Page 168 | Citations sur la vie, et proverbes inspirants sur la vie

Quand on ne réussit pas à être soi-même dans la vie, on se rend compte finalement qu'il était complètement inutile d'exister...

A force de trop penser, parfois on a le sort qu'on mérite. La vie, ça se vit à chaque jour suivant sa peine...

Il y a des hommes qui préfèrent la solitude... pour vivre davantage leurs propres remords et leur propre tristesse.

Si j'ai l'occasion, j'aimerais mieux mourir de mon vivant !

Les liens du mariage n'empêchent pas les vies décousues.

L'éducation nous apprend les règles de la vie. L'expérience nous apprend les exceptions.

Dire que vous pouvez aimer une personne toute votre vie, c'est comme si vous prétendiez qu'une bougie continuera à brûler aussi longtemps que vous vivrez.

Avoir un pied dans le futur Vivre les rêves qui sont les nôtres Et obéir à sa nature Puisque rien de dure vraiment...

Chaque fois qu'une génération apparaît au balcon de la vie, il semble que la symphonie du monde doive attaquer un tempo nouveau.

Il y a trois sortes d'êtres : les vivants, les morts et les marins.

Imagine tous les gens vivant en paix.

Après avoir joué au théâtre, la vie quotidienne paraît plutôt banale.

Aucun moment de cinéma ne vaut un moment de vie.

On ne doit pas nous voler notre propre mort, car elle fait partie de notre vie, il est donc important de vivre aussi ce moment-là.

La mort est le voile que les vivants appellent la vie.

Pour vivre, une oeuvre d'art n'a pas besoin ni de beauté ni de laideur. Elle a besoin de vie.

Les enfants s'aiment comme des amants, nous ignorons leurs petits drames dans le courant de notre vie d'adulte.

Ah, vous autres, hommes faibles et merveilleux qui mettez tant de grâce à vous retirer du jeu ! Il faut qu'une main, posée sur votre épaule, vous pousse vers la vie...

Soyons tous heureux et vivons selon nos moyens, même s'il nous faut emprunter pour le faire !

Travailler durement, vivre durement, mourir durement et aller en enfer après, ce serait vraiment trop dur.

La mémoire de ma mère et ses enseignements ont été, après tout, le seul capital dont j'ai disposé pour affronter la vie. Et ce capital m'a fait devenir ce que je suis.

Qu'on ne mette pas la crainte chez l'homme, qu'on lui procure une vie au sein de la paix, et que l'on obtienne qu'il donne volontiers ce qu'on lui prenait en l'effrayant.

Il existe au monde des gens sans lesquels la roue de la vie ne tournerait pas comme il le faudrait.

La vérité est parfaite pour les mathématiques, la chimie, la philosophie, mais pas pour la vie.

L'homme courageux n'abrège point sa vie en affrontant les dangers. Le poltron ne la conserve point en multipliant les précautions.

La gouverne des autres, c'est la mort. Vivre, c'est travailler pour soi.

Vivre déraciné, c'est vivre l'enfer.

Il faut avoir vis-à-vis de l'oeuvre que l'on écoute, que l'on interprète ou que l'on compose, un respect profond devant l'existence même. Comme si c'était une question de vie ou de mort.

Danser est le fin mot de vivre et c'est par danser aussi soi-même qu'on peut seulement connaître quoi que ce soit : il faut s'approcher en dansant.

Avant d'être une espérance pour l'avenir, la vie éternelle est, pour le présent, une exigence.

Un système vivant est un système ouvert et pourtant stable. On peut le comparer à une flamme.

L'homme fait à tous les instants des déclarations définitives sur la vie, l'homme et l'art, et ne sait pas plus que le champignon ce qu'est la vie, l'homme et l'art.

Le bonheur est une chose terrible à supporter. Surtout lorsque ce bonheur n'est pas celui pourquoi on avait arrangé toute sa vie.

Un homme qui a fait une fois un bond dans le Paradis, comment pourrait-il s'accommoder ensuite de la vie de tout le monde ?

Le journalisme est un métier où l'on passe la moitié de sa vie à parler de ce qu'on connaît pas et l'autre moitié à taire ce que l'on sait.

La vérité, que personne n'avoue, c'est qu'une fois les illusions enfuies, on passe sa vie à souffler sur le miroir aux regrets. Mais toujours la buée s'efface.

Je voudrais qu'on rayât "politique", ce sale mot, du dictionnaire et que jamais plus on n'osât parler d'autre chose que de Vie publique.

Les mots sont les fantômes des imaginations malades, au-dessus desquels il y a la vie qu'il faut vivre sans penser aux mots.

Vivant depuis longtemps sous le règne de l'imitation, nous avons sans doute exigé d'être limités pour nous venger.

Homme, tout affronter vaut mieux que tout comprendre. La vie est à monter, et non pas à descendre.