S'il fallait tenir compte des...

Citations similaires à "S'il fallait tenir compte des..." :

2. Lire aussi : Quiz culture générale : 10 questions entre ciné, science et jeux vidéo (très peu font un 10/10 !)

   Testez vos connaissances avec notre quiz culture générale ! Défis variés, histoire, art, sciences... Évaluez votre savoir et apprenez en vous amusant !

3. Parce que la science nous balance sa science, Science sans conscience égale science de l'inconscience.

   • 77

4. Tenir une femme par sa parole, c'est tenir une anguille par la queue.

   • 4

5. Promesse de la science : la science moderne a pour but aussi peu de douleur que possible.

   • 25

6. La science - toute science - est sans conscience ni limites.

   • 16

7. L'homme de science le sait bien, lui, que seule la science, a pu, au fil des siècles, lui apporter l'horloge pointeuse et le parcmètre automatique sans lesquels il n'est pas de bonheur terrestre possible.

   • 5

9. Le monde est un mauvais génie pour la science, la science est le mauvais génie pour le monde.

   • 9

10. Amour, il fallait bien en payer le prix, et mon chagrin vient de briser ma vie.

    • 78

11. On a du te dire qu'il fallait réussir dans la vie. Moi, je te dis qu'il faut vivre, c'est la plus grande réussite au monde.

    • 21

12. La confiance en soi et la capacité de se tenir debout seul me paraissent essentielles pour réussir notre vie. Je ne parle pas d'une assurance stupide, mais d'une conscience de notre potentiel intérieur, une certitude que nous pouvons toujours nous corriger, nous améliorer, nous enrichir, et que rien n'est jamais perdu.

    • 167

13. S'il fallait un jour que les forêts disparaissent, l'homme n'aurait plus que son arbre généalogique pour pleurer.

    • 28

14. Ce n'est pas l'amour qu'il fallait peindre aveugle, c'est l'amour-propre.

    • 2

15. S'il ne fallait retenir qu'une vertu des Technologies de l'Information et de la Communication ce serait celle-ci : la possibilité d'offrir à chacun une tribune, un espace de liberté, d'expression.

    • 0

16. S'il fallait que les femmes s'occupent d'où vient l'argent qu'elles dépensent, les bijoutiers pourraient plier boutique.

    • 13

17. Il lui fallait maintenant s'enfoncer dans la mer chaude, se perdre pour se retrouver, nager dans la lune et la tiédeur pour que se taise ce qui en lui restait du passé et que naisse le chant profond de son bonheur.

    • 3

18. S'il fallait tolérer aux autres tout ce qu'on se permet à soi-même, la vie ne serait plus tenable.

    • 3

19. Il fallait bien que ça arrive. Son meilleur ami est parti avec sa meilleure femme.

    • 2

20. Je twisterais les mots s'il fallait les twister, Pour qu'un jour les enfants sachent qui vous étiez.

    • 1

21. On a déclaré qu'il fallait d'abord la justice et que, pour la liberté, on verrait après ; comme si des esclaves pouvaient jamais espérer obtenir la justice.

    • 1

22. S'il fallait étudier toutes les lois, on aurait plus le temps de les transgresser.

    • 1

23. Le monde étant ce qu'il est, il fallait vraiment être un imbécile pour siffloter gaiement du matin au soir.

    • 1

24. Il me fallait inventer l'histoire, le lieu, les personnages, les héros, capables de donner le change et propres à flatter ce goût de reconnaître que le public préfère à celui de connaître, sans doute parce qu'il exige un moindre effort.

    • 1

26. S'il fallait se tirer une balle sous prétexte que la vie n'a pas de sens, il ne resterait personne.

    • 1

27. Du temps pour comprendre qu'il me fallait non pas scruter l'obscurité, mais au contraire m'ouvrir à la lumière, la nourrir comme un jardin, l'habiter comme une maison.

    • 1

28. S'il fallait choisir, je détesterais moins la tyrannie d'un seul que celle de plusieurs. Un despote a toujours quelques bons moments ; une assemblée de despotes n'en a jamais.

    • 1

29. Une évidence, il fallait le faire. C’est idiot, parfois on se fait des paris.

    • 0

30. Voilà, c'était ça le bon chemin : il fallait, comme on étudie la grammaire, la musique, étudier les émotions que les autres provoquent en nous.

    • 3

31. J'ai toujours pensé que, pour fendre l'air, il fallait, comme Coppi, avoir un grand nez. Anquetil, Bobet, Merckx, Hinault ont peut-être battu des records. Ils n'ont jamais détrôné dans mon coeur le grand Fausto. Longtemps après ses prouesses, j'ai failli doubler les gages de notre employée de maison, pour la remercier de m'avoir dit, en revenant du bureau de poste où je l'avais envoyée faire une photocopie : Monsieur, voilà votre Fausto Coppi !

    • 2

32. S'il fallait mourir chaque fois qu'on fait une bêtise, il n'y aurait pas assez de poison sur la terre.

    • 2

33. S'il fallait condamner tous les ingrats qui sont au monde, à qui pourrait-on pardonner ?

    • 2

34. Comme si on lançait les dés et qu’il fallait les regarder tourner encore et encore. Se coucher, se réveiller, les voir tourner encore. Se coucher à nouveau, se réveiller encore, et toujours les voir tourner. Et comprendre que les dés, eux, savent sur quelle face ils vont s’arrêter, car le hasard n’a rien à voir dans cette affaire : la maladie est là, ou bien elle n’y est pas. L’issue est déjà décidée. Il n’y a que les principaux intéressés qui l’ignorent.

    • 0