Page 80 | Citation sur les femmes

Les hommes ont tort de dire du mal des femmes : elles font ça tellement mieux qu'eux.

Un mari porte un masque avec le monde et une grimace avec sa femme.

Si les hommes n'entendent rien au coeur des femmes, les femmes n'entendent rien à l'honneur des hommes.

Nous nous attachons quelquefois plus à une femme par les infidélités que nous lui faisons que par la fidélité qu'elle nous garde.

Un cheval dompté n'a pas la vie belle. Une femme non plus.

Le monde entier est un théâtre, et tous, hommes et femmes, n'en sont que les acteurs. Et notre vie durant nous jouons plusieurs rôles.

Etre aimée, c'est le premier désir et le plus grand trésor qu'une femme convoite.

Les hommes sont faits pour avoir de l'argent ! Pas les femmes. Les femmes sont faites pour en demander.

Connaissant les hommes, je donne toujours raison aux femmes.

Il faut user un grand nombre de femmes bêtes pour oublier une femme intelligente !

Mettez-vous dans l'esprit que les femmes veulent qu'on les aime, mais en même temps qu'on les divertisse.

Ce matin en me rasant j'ai pensé à toi et je me suis coupé. Les femmes sont dangereuses.

Le père est un miroir dans lequel la petite fille puis l'adolescente, peut discerner les prémices de la femme qu'elle deviendra.

Rien de tout ce qui existe n'a jamais exercé sur moi un si fort pouvoir qu'une belle figure de femme.

La simple infidélité serait insipide et ne tenterait pas une femme sans l'assaisonnement de la perfidie.

Gardez le charme d'une légère timidité sans en éprouver les terreurs, comme certaines femmes savent conserver le ravissant duvet de la pudeur alors qu'elles ne craignent plus l'amour.

Ce que la nuit est au jour, la femme l'est à l'homme.

Le temps de l'homme amoureux est destiné à la femme qu'il aime. C'est le seul message d'amour valable.

La bigamie, c'est quand on a deux femmes ; et la monotonie, c'est quand on n'en a qu'une !

Sur dix hommes distraits, il y en a neuf qui pensent à une femme.

L'homme se souvient du passé, la femme pressent l'avenir ; le couple voit le présent.

On ne peut concevoir le ciel sans la terre, ni la terre sans le ciel. Peut-on concevoir un homme sans épouse, une femme sans mari ?

Ah, si j'étais un homme, vous respecteriez la femme que je suis !

Etrange nature humaine ! Elle est la face cachée de tout ce que l'homme et la femme possèdent d'irremplaçable, d'authentique.

Là où tant d'hommes ont échoué, une femme peut réussir.

Dieu, lui aussi, a essayé de faire des ouvrages. Sa prose, c'est l'homme. Sa poésie, c'est la femme.

On peut avoir le dernier mot avec une femme, à la condition que ce soit oui.

Curiosité. Vilain défaut de l'esprit féminin. L'envie de savoir si oui ou non une femme se consume de curiosité est l'une des passions les plus actives et les plus insatiables de l'âme masculine.

Je peux regarder des civilisations disparaître, des villes flamber ou des planètes exploser sans réagir. Mais montrez-moi une larme sur la joue d'une femme et vous ferez de moi ce que vous voudrez.

Si le plus grand plaisir des hommes est de se payer les corps des femmes, le plus grand plaisir des femmes est de se payer la tête des hommes.

Tous les matins, j'apporte à ma femme le café au lit... Elle n'a plus qu'à le moudre !

La laideur est moins horrible chez un démon que chez une femme.

Ceux qui disent toujours du bien des femmes ne les connaissent pas assez ; ceux qui en disent toujours du mal ne les connaissent pas du tout.

On peut souvent juger de l'esprit d'une femme sur ce qui la fait rire, mais aussi sur ce qui ne la fait pas rire.

Les talons hauts ont été inventés par une femme que l'on embrassait toujours sur le front !

L'origine des maux profonds dont souffre l'humanité vient de la guerre sourde que se font les femmes maigres et les femmes grasses.

Chocolat ! Voilà bien un mot qui évoque des extases indescriptibles. Est-il un homme, une femme ou un enfant qui n'en a pas désiré, qui n'en a pas dévoré, et qui l'instant d'après, n'a pas rêvé d'en dévorer encore ?

Depuis Adam, il n'y a eu guère de méfaits en ce monde où une femme ne soit entrée pour quelque chose.

Le drame réel et insoutenable est que la femme épouse l'homme en espérant qu'il va changer, et il ne change pas, alors que l'homme épouse la femme en espérant qu'elle ne changera pas, et elle change.

C'est une chose terrible qu'avec les femmes il n'y ait jamais moyen de placer un mot.