Les citations proposées par les internautes - page 155
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Tout s’accomplit dans le destin, y compris le hasard.
Taha-Hassine FERHAT -
Le hasard crée le doute.
Taha-Hassine FERHAT -
Laissez votre sourire changez le monde, mais ne laissez jamais le monde changer votre sourire.
SANDRINE FILLASSIER -
Le regard a un malin plaisir à se poser sur le bien fondé.
Jean pierre Szymaniak -
L'homme est un nuisible pour les animaux.
Sandrine FILLASSIER- 1
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Les désirs sont des lumières qui illuminent notre chemin et donnent une direction à notre vie.
Diego Rica -
La culpabilité est une corde qui entrave notre progression et nous maintient prisonnier du passé
Diego Rica -
Le moyen est le premier outil de travail pour réussir, aussi faudrait-il le donner sans être contraint à le quémander.
Jean pierre Szymaniak -
Nous ne voulons plus de guerre, nous ne voulons plus de sang, halte aux armes nucléaires, halte à la course au néant. Devant tous les peuples frères, qui s'en porteront garants, déclarons la paix sur terre unilatéralement.
Jean Ferrat -
A moins peut-être qu'un de ces quatre, J'entende enfin au transistor, Des nouvelles du vaccin-miracle, Qui guérira l'homme de la mort.
Jean Ferrat -
On peut me dire sans rémission Qu'en groupe en ligue en procession On a l'intelligence bête Je n'ai qu'une consolation C'est qu'on peut être seul et con Et que dans ce cas on le reste.
Jean Ferrat -
Chaque jour que Dieu me donne, soirs d'hiver matins d'été, au printemps ou en automne, tu ne m'as jamais quitté. À travers d'autres amours, c'est toujours toi que je fuis ; je n'ai plus assez de jours, je n'ai plus assez de nuits, pour pouvoir t'oublier mon amour.
Jean Ferrat -
Jour après jour il faut l'admettre, Voir ceux qu'on aime disparaître, C'est ce qui fait vieillir trop tôt.
Jean Ferrat -
Que le sang sèche vite en entrant dans l'histoire.
Jean Ferrat -
J'ouvre les yeux et je te vois, J'ouvre les yeux et je te crois, J'ouvre les yeux et c'est pour toi, Que je veux vivre, mon amour.
Jean Ferrat -
Je m'en vais comme je suis venu, un peu plus calme un peu moins nu.
Jean Ferrat -
C'est si peu dire que je t'aime.
Jean Ferrat -
Dans ce monde de misère le bonheur est vite enterré.
Jean Ferrat -
Je twisterais les mots s'il fallait les twister, Pour qu'un jour les enfants sachent qui vous étiez.
Jean Ferrat -
Le poète a toujours raison, Qui voit plus haut que l'horizon, Et le futur est son royaume, Face à notre génération, Je déclare avec Aragon, La femme est l'avenir de l'homme.
Jean Ferrat -
Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers, Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés, Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants, Ils étaient des milliers, ils étaient vingt et cent.
Jean Ferrat -
La force de la France c'est l'esprit des Lumières, cette petite flamme au coeur du monde entier, qui éclaire toujours les peuples en colère, en quête de justice et de la liberté.
Jean Ferrat -
Ah monsieur d'Ormesson, Vous osez déclarer Qu'un air de liberté Flottait sur Saïgon Avant que cette ville s'appelle Ville Ho-Chi-Minh.
Jean Ferrat -
Moi je ris doucement comme on rit aux enterrements, en me disant qu'au fond mourir, c'est ne plus s'arrêter de rire.
Jean Ferrat -
Autant qu'il nous semble, raisonnable et fou, nous irons ensemble au-delà de tout.
Jean Ferrat -
Au printemps de quoi rêvais-tu ? Vieux monde clos comme une orange Faites que quelque chose change Et l'on croisait des inconnus Riant aux anges, au printemps de quoi rêvais-tu ?
Jean Ferrat -
J'ouvre les yeux et c'est pour toi que je veux vivre, mon amour.
Jean Ferrat -
Pour les enfants des temps nouveaux, restera-t-il un chant d'oiseau ?
Jean Ferrat -
Au bout de mon âge qu'aurais-je trouvé, vivre est un village où j'ai mal rêvé.
Jean Ferrat -
Aimer à perdre la raison, aimer à n'en savoir que dire, à n'avoir que toi d'horizon, et ne connaître de saisons, que par la douleur du partir, aimer à perdre la raison.
Jean Ferrat -
C'est un joli nom, camarade C'est un joli nom, tu sais Dans mon coeur battant la chamade Pour qu'il revive à jamais Se marient cerise et grenade Aux cent fleurs du mois de mai.
Jean Ferrat- 1
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Quand on prend tout d'un coeur léger, il paraît qu'on vit sans danger.
Jean Ferrat -
Ah ils nous en ont fait avaler des couleuvres De Prague à Budapest de Sofia à Moscou Les staliniens zélés qui mettaient tout en oeuvre Pour vous faire signer les aveux les plus fous.
Jean Ferrat -
Croyez pas ces vieux imbéciles, j'avais une santé de fer ; je n'avais qu'un petit travers, j'avais le coeur un peu fragile.
Jean Ferrat -
Le coeur battant la découverte, je veux dormir je veux mourir la porte ouverte.
Jean Ferrat -
Nul ne guérit de son enfance.
Jean Ferrat -
Mais dans ce monde de misère Le bonheur est vite enterré.
Jean Ferrat -
Que restera-t-il sur la terre dans cinquante ans ? On empoisonne les rivières, les océans ; on mange des hydrocarbures, que sais-je encore ? Le Rhône charrie du mercure, des poissons morts. Pour les enfants des temps nouveaux, restera-t-il un chant d'oiseau ?
Jean Ferrat -
Pourtant que la montagne est belle, Comment peut-on s'imaginer, En voyant un vol d'hirondelles, Que l'automne vient d'arriver ?
Jean Ferrat -
Que venez-vous faire, camarade Que venez-vous faire ici Ce fut à cinq heures dans Prague Que le mois d'août s'obscurcit Camarade, camarade.
Jean Ferrat