Les citations proposées par les internautes - page 66
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Il faut redonner confiance à la jeunesse.
Valérie Pécresse -
Faire reculer le racisme et l'antisémitisme. Chacun de nous est dépositaire de ce message d'humanisme.
Anne Hidalgo -
La pierre survit toujours à celui qui la cisèle, toujours à celui qui l'oublie
Christine Lagarde -
Cessons d’être moralisateurs. Devenons plutôt initiateurs et incitateurs.
Michèle Alliot-Marie -
Publier ses mémoires, répondre à des interviews sur sa propre vie, n'est-ce pas déjà exister à titre posthume ?
Simone Veil -
Rappeler aux esprits angéliques que les réformes de société s'effectuent toujours dans la douleur.
Simone Veil -
Ce qui m'attriste, c'est de penser que notre expérience et le prix si élevé que nous avons payé n'ont pas réussi à rendre l'humanité un tant soit peu meilleure, plus pacifique, plus respectueuse d'autrui.
Simone Veil -
Les journalistes avaient l'habitude de préférer le spectaculaire à l'objectivité.
Simone Veil -
Il est toujours tentant de simplifier ; on désigne des responsables, des coupables, en faisant bon marché de réalités complexes.
Simone Veil -
La politique me passionne, mais dès qu'elle devient politicienne, elle cesse de m'intéresser.
Simone Veil -
Je ne suis pas de ceux et de celles qui redoutent l'avenir.
Simone Veil -
Dans une même personne, très souvent, le meilleur et le pire coexistent.
Simone Veil -
Ce dont nous avons souffert le plus, c'est d'avoir vécu si proches de la frontière de ce qui distingue l'être humain de l'animal.
Simone Veil -
La culture est un instrument exercé par des professeurs pour la fabrication de professeurs qui, à leur tour, fabriqueront des professeurs.
Simone Veil -
Mon premier réflexe est toujours de dire non.
Simone Veil -
En honorant ceux qui ont refusé de se plier à la fatalité de la volonté exterminatrice de l´idéologie nazie, la médaille des Justes contribue à rétablir l´Histoire dans sa vérité.
Simone Veil -
Mon expérience personnelle changeait mon regard sur le sens de la condamnation et les conditions de détention. Il ne faut jamais faire perdre aux gens leur dignité. Il ne faut pas les humilier.
Simone Veil -
Je voudrais d'abord vous faire partager une conviction de femme (je m'excuse de le faire devant cette Assemblée presque exclusivement composée d'hommes) : aucune femme ne recourt de gaieté de coeur à l'avortement. Il suffit d'écouter les femmes. C'est toujours un drame... C'est toujours un drame, cela restera toujours un drame.
Simone Veil -
La douleur est la racine de la connaissance.
Simone Veil -
Je me suis du reste demandé, à l'époque, si les hommes n'étaient pas, en fin de compte, plus hostiles à la contraception qu'à l'avortement.
Simone Veil -
J'ai le sentiment que le jour où je mourrai, c'est à la Shoah que je penserai.
Simone Veil -
La mauvaise conscience générale permet à chacun de se gratifier d'une bonne conscience individuelle : ce n'est pas moi qui suis responsable, puisque tout le monde l'est.
Simone Veil -
Chaque jour, Maman se tient près de moi, et je sais que ce que j'ai pu accomplir dans ma vie l'a été grâce à elle.
Simone Veil -
Les femmes en politique, ça ne devrait pas donner lieu à des rires ou des plaisanteries.
Simone Veil -
J'ai commencé ma vie dans l'horreur, je la termine dans le désespoir.
Simone Veil -
C'est ici, où le mal absolu a été perpétré, que la volonté doit refaire surface pour un monde fraternel, un monde basé sur le respect de l'homme et sa dignité.
Simone Veil -
Face au milieu au conservatisme très marqué, je présentais le triple défaut d'être une femme, d'être favorable à la légalisation de l'avortement et, enfin, d'être juive.
Simone Veil -
Au fond, ce sont toujours aux faibles que l'on fait la morale, tandis qu'on finit par blanchir les puissants.
Simone Veil -
Quel fut le sort de mon père et de mon frère?? Nous ne l'avons jamais su [...] Je repense à nos efforts, à toutes les trois, pour le convaincre de ne pas nous suivre, et une épouvantable tristesse m'étreint de savoir que nos arguments, loin de le sauver, l'ont peut-être envoyé à la mort. Jean avait alors 18 ans.
Simone Veil -
Elle est morte le 15 mars alors que je travaillais à la cuisine. Aujourd'hui, plus de soixante ans après, je me rends compte que je n'ai jamais pu me résigner à sa disparition. D'une certaine façon, je ne l'ai jamais acceptée. Chaque jour, Maman se tient près de moi, et je sais que ce que j'ai pu accomplir dans ma vie l'a été grâce à elle.
Simone Veil -
Je n'aime pas l'expression devoir de mémoire. Le seul « devoir » c'est d'enseigner et de transmettre.
Simone Veil -
C'est tout à fait extraordinaire qu'il ait fallu attendre Jacques Chirac pour que soit reconnue la responsabilité de l'Etat français dans la déportation des juifs.
Simone Veil -
Je suis toujours rebelle ! C'est presque un réflexe : quand on me dit quelque chose, immédiatement, j'ai envie de dire le contraire.
Simone Veil -
On ne gâte jamais trop un enfant.
Simone Veil -
J'ai souvent eu l'impression d'être une femme alibi. Partout où je suis passée, j'ai entendu : «Mais si, on donne la parole aux femmes puisqu'il y a Simone Veil.»
Simone Veil -
L'avortement n'est jamais une victoire.
Simone Veil -
Fraternité et avenir, sous l'égide de ces beaux mots, qui ont naturellement cours chez nous, je suis fière d'être reçue par votre Compagnie.
Simone Veil -
Ma loi a bouleversé les relations entre hommes et femmes.
Simone Veil -
La vie elle-même change tellement vite. C'est tellement difficile aujourd'hui de faire des pronostics sur ce que seront les choses dans dix ans.
Simone Veil -
Le danger n'est plus qu'on ne parle pas de la Shoah, mais qu'on en parle à mauvais escient.
Simone Veil