Page 88 | Toutes les citations de films cultes

- Dame ! Rechercher un nazi avec des juifs. Quelle drôle d'idée.- Et pourquoi donc ?- Mais enfin il va les reconnaître.- Comment ça ?- Bah je sais pas, le nez déjà, les oreilles, les yeux.

Ce qui est et demeurera à jamais ma plus belle création... c'est toi.

Wayne, t'as déjà trouvé Bugs Bunny sexy quand il s'habillait en fille et qu'il ressemblait à une lapine ?

Aujourd'hui, débarrassons-nous de nos soucis

On ne retrouve que des détails, tous ces p'tits rien dont on parle rarement, et on revit certains moments forts même si on n'a pas vraiment envie. C'est tout ça mis ensemble qui restitue une présence. Et on prend conscience du manque, et de la haine qu'on ressent pour celui qui a tout détruit.

- On peut savoir ce que tu fais la, Poulet ? - Qui c'est que t'appelles Poulet ? Macaque !

Et cette manie que tu as de cracher partout comme un lama !

En tant que professionnel de la santé publique, je pense que les maladies font moins de dégâts que les visiteurs.

N'ai pas peur de rêver plus gros.

Avec des " si " et des " peut-être ", on pourrait mettre un cachalot dans une boite d'allumettes !

Il est difficile d'évaluer le sens de la vie d'une personne.

Mais c'est de l'art ! Gros lard.

C'est ptet' pour s'amuser qu'il t'a libéré. Il t'écoute, il te suit, il t'observe. Il joue avec toi et il se moque de toi comme d'une souris qui perd la tête à vouloir se venger du chat.

Juste une photo... pour pas t'oublier !

Je t'ai aimé comme j'ai pu, tu crois qu'un autre y arriverait mieux ?

- Bon, êtes vous diabétique ? - Non. - Enceinte ? - Non. - Sous tranquillisant ? - Non plus. - Êtes-vous allergique ? - Oui aux lapins... Aux poils de lapin !

Dans le langage des filles, ça s'appelle un vent. Fais gaffe, tu vas t'enrhumer !

Je me souviens d'un commentaire d'un de tes professeurs sur ton carnet de note : " A touché le fond... mais creuse encore ! "

Cruauté, quel mot a autant de noblesse que celui-là ?

- Pourquoi rêver est-il si important ? - Parce que dans mes rêves on est toujours ensemble.

Les souvenirs sont malléables, ce sont des interprétations, rien de plus ! Ils ne font pas le poids face à la réalité.

Il est tout à fait fou ce type !

Écoute-moi bien, aujourd'hui, t'as fait couler le sang et les larmes de ma petite soeur. À partir de maintenant, j'veux plus que tu la regardes, je veux même plus que tu penses à elle, parce que si tu penses à elle, tu penses à moi, et si tu penses à moi, j'déboule et j'te démonte.

Il faut que quelqu'un meure pour que nous donnions tous un prix à la vie.

Buzz l'éclair à la rescousse.

Je sais que, quand je ferme les yeux, le monde ne s'arrête pas de tourner.

Les hommes doivent accepter qu'à tout moment, sans raison précise, on puisse les ramener à cette forme absolue de modestie qu'est la mort.

- Qui serait prêt à endurer un rêve de dix ans ?- Faut voir quel rêve.

Y'a aucun nom ! Tu es qui ? Cornelius ? Ou Burk ? Travis ? De tous ces prénoms stupides que tu donnes chaque soir c'est lequel ?

Elles sont comment les briques ? c'est des briques rouges. Et le rouge c'est quoi, c'est la couleur du sang, des indiens, du vin ! Et qui dit vin, dit pot-de-vin !

- Quel malheur pour une fois qu'une princesse était jeune et jolie... - Vous voulez dire que si elle avait été vieille et moche c'était moins grave ? - Bah oui quand même ! Regardez, mère Thérésa !

Ça craint quand même ton problème au cerveau, tu confonds la liste des courses avec la liste du teinturier et tu te retrouves à bouffer ton slip au petit déjeuner.

- Et si vous aviez l'âge de voter, vous voteriez pour qui ? - Pour personne. Je suis anarchiste.

Mais si tu viens d'Afrique, pourquoi t'es blanche ?

La pensée a des ailes. Nul ne peut arrêter son envol.

La honte est comme la douleur, on ne l'éprouve qu'une fois.

Et puis un jour, un type me demandera en mariage. Il sera plutôt gentil et ça rendra mes parents heureux. La première année, on fera l'amour tout le temps. La deuxième et la troisième de moins en moins. Et quand on commencera à en avoir marre l'un de l'autre, je tomberai enceinte. S'occuper des enfants, conserver son emploi, payer le crédit de la maison, ça nous permettra de maintenir l'équilibre pendant quelque temps. Et pour finir, au bout d'une dizaine d'années, il aura une aventure parce j'aurai été trop occupée et trop fatiguée. Un jour je l'apprendrai. J'menacerai de le tuer, de tuer sa maitresse, de me tuer. On tournera la page, et puis quelques années plus tard, il recommencera. Mais cette fois, je ferai semblant de ne rien savoir parce qu'en fin de compte ça ne vaudra pas la peine de faire des histoires. Et je vivrai le restant de mes jours en espérant parfois que mes enfants pourront avoir la vie que je n'ai pas eue. Tout en étant rassurée de savoir que eux aussi reproduiront le même schéma.

- Vite ! Embrasse-moi. - Ils nous regardent encore. - Qui ne tente rien n'a rien.

N'aie pas peur. Je vais te donner le choix que je n'ai jamais eu.

Il faut que je crois qu'il y a un monde en dehors de mon esprit, il faut que je crois que mes actes ont encore un sens même si je les oublies... Je dois croire que lorsque je ferme les yeux le monde est toujours là. Est-ce que je crois que le monde est toujours là ? Est-ce qu'il est toujours là ? Oui ! On a tous besoin de souvenir pour savoir qui on est... je suis pas différent des autres.