Page 88 | Toutes les citations de films cultes

- Hé Vincent, t'es au courant ? On va prendre un studio sur Anvers à la rentrée avec Léa. Tu viendras dîner si tu veux ! - Euh... Ouais.

Je finis par m'asseoir comme il m'a dit. Les sirènes se rapprochent, elle est hors de danger. Tout s'assombrit. J'me fous de ma mort. J'ai sommeil. Tout va bien, elle est hors de danger. Un vieux meurt, une enfant vit. C'est dans l'ordre des choses.

Mary a un p'tit agneau, et il l'aime, et il l'aime. Mary a un p'tit agneau, qui l'aime beaucoup trop ! Car à chaque fois qu'Mary se promenait, son p'tit agneau la suivait. Même au boulot il la suivait la suivait la suivait ! Comme ils s'séparaient jamais, ils s'sont fait virer ensemble !

Parfois, il faut savoir quitter les gens que tu aimes. Mais ça ne veut pas dire que vous ne devez plus vous aimer. Parfois, il faudra être sûr que tu l'aimes plus que tu ne le penses.

À 22 ans Gandhi avait 3 enfants, Mozart 37 symphonies, et Buddy Holly était mort...

Elle s'appelle Angel. C'est, un ange, je vais l'accrocher au haut du sapin !

- Avec vous ça se termine toujours avec pertes et fracas ! - Non, c'est moi perte lui c'est fracas !

Stéphanie tu joues perso ! T'as compris ? Dégage !

Veeko : Comment est-ce qu'un agneau pourrait semer des croutons d'pain ? Il a pas d'doigts !

- Tu t'es encore cassé la figure, Bella ? - Non ! J'ai filé un coup de poing dans la tronche d'un loup-garou.

Il est amoureux de toi. Y'a qu'une autre fille que je l'ai vu regarder de la façon dont il te regarde toi, sauf qu'elle est beaucoup plus petite et qu'ils ont le même ADN. T'es pas obligée de le pardonner aujourd'hui, mais fais-le, s'il te plaît.

Il nous faudrait des canons sciés pour ces affaires là.

- Pourquoi est-ce que t'as une arme dans ton futal ? - Pour me protéger ! - Te protéger de quoi ? Des Allemands.

Ce que j'ai dit l'autre jour, que je ne voulais pas te ressembler, c'était pas vrai ; parce que je suis comme toi, et, ce que j'ai de meilleur en moi, c'est ce qui vient de toi.

T'es foutument con ! T'es foutument con !

Mon ami, est-ce ton doigt là par terre ?

Moi, je suis le propriétaire de mon slip.

C'est comme ça qu'on éteint les feux d'forêt.

Je lierai mon destin au tien.

- Vous êtes sûr que c'est bien nécessaire ? - Vous savez de quoi vous avez l'air ? - Ah non. - De deux maladroits qui viennent d'exploser la cervelle de quelqu'un. Alors oui, il est plus que nécessaire de se débarrasser de toutes ces fringues.

- Il surveille la voiture- Pour qui il nous prend ? Pour des voleurs de voitures ? - Non, c'est pas ça m'dame O'Neil. Il aime bien surveiller les voitures, c'est tout!

J't'expliquerai, j't'expliquerai.

Ça, ça me rappelle quelque chose... Quand Willy, le coyote, s'assoit dans un lance-pierre géant et qu'il s'attache lui-même à une fusée, c'est ce qu'on va faire ? Non, j'veux dire, parce que ça lui a pas réussi du tout au coyote.

J'ai fait deux vols d'Europe en Angola, avec des grandes machines comme des tanks. J'ai transporté ça en Angola. Ma compagnie a reçu de l'argent je pense. Après cela je suis allé à Johannesburg prendre du raisin pour le retour en Europe ! Alors un ami m'a dit : " Les enfants d'Angola ont reçu des armes pour Noël. Les enfants Européens ont reçu du raisin. "C'est le business.

J'les ai laissées à la gare !

La plupart des gens pensent que Marv est fou. Il a juste eu la malchance pourrie d'être né au mauvais siècle. Il serait tout a fait a sa place sur un champ de bataille moyenâgeux, fendant un crâne à coups de hache ou dans une arène romaine a croiser le fer contre d'autre gladiateur comme lui. Des filles comme Nancy il en aurait eu des dizaines a l'époque.

Je peux être entouré d'une mer de gens et quand même me sentir seul.

Je ne sais pas qui a dit que seul les morts voient la fin de la guerre. J'ai vu la fin de la guerre, mais la question reste à savoir si je pourrais à nouveau vivre.

- Combien vous demandez ? - Rien du tout ! - Okay. Alors... Qu'est ce que vous demandez ?

- Plus rien ne fonctionne ! C'est pas normal ! - Mais rien n'est normal ! Rien que le fait de se retrouver ici c'est pas normal. Ha ha.

Tu trouves toujours du bon dans les gens même quand il n'y en n'a pas.

- Un duvet, tu sais ce que c'est ? - Une couette rembourrée. - C'est une couverture, tout simplement. Et pourquoi toi et moi on sait ce que c'est qu'un duvet à ton avis ? Parce que c'est essentiel à notre survie, dans cette existence précaire que nous menons ? Non. Alors on est quoi ? - On est que des... Consommateurs.

Il ne faut pas que tu m'en veuilles ou je vais me mettre à pleurer, mon maquillage va couler et j'ai déjà la larme à l'oeil !

Parle plus fort, mais parle plus fort !

- Oui Bill, c'est Hubert. - Ahh Houbert, Sacré Houbert son of a bitch. - Moui, sans doute.

Elle est entêtée, je suis bien placé pour le savoir, mais elle peut guérir de toi. Elle a déjà failli le faire. Alors elle resterait humaine, avec Charlie, Renée. Elle vieillirait, aurait des enfants... serait elle-même. Tu l'aimes assez pour voir les avantages de cette idée. Elle t'estime incapable d'égoïsme... Prouve-le. Pourrais-tu envisager que je sois mieux que toi pour elle ?

Ces dernières semaines, j'ai fait des choses un peu bizarres. J'ai fait des choses bien aussi. Je veux que tu te souviennes de moi, tel que je suis maintenant. Je veux que tu graves cette image dans ton coeur, que tu la gardes, que tu la gardes quoi qu'il arrive. Promets-le moi, sinon tout ce qu'on aura vécu n'aura servi à rien.

Michaël, tu te souviens de ce mythe grecque que tu m'as lu sur un Dieu qui avait emprisonné tous ses enfants dans les enfers et que pour se venger, le jeune fils l'avait castré avec un fossile ?

- Qu'est-c'que vous faites ici ? - On est dans un pays libre non ? - Oui mais ici, ça n'est pas une entrée libre, alors foutez l'camp !

J'ai bouclé mes bagages car je pars aujourd'hui, j'aime te regarder quand tu dors, je n'ose pas te réveiller pour te dire au revoir... Souris moi, embrasse moi, jure moi que tu seras toujours là, sers moi dans tes bras comme pour me retenir... L'avion est près à partir, j'sais pas si j'pourrais jamais revenir !