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Mes enfants légitimes sont Dalma et Giannina. Le reste est le produit de mon argent et de mes erreurs.

Tout le monde en Argentine se souvient de la main de Dieu lors du match d'Angleterre lors de la Coupe du monde 1986. Maintenant, dans mon pays, la main de Dieu nous a amené un pape argentin.

Sans Claudia, aujourd'hui je serais dans le pétrin. La drogue vous tue, elle vous annihile.

Je demande mille fois pardon aux Anglais, mais la vérité, c'est que je le referais mille fois.

Messi, je pense, est comme moi, il est le meilleur du monde avec Ronaldinho.

J'ai grandi dans une résidence privée... Privée d'eau, d'électricité et de téléphone.

Lorsque je porte le maillot de l'équipe nationale, son seul contact avec ma peau le met en place.

Je suis Maradona, qui fait des buts, qui fait des erreurs. Je peux tout prendre, j'ai des épaules assez grandes pour me battre avec tout le monde.

Lorsque les gens réussissent, c'est grâce à un travail acharné. La chance n'a rien à voir avec le succès.

Ce que j'aime le plus en Norvège, c'est vous mesdames. De retour à la maison, je suis habituée aux femmes journalistes grasses et poilues.

Beaucoup disent de moi, "tu es dieu", et moi, je leur réponds "vous dites n'importe quoi". Dieu est Dieu et moi, je suis un simple footballeur.

Quand vos propres fans sifflent et se moquent, alors vous avez un gros problème.

Être reconnu par tout un pays, c'est incroyable.

Je suis d'abord de La Castellane et Marseille.

J'ai l'impression de faire ce que je veux. Et ce sera toujours comme ça.

Mon père est Algérien, fier de qui il est et je suis fier que mon père soit algérien.

Je suis censé donner l'exemple aux jeunes joueurs.

Je suis devenu le 9 que je voulais être. Je vis un rêve. Je kiffe.

C'est un rêve pour moi de jouer pour l'équipe de France.

L'Algérie, voilà... C'est le pays de mes parents, c'est dans le coeur. Mais bon, sportivement, c'est vrai que je jouerai en équipe de France. Je serai là toujours présent pour l'équipe de France.

On ne peut pas critiquer Messi. Celui qui le critique n'a rien compris au football.

Je me considérais toujours comme un Bleu.

J'ai cette chance d'aimer le jeu, d'être un attaquant différent. Mais j'aime aussi inscrire des buts. Normalement, tu ne peux pas faire les deux. Mais, moi, j'y arrive.

Le Ballon d'Or, ça fait toujours rêver.

On ne va pas me forcer à chanter La Marseillaise.

Affronter Kylian Mbappé c'est plus spécial parce qu'on s'aime bien, parce que plein de choses...

Je me trouve au max. Après, nous pouvons toujours nous améliorer... Mais je ne vois pas à quel niveau en fait. Techniquement, tactiquement, mentalement, physiquement... Je dois juste rester à ce niveau. Maintenant, il faut gagner des trophées collectifs.

Mon ambition est toujours de devenir de mieux en mieux.

Lorsque l'année commence, l'objectif est de tout gagner avec l'équipe, les records personnels sont secondaires.

Donnez aux adversaires plus d'une raison de regarder vos pieds.

Je m'amuse comme un gamin dans la rue. Le jour où je ne m'amuserai plus, j'arrêterai le football.

Il y a des choses plus importantes dans la vie que gagner ou perdre un match.

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Les enfants sont ce qu'il y a de plus sain, surtout lorsqu'ils sont jeunes et qu'il n'ont aucune malice.

Parfois, vous devez accepter que vous ne pouvez pas gagner tout le temps.

Dans le football, comme dans l'horlogerie, le talent et l'élégance ne signifient rien sans rigueur et précision.

Les meilleures décisions ne sont pas prises avec votre esprit, mais avec votre instinct.

Ma motivation vient du fait de jouer au jeu que j'aime.

Il faut des sacrifices ainsi que du talent.

J'ai toujours eu le même style de jeu. Je ne m'inquiétais pas vraiment que les gens me donnent des coups de pied.

Que ce soit un match amical, ou pour des points, ou une finale, ou n'importe quel match, je joue la même chose. J'essaie toujours de faire de mon mieux, d'abord pour mon équipe, pour moi-même, pour les fans et pour essayer de gagner.