Les citations proposées par les internautes - page 184
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S'il fallait plaire à tout le monde pour gouverner, il n'y aurait jamais de démocratie.
Jacques Nteka Bokolo -
C'est dans la lutte l'opposant à l'argent que, bien souvent, se montre faible l'intégrité.
Jacques Nteka Bokolo -
Répandre le savoir, c'est prendre chaque jour davantage de place à l'obscurantisme dans le monde.
Jacques Nteka Bokolo -
Ce que la vieillesse a de bien, c'est qu'elle rend le temps libre et surtout très précieux.
Jacques Nteka Bokolo -
Celui qui veut créer dispose son esprit à recevoir, c’est alors que les choses viennent d’elles-mêmes.
Jacques Nteka Bokolo -
Un miroir a sur une conscience plus de pouvoir que mille confesseurs et dix mille juges.
Jacques Nteka Bokolo -
Un menteur parle toujours plusieurs langues, selon celui qui est en face de lui.
Jacques Nteka Bokolo -
Celui qui veut une belle enfance à son enfant lui offre une heureuse innocence.
Jacques Nteka Bokolo -
Un engagement politique qui ne fait ouvrir un cœur à l'humain est dépourvu de raison.
Jacques Nteka Bokolo -
La réflexion préfère l'ombre de la solitude à l'éclat du soleil et de la compagnie.
Jacques Nteka Bokolo -
Un mort-vivant est un oxymore, alors qu'un occis mort est un pléonasme.
SANDRINE FILLASSIER- 1
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Un nouveau départ, c’est un recommencement après une fin inachevée.
Jean pierre Szymaniak -
Un jour, vous suffirez à quelqu'un, sans efforts, ni fatigue.
SANDRINE FILLASSIER- 2
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Chassez ce qui vous pèse, et cherchez ce qui vous apaise.
SANDRINE FILLASSIER- 2
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Faites que vos rêves dévorent votre vie, afin que la vie ne dévore pas vos rêves.
SANDRINE FILLASSIER- 2
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Le pardon est une chose. Le temps en est une autre.
Julien FILLASSIER- 2
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Si vous rayonnez, les autres auront envie de vous ressembler.
SANDRINE FILLASSIER- 3
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Mesurez-vous avant de vous voir dépassé.
SANDRINE FILLASSIER- 2
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La recherche de perfection peut devenir problématique, cherchez les progrès est déjà un grand pas en soi.
SANDRINE FILLASSIER- 2
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Si vous vous montrez direct, vos relations sociales s'en trouveront harmonisées.
SANDRINE FILLASSIER- 2
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Les petites attentions font les grandes relations.
SANDRINE FILLASSIER- 2
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Toute discrimination est non historique et inhumaine. Il n'existe rien de plus follement aberrant que le racisme.
Pier Paolo Pasolini- 1
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Tant que l’homme exploitera l’homme, tant que l’humanité sera divisée en maîtres et en esclaves, il n’y aura ni normalité ni paix. Voilà la raison de tout le mal de notre temps.
Pier Paolo Pasolini- 2
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Qu’as-tu fait des mots ? Quels comptes rendras-tu de ces voyelles d’un bleu si paisible ? Et que leur diras-tu des consonnes, qui brûlent entre l’éclat des oranges et le soleil des chevaux ? Que leur diras-tu, quand ils s’inquiéteront auprès de toi des minuscules semences qu’ils t’avaient confiées ?
Eugénio de Andrade -
Je n'aime même pas écrire, il m'arrive parfois d'être tellement désespéré que je me cherche refuge dans le rôle de celui qui se cache pour pleurer. Et la chose étrange est que de ma détresse surgissent les mots de réconciliation profonde avec la vie.
Eugénio de Andrade -
J'ai appris que peu de choses sont absolument nécessaires. Ce sont ces choses que mes vers aiment et exaltent. La terre et l'eau, la lumière et le vent.
Eugénio de Andrade -
La mort n'a pas de prise quand on tient le soleil endormi dans ses bras.
Eugénio de Andrade -
Tu appuies ton visage sur la mélancolie et tu n'entends même pas le rossignol. Ou est-ce l'alouette ? Tu peux à peine supporter l'air, partagé entre la fidélité que tu dois à la terre de ta mère et au bleu presque blanc où l'oiseau se perd. La musique, donnons-lui ce nom, a toujours été non seulement ta blessure, mais encore ton exaltation au milieu des dunes. N'écoute pas le rossignol. Ni l'alouette. C'est en toi que toute la musique est oiseau.
Eugéno de Andrade -
Tu peux me confier sans crainte les menues besognes matinales. Laisse faire les nuages, la poussière ardente par-dessus les toits, les marteaux de la tristesse sur la table. Mon pays s'étend de juin à septembre, avant la première neige appelle-moi.
Eugénio de Andrade -
J'inventerai le jour où avec toi et l'automne j'irai courir par les rues. La lumière que nous foulons est si parfaite qu'elle ne peut mourir, comme ne meurt l'éclat du regard qui t'a vu te dévêtir.
Eugénio de Andrade -
Il est urgent d’inventer la joie, d’essaimer les baisers, les champs de blé. il est urgent de trouver des roses et des rivières et des matins clairs.
Eugénio de Andrade -
La foi et le savoir se comportent mutuellement comme les deux plateaux d’une balance : à mesure que l’un monte, l’autre descend.
Arthur Schopenhauer -
L’égoïsme inspire une telle horreur, que nous avons inventé la politesse pour le cacher comme une partie honteuse, mais il perse à travers tous les voiles, et se trahit en toute rencontre où nous nous efforçons instinctivement d’utiliser chaque nouvelle connaissance à l’un de nos innombrables projets.
Arthur Schopenhauer -
Dieu, dans la nouvelle philosophie, joue le rôle des derniers rois francs sous les maires du palais ; ce n’est qu’un nom que l'on conserve pour plus de profit et de commodité, afin de se pousser plus aisément dans le monde.
Arthur Schopenhauer -
Le désir sexuel — spécialement quand, se fixant sur une femme déterminée, il se concentre en amour — est la quintessence de toute la duperie de ce noble monde. Il promet en effet si indiciblement, si infiniment, si follement tant de choses, et il tient si misérablement sa promesse !
Arthur Schopenhauer -
Nous croyons être à tout moment maîtres de nos actions. Cependant, si nous jetons un coup d'œil rétrospectif sur notre vie et envisageons surtout nos actes malheureux, avec leurs conséquences, nous ne comprenons souvent pas comment nous avons pu faire ceci ou ne pas faire cela ; de sorte qu’il semble qu’une force étrangère a conduit nos pas.
Arthur Schopenhauer -
L’homme est le seul animal qui en fait souffrir d’autres sans autre but que celui-là.
Arthur Schopenhauer- 1
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L’homme est noir ou tout au moins brun foncé. C’est donc là, sans distinction de race, la véritable couleur naturelle et particulière de la race humaine, et il n’y a jamais eu de race naturellement blanche. Parler d’une telle race et partager puérilement les hommes en race blanche, jaune et noire, comme le font encore tous les livres, c’est témoigner d’une grande étroitesse d’esprit et d’un manque de réflexion.
Arthur Schopenhauer -
Je cause parfois avec les hommes comme l'enfant avec sa poupée. Elle sait très bien que la poupée ne l'entend pas, mais elle se procure, par une agréable autosuggestion consciente, la joie de la conversation.
Arthur Schopenhauer -
Nous savons que les instants où la contemplation des œuvres d’art nous délivre des désirs avides, comme si nous surnagions au-dessus de la lourde atmosphère de la terre, sont en même temps les plus heureux que nous connaissions.
Arthur Schopenhauer