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Les yeux, messagers des gestes subtils.

• 1

Plus l’obsession de l’apparence progresse, plus l’authenticité régresse.

Le temps guérit les blessures. Le pardon les efface.

Ce qui est précieux avec les souvenirs, c'est leur capacité à rendre éternels les moments éphémères !

Ce qui est délicat avec les émotions, c'est leur aptitude à nous gouverner sans que nous en soyons conscients !

Ce qui est magique avec l'intuition, c'est sa manière de nous guider là où la raison échoue.

Se souvenir, ne signifie pas revivre.

• 1

Ce qui est extraordinaire avec les rêves, c'est leur capacité à transformer la réalité.

• 1

La conscience peut souvent se révéler être un lourd fardeau.

• 1

Le courage ne rugit pas ; il murmure dans le silence de l'action, lorsque la peur vacille et que le devoir s'impose.

Plus la peur de l’échec progresse, plus le courage d’essayer régresse.

• 1

La jeunesse est le moment de planter des arbres, la vieillesse est le moment de les récolter. Les fruits sont amers ou doux selon les espèces d'arbres plantés .

La joie arrive un jour de pluie pour nous dessiner un soleil.

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Mes objectifs de la rentrée c'est de m'en sortir.

• 4

Le sport, c'est la vie en accéléré. Chaque défi sur le terrain est une opportunité de se surpasser et de prouver que les rêves n'ont pas de frontières.

Le sport, au fond, c'est aussi la bonne relation à soi, le partage avec les autres et la transmission de ses ainés.

Gagner était une question de vie ou de mort

Je voulais marquer l'histoire

Je m'exprimais en courant.

Je veux jouer dans un film à la Statham.

Ce n'est jamais pareil, chaque médaille a sa particularité: la première, on ne l'oublie jamais, un titre olympique, on l'oublie encore moins... La neuvième, c'est le fait de continuer de prendre du plaisir.

J'aime l'amusement, même si je mets un minimum de sérieux dans ce que je fais. Avec des limites quand même. Mais c'est vrai que je rigole tout le temps. J'ai besoin de m'amuser. La joie, ça fait partie de moi. Si on m'a éduqué à quelque chose, c'est bien au plaisir.

Aujourd'hui, je suis préparé à toute situation.

Subir, c'est se mettre une pression monstre sur les épaules. Quand je suis arrivé en équipe de France, j'ai de suite vu que certains anciens ne feraient pas de médailles. Ça se voyait rien qu'à leur regard. Je ne dirais pas qui mais, sur leur visage, il y avait marqué pression.

Je n'aime pas stagner, faire du surplace. Je suis quelqu'un de positif.

Je ne crache pas sur l'argent, mais je n'accepte pas n'importe quoi !

J'ai besoin de souffler. Ces dernières années ont été dures pour moi. J'ai énormément enchaîné.

La préparation à laquelle je me suis astreint a retiré tous les doutes que j'aurais pu avoir.

Si tu n'as pas l'envie, c'est mort ! L'envie te permet de te relever. De te dépasser quand c'est dur.

Tant que la motivation sera là, j'espère qu'il y aura de belles médailles.

Fais ce que tu sais faire, gros, donne tout ! C'est simple, il faut se dire que c'est simple.

Il faut se dire une chose, c'est que l'erreur est humaine. Imaginons qu'il n'y ait pas d'arbitres. Sans arbitres, il n'y a pas de sport. Quelqu'un qui agresse un arbitre, doit être radié de tous les terrains, et de toutes les salles de sport. A vie, sans exceptions.

Un kimono, c'est pas juste un bout de tissu, c'est une arme de guerre.

Je pense aux Jeux Olympiques matin, midi et soir. J'en rêve, j'en cauchemarde.

Je suis très content d'avoir réussi à aller au bout de cette journée. Je suis fatigué, je ne vais pas vous mentir, je suis claqué, mais le plaisir, la joie de savourer cette médaille viendra. Pour l'instant, je ne sens plus mon corps. Mais je suis très content parce que la médaille d'or est à moi.

On n'a rien sans rien. Si on ne se met pas la misère à l'entraînement, si on ne se force pas à repousser les limites, on ne va nulle part.

Éloignez-vous des gens toxiques, ils ne sont bons qu'à vous empoisonner la vie.

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Qui se contente de peu, se contente de tout.

Parfois, il faut se battre avec le silence plutôt qu'avec les mots et parfois les mots sont meilleurs que les armes.

Parfois, tu apprends au prix d'une douleur.