Page 19 | Toutes les citations de films cultes

- Il faut que j'aille voir. - Voir quoi ? Il n'y a rien à voir Jacques, c'est noir et froid rien d'autre ! Y'a personne. Et moi je suis là, je suis vivante, et j'existe !

Je crois que je comprends exactement où vous êtes, vous êtes très belle et vous croyez que les hommes ne s'intéressent à vous que parce que vous êtes belle, mais ce que vous aimeriez c'est qu'ils s'intéressent à vous parce que vous êtes vous ! Le problème c'est que toute cette beauté mise à part, vous n'êtes pas très intéressante, vous êtes revêche, vous êtes agressive, vous êtes d'humeur maussade et renfermée. Je sais que vous voudriez quelqu'un qui dépasse tout ça et découvre la vraie personne qui se cache derrière. Mais la seule raison pour laquelle on prendrait la peine de dépasser tout ça, c'est parce que vous êtes belle ! Quelle ironie du sort, en fin de compte votre vrai problème c'est vous !

- Toute la vie c'est la même chanson, nettoie ta chambre, tiens toi droit, essuie toi les pieds, sois un homme, n'embête pas ta soeur, ne mélange jamais la bière et le vin, oh oui, ne conduis jamais sur la voie ferrée. - Euh... Phil, pour une fois je suis plutôt d'accord là.

Peut être qu'elle avait peur, peur que de toute sa vie elle ne soit jamais vraiment aimée pour ce qu'elle était, de façon inconditionnelle, mais, maintenant, elle s'aperçoit qu'elle était aimée de cette façon là.

Si tu veux arriver au point G, va falloir mouiller ton maillot !

Visitez Duloc, c'est un monde parfait ! Chez nous on te croque chez le juge de paix ! Pas de blagues, pas de vagues, ne marche pas en zig-zag. Duloc est un monde parfait ! Ne saute pas les talus, lave tes pieds, lave ton... Nez ! Duloc est... Duloc est... Duloc est un monde... PARFAIT !

C'est à ce moment précis que j'ai commencé à penser à Thomas Jefferson, à la déclaration d'indépendance, à la partie sur le droit de chacun à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur. Et je me souviens m'être dit, comment a-t-il eu l'intuition de mettre l'idée de poursuite là-dedans ? Comme si le bonheur était une chose que l'on ne peut que poursuivre et éventuellement ne jamais atteindre peu importe les circonstances... Comment a-t-il su ?

- À vos chaloupes camarades ! J'te demande pardon, c'est toi qui commande. - Messieurs, allez-y à pied ! - Pas en chaloupe ?

- Je suis ancien combattant, militant socialiste et bistro. C'est dire si dans ma vie j'ai entendu des conneries.

Tu sais que t'es physiquement intelligente toi.

Donne pas la patte, donne pas la patte. C'est bien ! C'est un bon yorkmouth !

Je me comportais comme une autre femme, et pourtant, j'étais moi, plus que jamais.

Elle est jolie cette grille ? Vous savez que le type a eu 137 fractures ? C'est beaucoup 137 fractures !

Demandez-vous mon amour si vous n'avez pas été cruelle de m'avoir ainsi envouté et privé de ma liberté. Quant à moi je ne sais comment exprimer ma dévotion pour une si belle créature. Il me faut un mot plus éclatant qu'éclat, un mot plus beau que beauté. Je rêve que nous sommes des papillons ayant à vivre que trois jours d'été, avec vous ces trois jours seraient plus plaisants que cinquante années d'une vie ordinaire.

Ne me raconte plus que tu es innocent, parce que c'est une insulte à mon intelligence, et ça me rend de mauvaise humeur.

Un type fier, un type fort qui peut être très méchant quand il a la haine et qui n'accepte pas qu'on lui marche sur les pieds !

Deux anciennes maisons réputées d'égale dignité dans la belle Verone, où se place notre scène, pour d'anciennes querelles de nouveau se mutilent. Le sang civil vient souiller le poing des citoyens. Or dans le sein fatal de ces deux ennemis, deux enfants amoureux sous des astres défavorables, s'éveillent à la vie. Leur malheureux effondrement dans le tombeau ensevelira la haine que leurs pères l'un pour l'autre conçoivent. Les terribles péripéties de leur funestes amours et l'effrayante assiduité de leur parents dans une querelle que rien hormis la mort de leur progéniture n'aura le pouvoir d'épuiser. Tel sera dans les deux prochaines heures, le spectacle de notre scène.

Tu vas pas me perdre. Tu m'as appris à aimer la vie, et j'ai envie d'être heureux, de dormir dans un vrai lit, d'avoir des racines.

Le pouvoir génétique est la force la plus terrible que la planète ait connu, mais vous la maniez comme un enfant qui a trouvé le flingue de son père !

Si je t'aime ? Je te âme, je te hume, je totem, je t'intime...

Tout est provisoire : l'amour, l'art, la planète Terre, vous, moi. La mort est tellement inéluctable qu'elle prend tout le monde par surprise. Comment savoir si cette journée n'est pas la dernière ? On croit qu'on a le temps. Et puis tout d'un coup, ça y'est, on se noie, fin du temps réglementaire. La mort est le seul rendez vous qui ne soit pas noté dans votre organizer.

Vous en avez peut être fini avec le passé, mais le passé n'en a pas fini avec vous.

Le désert, c'est fait pour tout recommencer.

Voilà pourquoi je déteste les Marines : ils nous pissent dessus sans même essayer de nous faire croire qu'il pleut !

La peste soit de vos deux familles.

Chérie, les docteurs sont des sadiques qui se prennent pour Dieu et qui aiment voir le commun des mortels souffrir.

J'étais un guerrier qui rêvait qu'il pouvait apporter la paix. Mais tôt ou tard, il faut se réveiller.

Je suis un serviteur du Feu Secret, détenteur de la flamme d'Anor. Le feu sombre ne vous servira à rien, flamme d'Udûn. Repartez dans l'ombre ! Vous ne passerez pas !

- Mais enfin, je t'adore. - Je veux pas être adorée, je veux être aimée.

J'avais besoin d'eux, et ils avaient besoin de moi.

Je hais ta façon de me parler Et la couleur de tes cheveux Je hais ta façon de conduire Et de me regarder dans les yeux Je hais tes stupides bottes d'armée Et ce que tu devines en moi Je te hais au point d'en crever Et même de te tuer parfois Je hais ta façon d'avoir raison Tes histoires inventées Je te hais quand tu me fais rire d'avantage quand tu me fais pleurer Je te hais quand tu n'es pas là et que tu es dieu sait où Mais je hais surtout de ne pas te haïr Ni un seul instant Ni une seule minute Ni même du tout.

- Le monde se divise en deux mon ami, ceux qui ont la corde au cou et ceux qui la leur coupe... Oui seulement celui qu'a la corde cou c'est moi, moi je risque gros, c'est pourquoi la prochaine fois j'veux plus de la moitié ! - oui tu as la corde au cou, mais moi je tire, et si tu me rogne mon pourcentage - cigare ? - qui sait, il peut arriver qu'je rate mon coup ?

J'vais te faire pleurer jusqu'à q'tu pleures, et si tu pleure pas tu vas pleurer quand même, compris ?

- Tu, tu veux rigoler, hein Blondin, tu veux me faire une farce avoue le hein ? - Ça c'est pas une farce c'est une corde. Dépêches toi de passer ta tête là-dedans Tuco.

Dis donc Sophie, j'espère que t'as pas pris un coup de soleil sur les fesses parce que ça va couter cher en Biafine s'il faut que t'étales !

- La guigan... quoi ? - La Guigandélire ! C'est une danse.

L'enfer n'est rien face à la femme qu'on a trahie.

Ne mieux vaut-il pas inspirer la crainte que l'amour ?

Aujourd'hui, et bien c'est le jour de mon 111e anniversaire ! Mais hélas 111 ans ce fut un temps trop court à passer en compagnie de si excellents et si admirables hobbits... Je ne connais pas la moitié d'entre vous autant que je le voudrais, mais j'aime moins la moitié d'entre vous à moitié moins que vous ne le méritez !

- Il te les cuisine à la sauce bigriche. - Gribiche ! Espèce de gougnafier de sicilien !