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Une photo c'est un instant figé qui nous remémore tous les trésors de la vie engrangés au fil du temps qui passe et qui nous rappelle que les souvenirs sont éphémères.

Naître pour aimer la vie et mourir pour ne pas la détester.

La vie n’aime pas les tricheurs

Celle qui intrigue l'esprit, séduit les sens.

Il y a trois mots simples qui, à eux seuls, peuvent résumer le sens de la vie : être, aimer et s'émerveiller.

Les belles personnes restent toujours belles, même si les années passent. Même si elles sont fatiguées, si elles ont des rides. Parce que la beauté qui est en nous ne vieillit jamais. Elle devient avec les années plus fragile et précieuse. Les belles personnes n'arrêtent jamais de briller.

L'anniversaire, c'est très beau surtout lorsqu'on est Papi ou Mamie.

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Chaque jour, il faut résister au mal et continuer à faire le bien.

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L'aisance forge la culture dès la naissance.

Devenu riche, le pauvre restera, toujours, simple d’esprit.

Le vent est à la terre ce que l'amour est à nos cœur.

Tu ne peux pas parler d’amour, si avant même qu’il n’est commencé tu pense déjà à la fin.

La solitude, on peut aussi l'appeler liberté, il faut seulement, comme pour la liberté en général, savoir la vivre et en vivre

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Le monde commun est ce qui nous accueille à notre naissance, ce que nous laissons derrière nous en mourant. Il transcende notre vie aussi bien dans le passé que dans l’avenir ; il était là avant nous, il survivra au bref séjour que nous y faisons. Il est ce que nous avons en commun non seulement avec nos contemporains, mais aussi avec ceux qui sont passés et avec ceux qui viendront après nous.

Ce n'est pas tout de vivre » dit le Papillon, « encore faut-il la liberté, un rayon de soleil et une petite fleur.

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J'aime pas les surprises : ça fait battre le coeur trop fort, ou alors on est vachement déçu.

Les rides, c'est rien qu'une boîte à questions pas posées qui s'est remplie avec le temps qui s'en va.

Des fois les grandes personnes faudrait les secouer pour faire tomber l'enfant qui dort à l'intérieur

Je sais bien que j'ai cette image de gentil, frisant la complaisance.

Ma première fêlure, c'est ça, ne pas faire ce dont je rêvais. Je voulais faire comme lui. J'ai essayé de me rapprocher le plus de mon père, du médecin de famille, je suis sûr que le rapport que j'ai avec les gens vient de là.

Mon père ne voulait que des numéros un, un grand musicien, un intellectuel, un médecin; moi, j'étais totalement déconnecté de la réalité scolaire.

Beaucoup de gens ont débuté avec moi. Je suis leur copain de la télé

Je suis le contraire de la mode. J'ai été démodé très tôt

Dire ce qu'on pense, c'est prendre le risque de fâcher la moitié des téléspectateurs.

J'ai compris que le vedettariat, c'est bidon. Vous mettez une vache à la télé, c'est la vache la plus célèbre. La plus grande vedette de la télé, c'est la télé; quand on oublie ça, on disjoncte

J'ai voulu avoir la reconnaissance de l'establishment. J'ai fait des émissions très populaires, qui ont fait passer au deuxième plan ma formation du début, journaliste. Les intellectuels m'ont considéré comme le fils de Guy Lux, car ce que je faisais n'intéressait pas les faiseurs d'opinions. Il faut quand même que je leur montre ce que je sais faire. Je ne suis pas qu'un homme à paillettes, j'ai la carte de presse 22177.

Le malheur des uns, fait le bonheur des autres, mais le bonheur des uns fait l’aigreur des autres.

Les gens qui discutent constamment de vous prouvent que vous existez.

J'ai arrêté de t'aimer le jour où j'ai réalisé que cet amour ne sera jamais réciproque.

L’intérêt que l'on porte aux gens est souvent fonction de l’intérêt qu’ils vous ont porté. L’attention est de ce fait la somme des intérêts cumulés, ne vous étonnez donc pas que si vous ignorez quelqu'un, il vous ignorera à son tour.

Certains disent que la culture coûte chère, même très chère. Normal, parce qu’ils ne savent pas que l’ignorance, qui est gratuite, est ruineuse.

Il était une fois un parlementaire qui s’est engagé à défendre la loi alors qu’il venait de la bafouer en monnayant son élection. Comme quoi, on peut détruire un mur avant de l’avoir construit.

Le niveau d’exigence que vous réclamez autour de vous est fonction de la valeur que vous estimez être nécessaire pour vous satisfaire.

La célébrité ne devrait jamais être atteinte par l'idiotie des autres, mais être le résultat de sa propre qualité.

On ne raisonne pas ses passions, on les reconditionne. On ne change pas grâce à un effort de volonté mais par la vertu d'un dressage.

Notre présent est toujours chargé à la fois d'espoir et de regret, retenant le souvenir de paradis anciens et devinant la saveur de ceux que nous voudrions voir venir.

La plupart du temps nous ne pensons pas par nous-même mais par les autres (...) impacter, solutionner, prioriser, débriefer, ressenti, vécu. Pour lutter contre cette nourriture industrielle, il faut cultiver la curiosité qui consiste à refuser les automatismes de pensée et à privilégier ce qui déconcerte.

Continuer sur sa lancée n'est pas la panacée. C'est, en réalité, le meilleur moyen... de ne plus avancer du tout.

On veut détruire ce qui nous détruit, rendre le mal pour le mal, mais l'offense est faite, rien ne l'effacera. Qu'elle soit froide où brûlante, la vengeance ne peut que laisser sur sa faim.

Le monde n'est qu'une toile laissée à notre imagination.