Page 44 | Citations sur les hommes

Quand les droits de l'homme sont en jeu, il faut crier.

Quand la maison d'un homme est pleine de chiens sauvages il lui faut chercher la paix ailleurs.

Quand la chance le désire, un homme est heureux.

Quand l'homme essaie d'imaginer le Paradis sur terre, ça fait tout de suite un enfer très convenable.

Quand l'homme perd son esprit, il perd tous ses moyens.

Quand l'homme regarde la femme, il voit d'un oeil sa moitié et de l'autre sa rivale. La femme voit d'un oeil ou de l'autre, son appui et son maître, même quand elle se croit affranchie.

Quand je ne vis plus les hommes, je cessai de les mépriser ; quand je ne vis plus les méchants, je cessai de les haïr.

Quand Dieu couche les hommes sur le dos, alors ils regardent le ciel.

Qu'un homme est méprisable, à l'heure du trépas, lorsque, ayant négligé le seul point nécessaire, il meurt connu de tous et ne se connaît pas.

Presque tous les hommes connaissent leurs vrais intérêts, et ne les suivent pas mieux pour cela.

Presque tous les hommes sont esclaves faute de savoir prononcer la syllabe : non.

Presque jamais l'homme n'agit par acte naturel de son caractère, mais par une passion secrète du moment, refugiée, cachée dans les derniers replis du cœur.

Prenez garde à l'homme dont le dieu est dans les cieux.

Pour qu'une liaison d'homme à femme soit vraiment intéressante, il faut qu'il y ait entre eux jouissance, mémoire ou désir.

Pour que l'homme n'ayant pas de chemise soit heureux, il faut que la femme qui l'accompagne n'en porte pas non plus.

Pour chaque homme qui a réussi, il y en aura toujours un autre qui dira : "J'étais à l'école avec lui !"

Pour attirer les hommes, je porte un parfum qui s'appelle “Intérieur de voiture neuve” !

Plus un homme est grand, plus il est coupable s'il ébruite les fautes de ceux qu'il connaît.

Plus les hommes seront éclairés, et plus ils seront libres.

Plus l'homme perd le sens de la foi, moins il perçoit l'importance de la charité.

Pauvres hommes ! Comme vous ressemblez dans toutes vos entreprises au joueur d'Echecs qui "aurait pu gagner la partie".

Pas d'homme sans femme, et pas de femme sans homme, et point d'union entre les deux sans la présence divine.

Ou cet homme est mort ou ma montre s'est arrêtée.

On reconnaît tout de suite un homme de jugement à l'usage qu'il fait du point et virgule.

On peut mieux se passer des hommes que des femmes; c'est pourquoi c'est eux qu'on sacrifie dans la guerre.

On ne peut ranger les hommes mais les hommes sont interchangeables.

On ne mesure pas les hommes à la toise.

On ne jugera jamais bien des hommes si on ne leur passe les préjugés de leur temps.

On ne fraye jamais avec un homme célèbre, une personnalité comme ils disent, sans être tenté d'en profiter un peu.

On ne doit juger d'hommes et de vins sans les éprouver, soir et matin.

On ne doit pas juger d'un homme par ses grandes qualités, mais par l'usage qu'il en sait faire.

On ne devient un homme et on ne peut percevoir le vrai sens de notre existence que lorsque l'on a pris conscience que l'on n'était pas le centre de l'univers.

On juge un homme aux factures qu'il reçoit.

On gouverne les hommes avec la tête ; on ne joue pas aux échecs avec un bon coeur.

On fait l'éloge d'un homme en disant qu'il est humain et d'une femme en disant qu'elle est inhumaine.

On demande homme-tronc pour fondation arbre généalogique.

On appelle intellectuel l'homme qui, sur une autoroute, est capable de lire les inscriptions sur les panneaux indicateurs sans remuer les lèvres.

On accusait autrefois les hommes politiques de ne songer qu'à "se remplir les poches". Aujourd'hui, on ne leur reproche plus guère que de vider les nôtres.

On a vu des hommes monter sur l'échafaud, n'ayant que ce moyen pour s'élever au-dessus des autres.

Nous avons à faire à des hommes. Nous serions naïfs d'espérer uniquement de l'intelligence et du dévouement. C'était fatal que nous rencontrions aussi l'abjection, la sottise.