faut des années pour en avoir le soupçon ; il suffit d'un quart d'heure pour en être sûre.

Epouser sa maîtresse, c'est à se demander s'il ne vaut pas mieux épouser celle des autres.

L'amour est un plat vite écoeurant, quand le mariage lui sert de sauce.

Un mari ne doit jamais s'endormir le premier ni se réveiller le dernier.

Un amant apprend à une femme tout ce qu'un mari lui a caché.

La femme est pour son mari ce que son mari l'a faite.

Baisers, baves d'amour, basses béatitudes, ô mouvements marins des amants confondus.

Un optimiste est celui qui croit que le mariage est un pari.

Il ne faut pas oublier que le premier devoir, dans le mariage, est de se faire pardonner d'être là.

Un véritable roi n'est ni mari ni père.

L'amour le plus parfait n'est pas le mariage.

- Vous êtes marié ? - Ça m'arrive.

Pour se marier, il faut un témoin, comme pour un accident ou un duel.

C'est très joli la fidélité, mais c'est une arme à double tranchant. Combien de gens se croient tout permis dans leur mariage sous le prétexte qu'ils sont fidèles !

L'avantage du célibataire sur l'homme marié, c'est qu'il peut toujours cesser de l'être s'il trouve qu'il s'est trompé.

Une belle-mère, c'est une dame qui donne sa ravissante fille en mariage à un monstre horrible et dépravé pour qu'ils fassent, ensemble, les plus beaux enfants du monde.

Dans nos pays monogames, se marier c'est diviser ses droits de moitié et doubler ses devoirs.

Si l'on pouvait prolonger le bonheur de l'amour dans le mariage, on aurait le paradis sur la terre.

L'union fait la force. Oui. Mais la force de qui ?

Noces. Cérémonie dans laquelle deux personnes s'engagent à devenir une, une s'engage à devenir rien du tout, et rien ne s'engage à devenir supportable.

Etre un homme marié est une occupation à temps complet. Voilà pourquoi tant de maris échouent. Ils ne peuvent y consacrer toute leur attention.

Être grand, c'est épouser une grande querelle.