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Les siècles se côtoient avec une aversion réciproque, c'est la folie face à son reflet.

La clairvoyance demeure insoluble. On n'est jamais qu'un narrateur de soi, la personne prévaut contre tout : un poseur d'ultimatums qui prétend à l'immensité.

La chance est une charité d'outre-ciel.

Il est dans tout sommeil un décès de fortune ; les rêves étant de graciles condoléances.

Le silence, c'est un poème en braille , un coeur violé par son propre langage, par sa propre solitude.

Chaque jour pendant notre relation, peu importe où j'étais dans le monde, je recevais un télégramme de Frank disant qu'il m'aimait et que je lui manquais.

Je déteste la tricherie. Je ne le supporterai pas.

Je pense que la principale raison pour laquelle mes mariages ont échoué est que j'ai toujours trop aimé, mais jamais avec sagesse.

La renommée et la fortune ne signifient rien si vous n'avez pas une maison heureuse.

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La renommée vous donne tout ce que vous n'avez jamais voulu.

Je fais tout pour une raison quelconque. La plupart du temps, la raison est l'argent.

Je ne me préoccupe pas de vieillir. Si je dois passer avant mon temps, voilà comment je vais... la cigarette dans une main, un verre de scotch dans l'autre.

Si j'avais ma vie à vivre encore, je la vivrais de la même manière. Peut-être que quelques changements ici ou là, mais rien de spécial. La vérité est, chérie, j'ai apprécié ma vie. J'ai passé un bon moment.

Elizabeth Taylor n'est pas belle, elle est jolie. Moi j'étais belle.

J'écris des livres ou vends des bijoux, et je suis plutôt sentimentale envers les bijoux.

Dieu sait que j'ai tellement de faiblesses, je devrais pouvoir les comprendre et les pardonner dans d'autres. Mais je ne le fais pas.

Je n'ai pas pris de surdose de somnifères et appelé mon agent. Je n'ai pas été en prison, et je ne vais pas au psychiatre toutes les deux minutes. C'est un succès aujourd'hui

Ce que j'aimerais vraiment dire à propos de la célébrité, c'est que cela m'a donné tout ce que je n'ai jamais voulu.

La libération des femmes en tant que mouvement fait des points valables. Mais en dernière analyse, peu importe qui porte le pantalon - tant qu'il y a de l'argent dans les poches.

Quand je serai vieille, je veux avoir une maison près de la mer. Avec beaucoup de chums merveilleux, de la bonne musique et des boissons alcoolisées. Et une très belle cuisine pour cuisiner.

La vérité est que la seule fois où je suis heureuse, c'est quand je ne fais absolument rien.

Ne rien faire ressemble pour moi à flotter sur de l'eau tiède. Ravissant, parfait.

La présence et l’entente des parents conditionnent l’épanouissement et le bonheur de l’enfant.

La première victime d’un homme en colère est lui-même.

Entrer dans un tunnel, c’est pour en sortir.

L’honnête aime juste, mais non davantage.

N’a pas à gémir celui qui s’autoflagelle.

La rivière qui se perd finit, toujours, par retrouver son cours.

''L'amour est mon carburant, il me conduit jusqu'à la meilleure version de moi-même''.

Je rêve tant que je n’arrive plus à me réveiller.

Au bout de mon âge, qu’aurais-je trouvé? Une usure des cartilages et un dos incurvé.

Pour prendre le train en marche, il faut courir après.

A force de rêver, je n’arrive plus à me réveiller.

Aujourd’hui, ce qui est normal, c’est de vivre dans un monde anormal.

Le monde est divisé en deux parties : les pays où tout est possible, les pays où tout est peau cible.

L'homme pauvre intellectuellement est comme une rose sans épines, belle à regarder mais sans substance.

Les êtres humains vivent tous basant leurs croyances en ces qu'ils comprennent du monde, puis ensuite ils nomment cette perception: réalité. Pourtant le savoir et la compréhension ne sont que des concepts subjectifs, cette réalité pourrait s'avérer n'être qu'une simple illusion.

Etre homme de bien et ne pas chercher à le paraître, c'est le vrai chemin de la gloire.

Allez savoir quelle mouche les a piqué pour aller gratter les anus d’ours ou d’un lion ! À ce jour, le courageux homme qui l’aurait fait n’est pas encore revenu pour nous raconter son aventure !

L’agressivité est souvent un exutoire de la peur. Les USA se testent, en permanence, par des guerres, contre les pays faibles, afin de se soulager de la frayeur de perdre leur leadership ou de subir une guerre d’anéantissement qu’ils présupposent, de pays aussi forts qu’eux !