Page 31 | Toutes les citations de films cultes

C'est vrai que Lucien n'est peut-être pas un génie mais Amélie l'aime bien. Elle aime sa façon de saisir les endives comme si c'étaient des objets précieux qu'il devait manipuler avec respect. C'est sa manière à lui de manifester son amour du travail bien fait.

Alors Mathilde s'adosse bien droite sur sa chaise, croise les mains sur ses genoux, et le regarde. Dans la douceur de l'air, dans la lumière du jardin, Mathilde le regarde. Elle le regarde. Elle le regarde.

Parfois, pour gagner, il faut savoir perdre.

Vendredi 3 décembre 93, le premier jour du reste de ma vie.

Nous venons de subir une brusque dépressurisation.

Et brusquement, je me rend compte que tout ceci, le flingue, les bombes, la révolution, est lié d'une certaine manière à une femme du nom de Marla Singer.

Quel homme serait celui qui ne chercherait pas à rendre le monde meilleur ?

Un névrosé ne peut pas être un professionnel. Je déteste bosser avec des psychopathes. On sait jamais ce qu'il y a dans la tête de ces connards.

ATCHOUM ! Oh je suis désolé, je suis allergique aux conneries !

J'en ai fini avec la guerre. Je veux juste garder ma famille en sécurité.

- Dr Jones ?- Oui, c'est moi. - Je savais bien que c'était vous, vous avez les yeux de votre père. - Et les oreilles de ma mère, mais le reste vous appartient. - Je crois que nous avons évoqué les meilleures parties de votre anatomie.

Merci. Vous avez dit " quelqu'un " alors que vous auriez pu dire " quelque chose ".

J'ai compris que j'ai besoin de toi. J'ai besoin de l'absence de tes bras quand tu me serres contre toi, j'ai besoin de sentir le poids de ton corps sur le mien, j'ai besoin de parler avec toi, de rire, j'ai besoin de toi, j'ai besoin de toi pour vivre, j't'en supplie mon amour, pardonne-moi, pardonne-moi.

- Père, on est touchés ? - Plus ou moins oui... Fils, il faut que je te dise quelque-chose... Ils nous ont eu !

Est-ce donc un démon qui vous dévore le coeur petit Alex ?

Le pardon, ce n'est pas de l'amnésie, non ?

Écoute bien, je sais que je t'ai déçu, tu penses peut-être que j'ai pas droit à ton indulgence. Mais tu vas m'accorder ton pardon tu vois Edgar parce que quand on aime quelqu'un, on aime tout de cette personne. C'est ça l'amour, on aime jusqu'à ses égarements. Écoute je t'en prie, tu dois tout aimer de ce que je suis, tu m'entends, pas juste les bonnes choses, mais les mauvaises aussi, celles que tu trouves adorables, mais aussi celles que tu trouve détestables.

L'histoire nous enseigne que quoi que nous fassions durant notre vie d'ici 100 ou moins tout le monde s'en fichera totalement.

À genoux devant son Roi. Debout devant l'ennemi.

As-tu jamais dansé avec le diable au clair de lune ?

Je ne peux pas vous promettre de vous ramenez tous en vie dans vos foyers. Mais je fais le serment devant vous et devant le Tout-puissant que lorsque nous irons nous battre je serai le premier à poser le pied sur le terrain et que je serai le dernier à partir et je n'abandonnerai personne sur le sol ennemi... mort ou vivant. Nous reviendrons tous ensemble chez nous. Je le jure devant Dieu.

- Elles sont belles hein ? - Quoi ? - Les étoiles. On ne les regarde même plus.

La vie étant ce qu'elle est, une série d'existences et d'incidents qui s'entrecroisent et que... PERSONNE ne peut maitriser !

Les abrutis de marcheurs au pas de l'oie que vous êtes devraient lire les livres au lieu de les brûler.

Le fil vert sur le bouton vert, le fil rouge sur le bouton rouge.

Le tabac c'est tabou ! On en viendra tous à bout !

- Mais j'suis bien avec toi. - Mais moi aussi j'suis bien avec toi... J'suis même très bien, mais j'en ai rien à foutre que tu sois bien avec moi. J'veux qu'tu sois avec moi.

Papiers, papiers ? Bien sur que j'ai des papiers... Fuyez !

Si je pars, je ne dirai pas jusqu'où je pourrai aller.

- Vous êtes un journaliste. Je le sens. Je les ai toujours sentis. Permettez-moi d'ouvrir la fenêtre.

- Toute ma vie est un labyrinthe, je fais toujours des hauts et des bas ! Tiens, le mois dernier je bouffais des nouilles pour m'en sortir, et demain des femmes rempliront mes poches avec des diamants ! Aujourd'hui je suis l'idole de tout le monde et demain je serais un moins que rien ! - Non, tu n'as pas besoin de courir le monde après ton destin comme un cheval sauvage !

J'sui spas bête, si elle est avec moi c'est pour mon pognon hein, pas pour mon odeur. Et ca, ca fait mal !

Je ne suis pas gros ; ma fourrure fait de l'épaisseur, c'est trompeur. J'ai le poil bouffant.

Il se mit à faire plus noir que dans le cul d'un taureau par une nuit sans lune.

Hé ! Papa ! Euh... George ! Toi, sur le vélo !

- Conduire dans Paris, c'est une question de vocabulaire.

- Ces chevrons, 3 en hauts, 3 en bas, c'est quoi ? - Une pub Citroën ?

Il faut pas laisser rentrer ça ! 'faut qu'ça reste chez nous ici.

- Hé Billy, y a moyen de sortir de ce trou ? La reconnaissance dit qu'on est coupés. - Y a qu'une seule solution, cette vallée là, qui s'en va vers l'est, mais c'est coton, j'y enverrais pas un chien vérolé.

Personne, personne ne me traite de mauviette !