Il fallait bien que ça...

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2. Lire aussi : Il a inventé la psychanalyse, mais restait perdu face aux femmes

   Au début du XX? siècle, Sigmund Freud explorait les mystères de l’inconscient avec la fougue d’un pionnier, armé de ses théories révolutionnaires et de son cigare. Pourtant, il y avait un sujet qui le laissait perplexe, et pas qu’un peu : comprendre les f

3. - P'tet que vous n'aviez pas la femme qu'il fallait. - P'tet que tu devrais fermer ta gueule !

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4. L'homme est de feu, la femme d'étoupe, le diable arrive et souffle.

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5. Il arrive qu'une femme rencontre une épave et qu'elle décide d'en faire un homme sain. Elle y réussit parfois. Il arrive qu'une femme rencontre un homme sain et décide d'en faire une épave. Elle y réussit toujours.

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6. Il arrive quelquefois qu'une femme cache à un homme toute la passion qu'elle sent pour lui, pendant que de son côté il feint pour elle toute celle qu'il ne sent pas.

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7. Il arrive rarement qu'un homme dise à une femme qu'elle est intelligente. Il a bien d'autres compliments à lui faire. Aussi toute femme se trouve-t-elle étonnée et flattée de se l'entendre dire. Même si elle l'est.

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9. une femme arrive a faire croire a un homme quand il l a ment que ce qu il dit est vrai

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10. Celui qui arrive au coeur même de sa religion, arrive au coeur des autres religions.

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11. Ne demande pas que ce qui arrive arrive comme tu veux mais que les choses arrivent comme elles arrivent, et tu seras heureux.

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12. Il m'arrive encore parfois de faire l'amour. Il m'arrive aussi parfois d'être brillant. Mais rarement les deux en même temps.

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13. Amour, il fallait bien en payer le prix, et mon chagrin vient de briser ma vie.

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14. On ne sait jamais ce qui serait arrivé si ce qui est arrivé n'était pas arrivé.

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15. On a du te dire qu'il fallait réussir dans la vie. Moi, je te dis qu'il faut vivre, c'est la plus grande réussite au monde.

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16. S'il fallait un jour que les forêts disparaissent, l'homme n'aurait plus que son arbre généalogique pour pleurer.

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17. Ce n'est pas l'amour qu'il fallait peindre aveugle, c'est l'amour-propre.

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18. S'il ne fallait retenir qu'une vertu des Technologies de l'Information et de la Communication ce serait celle-ci : la possibilité d'offrir à chacun une tribune, un espace de liberté, d'expression.

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19. S'il fallait que les femmes s'occupent d'où vient l'argent qu'elles dépensent, les bijoutiers pourraient plier boutique.

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20. Il lui fallait maintenant s'enfoncer dans la mer chaude, se perdre pour se retrouver, nager dans la lune et la tiédeur pour que se taise ce qui en lui restait du passé et que naisse le chant profond de son bonheur.

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21. S'il fallait tolérer aux autres tout ce qu'on se permet à soi-même, la vie ne serait plus tenable.

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22. Je twisterais les mots s'il fallait les twister, Pour qu'un jour les enfants sachent qui vous étiez.

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23. On a déclaré qu'il fallait d'abord la justice et que, pour la liberté, on verrait après ; comme si des esclaves pouvaient jamais espérer obtenir la justice.

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24. S'il fallait étudier toutes les lois, on aurait plus le temps de les transgresser.

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26. Le monde étant ce qu'il est, il fallait vraiment être un imbécile pour siffloter gaiement du matin au soir.

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27. Il me fallait inventer l'histoire, le lieu, les personnages, les héros, capables de donner le change et propres à flatter ce goût de reconnaître que le public préfère à celui de connaître, sans doute parce qu'il exige un moindre effort.

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28. S'il fallait se tirer une balle sous prétexte que la vie n'a pas de sens, il ne resterait personne.

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29. Du temps pour comprendre qu'il me fallait non pas scruter l'obscurité, mais au contraire m'ouvrir à la lumière, la nourrir comme un jardin, l'habiter comme une maison.

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30. S'il fallait choisir, je détesterais moins la tyrannie d'un seul que celle de plusieurs. Un despote a toujours quelques bons moments ; une assemblée de despotes n'en a jamais.

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31. Une évidence, il fallait le faire. C’est idiot, parfois on se fait des paris.

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32. Voilà, c'était ça le bon chemin : il fallait, comme on étudie la grammaire, la musique, étudier les émotions que les autres provoquent en nous.

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33. J'ai toujours pensé que, pour fendre l'air, il fallait, comme Coppi, avoir un grand nez. Anquetil, Bobet, Merckx, Hinault ont peut-être battu des records. Ils n'ont jamais détrôné dans mon coeur le grand Fausto. Longtemps après ses prouesses, j'ai failli doubler les gages de notre employée de maison, pour la remercier de m'avoir dit, en revenant du bureau de poste où je l'avais envoyée faire une photocopie : Monsieur, voilà votre Fausto Coppi !

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34. S'il fallait mourir chaque fois qu'on fait une bêtise, il n'y aurait pas assez de poison sur la terre.

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