Page 15 | Belles citations sur la famille

Dans les démocraties, chaque génération est un peuple nouveau.

Mon plus proche parent, c'est moi-même.

L'homme-individu est essentiellement famille, tribu, nation. Tandis que l'humanité, elle, n'a pas encore trouvé autour de soi d'autres Humanités pour se pencher sur elle et lui expliquer où elle va.

La brièveté est soeur du talent.

Telle est l'ingrâte position du père au sein de la famille : pourvoyeur pour tous, ennemi de tous.

A chaque jour suffit sa peine, à chaque être sa famille.

Les parents. Ils ont déjà pensé à tout. Pas moyen de réfléchir et de décider soi-même.

Sang ô sang noir de mes frères, vous tachez l'innocence de mes draps, vous êtes le sueur où baigne mon angoisse, vous êtes la souffrance qui enroue ma voix.

La télé, c'est à ça qu'elle sert : devant toutes ces horreurs, guerres, crashes, meurtres, les familles s'estiment un peu heureuses au fond, et elles font taire, elles rentrent leurs petites rancoeurs.

Parents, n'exaspérez pas vos enfants de peur qu'ils ne se découragent.

Pourquoi voyez-vous une paille dans l'oeil de votre frère, tandis que vous ne voyez pas une poutre dans la vôtre ?

La pudeur, n'est rien, elle n'est qu'une invention des lois sociales pour mettre à couvert les droits des pères et des époux et maintenir quelque ordre dans les familles.

Même les parents riches, s'ils ne sont pas regardants sur l'argent de poche, passent leur temps à vous faire peur par la façon dont ils parlent de l'avenir.

Je suis esclave de mon baptême. Parents, vous avez fait mon malheur et vous avez fait le vôtre.

Un puceron a plus d'ancêtres qu'un éléphant.

L'ironie et l'intelligence sont soeurs de sang.

Chaque génération doit à la suivante ce qu'elle a reçu de ses devancières, un ordre social établi.

Nous, les enfants, nous venons au monde quand les parents ont déjà accaparé le pouvoir dans la famille !

Elle dévisagea sa soeur, puis la dépoitrina et enfin la déjamba.

Les jumelles grossissent et les soeurs qui ne le sont pas grandissent.

Aimer ses parents c'est prendre sur soi, agir par sa volonté pour leur faire plaisir.

Les chrétiens ne sont guère logiques avec eux-mêmes. Ils prônent les familles nombreuses et adorent le fils unique.

Il nous faut faire ce que commandent nos parents.

Aujourd'hui encore, le destin de la femme, dans la plupart des familles, c'est de ne pas bouger.

Je n'ai pas besoin d'ennemis, j'ai de la famille.

S'informer, c'est se retrancher, n'importe quel père de famille vous le dira, à l'heure de la vaisselle. Le quotidien qui informe nous préserve de celui qui encombre.

On est tous frères, c'est entendu. Mais on n'est pas jumeaux.

Dans la vie la vraie chance consiste à naître fils unique d'une famille riche.

Si le centre est stable, alors la famille est soudée.

Mon pauvre oncle disait souvent : "Il faut toujours tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler." Que devrait-on faire avant d'écrire ?

Nos parents et nos maîtres sont nos ennemis naturels quand nous entrons dans le monde.

Courroux de frère, courroux de diables d'enfer.

Vilain enrichi ne connaît ni parent ni ami.

Les parents ont une si pauvre psychologie de l'amour qu'on aurait le droit de croire qu'ils ont tous fait des mariages de raison.

Assiste ton frère, qu'il soit oppresseur ou opprimé.

La procédure est soeur jumelle de la Liberté.

Trouver son chemin est une affaire personnelle, une affaire de lectures, de rencontres, de famille quelquefois, d'amitié le plus souvent.

Les foyers qui tiennent sont ceux qui cultivent l'égoïsme.

Je n'ai jamais pu voir les épaules d'une jeune femme sans songer à fonder une famille.

Il n'y a d'amis, d'épouses, de pères et de frères que dans la patrie. L'exilé partout est seul.