Les citations proposées par les internautes - page 7
Vous aussi, devenez auteur et proposez vos propres citations, ou comblez les manques de notre liste, les oublis de notre site.Vous retrouverez ici toutes les dernières propositions acceptées après relecture par notre rédaction.
Rendez-vous sur cette page pour nous soumettre vos propositions de citation.
-
Il y a sûrement une façon logique d’expliquer cette fête bizarre.
film Létrange Noël de monsieur Jack -
Le roi d’Halloween mange les pissenlits par la racine !
film Létrange Noël de monsieur Jack -
Un bonhomme de neige multiplié par douze marrons chauds divisé par la racine carrée du 25 Décembre plus un perce-oreille égal Noël ?
film Létrange Noël de monsieur Jack -
Jamais je n’aurais pensé que nous serions aussi cauchemardesque. Bravo, vous êtes effroyables !
film Létrange Noël de monsieur Jack -
Je suis l’esprit du mal, le génie infernal ! Les revenants ne vont pas en revenir Je suis marié à la peur, l’horreur et la terreur, pour le meilleur et surtout le pire.
film Létrange Noël de monsieur Jack -
Les convulsions qui bouleversent aujourd'hui les peuples ne sont, je l'espère, que l'enfantement douloureux de la paix et de la fraternité universelles.
Harriet Beecher Stowe -
La harpe des sentiments humains est ainsi tendue, que si un choc n'en brise pas à la fois toutes les cordes, il leur reste toujours quelques harmonies.
Harriet Beecher Stowe -
Les larmes les plus amères versées sur les tombes sont celles des mots non dits et des actes non accomplis.
Harriet Beecher Stowe -
Est-ce que tu as la moindre idée de ce qui va se passer si pour la première fois dans l'histoire de Noël, les enfants n'ont pas de jouets.
film Santa & cie -
Il y a quoi...15000 portes, 16 fenêtres et 12 tiroirs...Donc ça doit faire quoi ? A peu près 600 ans pour vous ?
film santa & Cie -
Oui, je sais ce qu'est une prison. Je fais des Monopoly ; des dés, un double et je sors.
film santa & Cie -
Tu vas voir, si je jouais aux poupées!
film santa & Cie -
Tu y vas, tu rentres dedans et tu demandes le rayon Lutin !
film Santa & Cie -
Haine, haine, haine, haine, haine, haine. Double haine. Déteste totalement.
film Le Grinch -
Écoute-moi bien, jeune fille ! Même si nous sommes horriblement mutilés, il n'y aura pas de visages tristes à Noël.
film Le Grinch -
Peut-être que Noël ne vient pas d'un magasin. Peut-être que Noël signifie un peu plus.
film Le grinch -
16h00, m'apitoyer sur mon sort ; 16h30, regarder dans l'abîme ; 17h00, résoudre le problème de la faim dans le monde, ne le dire à personne ; 17h30, faire du jazz ; 18h30, dîner avec moi, je ne peux pas annuler ça à nouveau ; 19h00, lutter contre mon dégoût de moi-même... Je suis pris.
film Le grinch -
Faites exploser cette musique de Noël. Elle est joyeuse et triomphante.
film Le Grinch -
Si je devais être envieux de la carrière de quelqu'un ce serait de celle de mon ami Alain Bashung. Pour le coup, ce serait vraiment un compliment d'être comparé à lui.
Dick Rivers -
Tout le monde aujourd'hui se fiche un peu du disque. Il n'y a plus de support, tout est dématérialisé, disponible en streaming... Il n'y a plus ce culte de l'objet...
Dick Rivers -
Je rêve de faire les Vieilles charrues.
Dick Rivers -
Johnny, humainement, je le respectais, je l'aimais bien et je crois que c'était réciproque, mais je n'étais pas son ami comme pouvaient l'être Eddy Mitchell ou Jacques Dutronc, ses copains d'école, de bande, de bringue...
Dick Rivers -
J'aime le côté indépendant et rock des Bretons !
Dick Rivers -
Le vrai rock'n'roll, j'en fais en ce moment sur scène pour mon plaisir et celui du public, j'espère. Mais celui qui a bercé ma prime jeunesse n'existe plus.
Dick Rivers -
Je n'ai jamais suivi les tendances. J'ai fait ma propre mode.
Dick Rivers -
Ce n'est pas tellement un problème de reconnaissance du chanteur. Au bout de cinquante ans de carrière, je n'en suis plus là. C'est plutôt le manque de reconnaissance à l'homme qui me chagrine.
Dick Rivers -
Aujourd'hui, physiquement, tenir deux heures sur scène, je ne pense pas que je puisse encore le faire... J'avais peur pour ma voix, parce que même ma voix avait changé.
Dick Rivers -
Que Ruquier fasse comme si je n'existais pas, que Drucker ne m'ait jamais invité, je trouve ça limite irrespectueux. Même chose pour les Enfoirés, quand on sait que c'est moi qui, le premier, ai imposé Coluche en première partie de mes spectacles.
Dick Rivers- 1
-
La Bretagne, c'est spécial ! Je ne sais pas comment vous dire... Les Bretons sont très musiciens.
Dick Rivers -
Comme je dis souvent, j'ai été aussi ravi de rencontrer Édith Piaf et Georges Brassens qu'Elvis Presley et les Beatles.
Dick Rivers -
À Nice, je suis toujours le fils du boucher !
Dick Rivers -
J'ai vécu de sacrés galères mais j'ai jamais laché le rock.
Dick Rivers -
Depuis l'accident, je pense souvent à la mort, parce que c'est la fin, et que je redoute la fin.
Dick Rivers -
Je n'ai jamais enregistré de la soupe pour être à la mode et je trouve que je continue à évoluer assez honorablement.
Dick Rivers -
J'en ai marre d'être sous-évalué.
Dick Rivers -
Quand je me regarde dans la glace, je n'ai pas honte. Humainement, je ne me trouve pas trop mal. Musicalement, j'assume tout ce que j'ai fait.
Dick Rivers -
Quant à savoir ce que c'est qu'être rock, c'est une affaire d'attitude tout autant que de façon de penser.
Dick Rivers -
J'appartiens à une génération qui était, entre guillemets, "rebelle sans raison". Nous rêvions de nous éloigner de nos parents, mener notre vie en toute indépendance.
Dick Rivers -
J'en ai marre d'être sous-évalué, mais on arrive à un moment où cette authenticité devrait finir par payer. Je sens un respect à défaut de véritable reconnaissance.
Dick Rivers -
Je suis l'illustration vivante du proverbe « Nul n'est prophète en son pays ». Pour ça, je suis jaloux de mon ami Cabrel : dans sa région, c'est Dieu le père.
Dick Rivers