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Personne n’est préparé à arriver au sommet.

Aujourd’hui, je suis un artiste épanoui, j’ai la chance d’être marié à une femme qui me transcende, me porte, m’élève. Qu’est-ce qu’on peut demander de mieux ?

Que ce soit pour cet agent ou pour ce footballeur, c'est l'argent qui prime et ce sont les clubs qui font la pluie et le beau temps.

Les enjeux sont tellement fous, c'est tellement faramineux que les situations sont proportionnelles. On parle de milliards, donc la vie d'un homme n'a pratiquement plus de valeur à ce niveau-là – c'est mon sentiment.

Il y a une intensité folle. Dans le tir au but, par exemple. Il n'y a aucun spectacle qui fait lever 80 000 personnes comme un seul homme. Je n'en connais pas. Et c'est en ça qu'on ne peut pas rivaliser. C'est pour ça qu'on appelle ça l'opium du peuple. Ce n'est pas pour rien.

On prend une balle, n'importe où vous la jetez, quelqu'un vous la rendra.

Aussi loin que je me souvienne, j'ai joué au foot et je pense que c'est un des premiers moyens de communication que j'ai eu.

Cette France qu'on appelait black-blanc-beur et qu'on portait aux nues, aujourd'hui on l'exhibe moins.

Il faut réussir à se dire : « Ça, ce sera pour plus tard », afin d'entreprendre les choses complètement au moment où on les fait.

Je serais impressionnée de donner la réplique à Johnny Depp !

J'enchaîne les films et je me sens enfin légitime en tant que comédienne.

Je ne crois pas que l'on puisse passer des décennies avec quelqu'un sans l'aimer comme un ami.

Je déteste qu'on dise : « Un couple, ça se travaille », non, il faut avoir envie d'être là ? Et moi, j'ai envie d'être là où je suis en ce moment.

Aimer, c'est douter.

Je ne suis pas pour autant dans la retenue, je fais juste attention à ce que je dis, afin que le fond de ma pensée soit recevable.

Je suis plutôt combattante que victime.

Savoir comment être heureux en étant parfois égoïste, parfois totalement généreux et parfois les deux en même temps.

Je suis à l'aise et heureuse dans mon âge. Je vis beaucoup dans le moment présent.

Je ne mène pas un combat en particulier, mais j'essaie en revanche d'aider au maximum à mon niveau.

Si on me demande de réconforter, de chanter, de dessiner pour la bonne cause, j'y vais.

Je suis dans le présent. Je n'ai pas la recette du bonheur, mais le moteur, je crois, c'est simplement d'avoir envie.

Je me demande toujours : " Qu'est-ce qu'il me restera quand j'aurai 80 ans ? " C'est la profondeur qui restera.

La vie est comme l'océan, elle monte et descend.

Comme beaucoup de gens, je me sens bien plus heureuse aujourd'hui qu'à 20 ans.

Je n'ai pas la recette du bonheur, mais je pense que le moteur c'est simplement d'avoir l'envie.

L'amour est la chose la plus forte et la plus fragile que nous ayons dans la vie.

Je sens beaucoup d'amour de la part des français.

Lorsqu'on respecte autrui, comme son environnement, on se respecte aussi soi-même.

Contrairement à ce que l'on pourrait penser, je n'ai pas le temps de regarder pousser les fleurs ! Pourtant j'aimerais bien.

J'ai eu des hauts et des bas, des doutes et des certitudes, mais je n'ai pas peur d'aller vers mes 80 ans !

Rien n'est jamais sûr, mais quand quelque chose en amour ne marche pas depuis le début, ça ne marchera jamais. Ne poussez pas.

Même si je ne regrette pas ce que j'ai fait, je préférerais que ma fille prenne le temps d'apprendre, et, surtout, de vivre son enfance.

Je ne vois pas pourquoi les actrices auraient peur de la transformation.

L'acteur ne peut pas faire le boulot tout seul, de même que le metteur en scène n'est pas là pour façonner sa poupée.

Si on décide de jouer un rôle, c'est forcément parce qu'on pense qu'il sera fort.

C'est trop compliqué de se torturer en se demandant pourquoi les gens vous aiment, pourquoi ils vous choisissent. L'important est qu'ils le fassent pour les bonnes raisons et que vous ayez bossé pour le mériter.

La complicité nivelle les différences.

Je ne cultive pas le sourire permanent.

Vous avez le choix de ne pas aller au cinéma si vous n'avez pas envie de me voir.

À chaque fois, on me dit: «Vous êtes toujours bougon, etc.» Je ne sais pas quoi répondre, parce que selon moi, je n'interprète pas toujours des bougons.