Les citations proposées par les internautes - page 46
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Je découvre les joies de l'autonomie zéro, de l'entière dépendance aux humains qui m'entourent et que je ne connaissais pas hier.
Grand Corps Malade -
On a trempé notre plume et est-ce vraiment une hérésie de se dire qu'on assume et qu'on écrit de la poésie.
Grand Corps Malade -
Certains savent comme moi qu'y a des regards qu'on oublie pas.
Grand Corps Malade -
L'innocence. Un être doux, très gentil mais qui manque un peu d'expérience.
Grand Corps Malade -
Quand je ferme les yeux, c'est pour mieux ouvrir les cieux.
Grand Corps Malade -
J'ai rencontré la nostalgie, la fiancée des bons souvenirs qu'on éclaire à la bougie.
Grand Corps Malade -
Le destin est un farceur on peut tomber à chaque instant, pour l'affronter, faut du coeur et un mental de résistant.
Grand Corps Malade -
L'ultime épreuve où tu affrontes la pire souffrance morale, c'est quand la peine rejoint l'impuissance.
Grand Corps Malade -
La vie c'est gratuit je vais me resservir et ce sera toujours pareil ; moi je me couche avec le sourire et je dors sur mes deux oreilles.
Grand Corps Malade -
La patience est un art qui s'apprend patiemment.
Grand Corps Malade -
Personne d'autre ne sait mieux que moi aujourd'hui qu'une catastrophe n'arrive pas qu'aux autres, Que la vie distribue ses drames sans regarder qui les mérite le plus.
Grand Corps Malade -
J'ai rencontré l'amitié et depuis ce jour elle marche toujours à mes côtés.
Grand Corps Malade -
La nostalgie, la fiancé des bons souvenirs qu'on éclaire à la bougie.
Grand Corps Malade -
Quand la faiblesse physique devient une force mentale.
Grand Corps Malade -
La tendresse; ce qui reste de l'amour derrière les barrières que le temps dresse.
Grand Corps Malade -
Mais vous savez quoi ? La détresse, elle a pas de conversations.
Grand Corps Malade -
J'ai rencontré quelques peines, j'ai rencontré beaucoup d'joie; c'est parfois une question d'chance, souvent une histoire de choix.
Grand Corps Malade -
Laisse moi mon stylo, y'a pas moyen que je m'arrête ; j'ai une envie d'écrire comme t'as une envie de cigarette.
Grand Corps Malade -
Ma vie c'est moi qui vais la peindre, alors je vais y mettre le feu en ajoutant plein de couleurs.
Grand Corps Malade -
La nostalgie; la fiancé des bons souvenirs qu'on éclaire à la bougie.
Grand Corps Malade -
Apprendre, partager, tant qu'y a de l'échange, y'a de l'espoir.
Grand Corps Malade -
La douleur est une bonne source d'inspiration, et que les zones d'ombre du passé montrent au stylo la direction.
Grand Corps Malade -
C'est vrai que la vie est rarement un roman en 18 tomes ; toutes les bonnes choses ont une fin, on ne repousse pas l'ultimatum.
Grand Corps Malade -
Les histoires d'amour c'est comme les voyages en train.
Grand Corps Malade -
Dans l'obscurité j'avance au clair de ma plume.
Grand Corps Malade -
Mes tablettes de chocolat sont devenues de la marmelade.
Grand Corps Malade -
J'ai toujours eu des étoiles sur ma route pour me guider.
Wendie Renard -
Tout est possible. J'ai traversé de nombreuses épreuves, l'essentiel est de ne jamais renoncer.
Wendie Renard -
Dans le sport féminin, tout passe encore par les résultats
Wendie Renard -
Tous les matins, je me lève pour écrire l’histoire.
Wendie Renard -
La motivation, le travail, la performance, il n’y a que ça qui m’anime au quotidien.
Wendie Renard -
Le mot respect est très important pour moi. Je cherche mon respect partout où je passe.
Wendie Renard -
Un séisme sentimental fend le cœur en long et en large, laissant une croix, celle d’une déception à porter le temps de la cicatrisation.
Jean Pierre Szymaniak -
On n'a pas le droit de provoquer la haine des individus ; en revanche, on a le droit de rire de toutes les croyances.
Elisabeth Badinter -
Pour la Leche League, la bonne mère est celle qui allaite. L'envers de la médaille est évidemment la culpabilisation de toutes celles qui ne s'y retrouvent pas. On stigmatise les mères qui préfèrent donner le biberon.
Elisabeth Badinter -
Je ne pardonne pas à la gauche d'avoir abandonné la laïcité.
Elisabeth Badinter -
Il est impensable de censurer qui que ce soit au nom de la responsabilité.
Elisabeth Badinter -
Seule l'utopie du futur réconforte contre le pessimisme de l'Histoire.
Elisabeth Badinter -
Une civilisation meurt quand elle recule sur ses principes et ses valeurs, et quand ceux qui les remettent en question avancent.
Elisabeth Badinter -
Le patriarcat n'est pas un simple système d'oppression sexuelle. Il est aussi l'expression d'un système politique qui a pris appui, dans nos sociétés, sur une théologie.
Elisabeth Badinter