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Être libre, ne signifie pas faire ce que l'on veut, mais être qui l'on est.

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Un bouquet dégage, en l’offrant, un plaisir non dissimulé des fleurs, celui de leur beauté.

La conscience de soi, miroir de l'âme, peut être voilée par les brumes de notre propre esprit, nous rendant étrangers à nous-mêmes.

J'ai terriblement peur de m'ennuyer

Le luxe ! C'est très futile, mais il me rassure.

L'angoisse, ça aide à faire rire.

Le pire paradoxe de l'humanité reste cette façon vouloir de détruire autrui, au nom de la morale.

Le véritable génie n'a pas besoin de mots pour être compris, mais il est d'autant plus admiré lorsqu'il échappe à la compréhension.

À force de se mettre des barrières, on se construit une clôture.

Un pervers narcissique c'est comme le muguet. Les deux ont derrière leur belle apparence quelque chose qui cloche et de hautement toxique.

La réussite naît d’une bonne préparation.

La politesse est la marque de respect qui considère autrui avec bienveillance et considération.

L'absence est légère quand elle est passagère ; définitive, elle pèse.

Ce sont les opposés qui nous font avancer, non pas les similitudes ou les régularités, mais les contrastes qui fertilisent notre progression dans la vie.

C'est le jour où on se dit fou que l'on commence à ne plus l'être.

Une vie qu'éclairent l'optimisme et l'espérance se retrouve rarement dans l'obscurité.

Un rêve ne devient un jour réalité que lorsqu'a été donnée au rêveur la lumière menant à son éveil.

Qui s'éprend plus de l'esprit de l'amour que de sa chair est souvent heureux d'aimer.

À ses déboires à soi, que l'on attribue toujours au fait de l'autre, on ne trouve jamais de solutions.

La facilité, le préjugé et le rejet aiment à présumer plutôt qu'à rechercher.

Il faut savoir donner raison à la raison au lieu des excuses, c'est aussi ça l'intégrité.

Le chemin de la transformation n’est pas linéaire, il est un éternel retour vers soi.

Chaque échec n’est pas une fin, mais un rappel que tu es toujours en train d’apprendre à te connaître.

Ce que tu crains le plus en toi-même est souvent la clé de ta plus grande libération.

La vraie grandeur réside dans l’humilité de se reconnaître éternellement en apprentissage.

Ton âme ne vieillit jamais, elle s’étend dans le temps, embrassant chaque moment comme une parcelle d’éternité.

Le plus grand trésor que tu puisses trouver n’est pas à l’extérieur, mais dans l’abandon des barrières que tu as érigées contre toi-même.

Là où s’effondrent tes certitudes, se dresse la possibilité d’un renouveau incommensurable.

Tu ne guéris pas en évitant l’obscurité, mais en illuminant les coins les plus sombres de ton être.

Chaque souffrance que tu traverses est un maître déguisé, venu t’apprendre ce que la paix seule ne peut révéler.

Lorsque tu cesses de courir après ce que tu crois devoir être, tu rencontres enfin celui que tu es réellement.

Ce que tu cherches à fuir à l’extérieur est souvent ce que tu refuses de confronter à l’intérieur.

Ta véritable liberté commence là où cessent tes attentes envers ce que le monde devrait être.

Le passé est un écho, l’avenir une illusion; seul le présent est un portail vers l’éternité que tu cherches.

Quand tu n'essaies pas, tu ne réussis pas.

Le plus grand mystère n’est pas ce que tu ignores du monde, mais ce que tu ignores de toi-même en croyant tout savoir.

Ce que tu vois comme un défi n’est que la résonance d’une vérité plus grande en toi, cherchant à éclore.

L'âme sait des vérités que l’esprit ne peut saisir, car certaines réponses ne s’appréhendent que dans le silence

La véritable transformation se produit lorsque tu réalises que tu es à la fois l'océan et la goutte, l’infini et l’instant.

La paix ultime ne se trouve pas en atteignant, mais en abandonnant tout ce que tu crois devoir être.