Page 150 | Citations sur la vie, et proverbes inspirants sur la vie

Garde toi, tant que tu vivras, de juger les gens sur la mine.

Faire un enfant dans le monde où nous vivons, c'est faire un bras d'honneur à l'apocalypse.

Etre statufié de son vivant, ça vous pétrifie.

Etre établi dans la modération donne une bonne énergie de vie.

Etre entièrement libre et en même temps dominé par la loi, c'est l'éternel paradoxe de la vie humaine.

Etre artiste, c'est beaucoup plus qu'aimer un art, c'est aimer la vie, c'est vivre doublement, passionnément, intensément.

Etrange à quel point la mort d'un autre vous ramène inévitablement à votre propre vie. Tout est si éphémère.

Et si l'on ne voyait presque rien de la vie et des êtres que l'on voit trop souvent.

Et s'il n'y avait jamais d'accidents dans notre vie ? Si tout, absolument tout, avait une signification ? Si le hasard n'était qu'une illusion ?

Est-ce là ce qu'on appelle être que vivre et puis sitôt mourir !

Est-ce qu'il n'y a pas un danger de placer le plus important de sa vie après la mort ?

Entre l'homme qui se fait comprendre et celui qui ne le fait pas il y a un abîme de différence. Le premier sauve sa vie.

Entre nous, et l'enfer ou le ciel, il n'y a que la vie entre deux, qui est la chose du monde la plus fragile.

Enfance. Période intermédiaire de la vie humaine entre l'idiotie de la prime enfance et la folie de la jeunesse, deux stades au-dessus de la faute originelle et trois stades en dessous des remords de la vieillesse.

En vivant et en voyant les hommes, il faut que le coeur se brise ou se bronze.

En tant qu'artistes, nous sommes à la merci des autres pour réussir ou manquer notre vie.

En fait l'important ne serait pas de réussir sa vie, mais de rater sa mort.

En apprenant à connaître les maux de la nature, on méprise la mort ; en apprenant à connaître ceux de la société, on méprise la vie.

Efforçons-nous de vivre de telle façon qu'à l'heure de notre mort, même l'employé des Pompes funèbres en soit tout attristé.

Ecrire, c'est une liaison d'amour avec soi et les choses, et les moments et les gens. Ecrire, c'est comme vivre une vie parallèle à sa vie de chaque jour ; c'est le vase purificateur de l'âme et de ses mouvances.

Ecrire, c'est pas toujours le paradis. Vivre non plus. Même en prose.

Dommage que ni les rires, ni les sourires, ni les pleurs ne s'écrivent. Ils sont la vie.

Dommage que l'admiration de soi ­ qui aide à vivre ­ ne débouche que sur le mépris des autres ­ qui assombrit l'existence.

Dieu nous a donné le vivre ; c'est à nous de nous donner le bien vivre.

Dieu ne nous demande jamais que le oui que nous pouvons donner à ce moment-ci de notre vie.

Dieu n'est pas parfait, il est vivant, c'est tout autre.

Dieu est vivant et en bonne santé. Il est actuellement au travail sur un projet moins ambitieux.

Dieu est celui qui est feu, sel et vent et qui reste insaisissable comme la respiration de la vie.

Des millions d'êtres humains rêvent d'une vie éternelle et s'il pleut le dimanche après-midi, ils ne savent pas quoi faire.

Des Echecs, on ne peut en vivre, mais on peut en mourir.

Demander ne coûte qu'un instant d'embarras; ne pas demander, c'est être embarrassé toute sa vie.

Définissez ce qu'est votre but dans la vie et soyez prêt à tout sacrifier pour y arriver. Si vous n'êtes pas prêt à faire ces sacrifices, continuez à chercher.

Demain est la chose la plus importante de la vie. Il nous arrive à minuit encore tout propre. Quand il arrive il est parfait, et il se blotti dans nos mains en espérant que l'on a tiré quelque leçon de la veille.

Défier le but fixé n'est-ce pas la raison de vivre ?

De mourir, cela ne me fait rien, mais cela me fait de la peine de quitter la vie.

De même qu'une journée bien employée procure un heureux sommeil, une vie bien remplie nous laisse mourir en paix.

De l'érotisme, il est possible de dire qu'il est l'approbation de la vie jusque dans la mort.

Dans toutes les existences, on note une date où bifurque la destinée, soit vers une catastrophe, soit vers le succès.

Dans un art de vivre accompli où alternent, selon un ordre éprouvé, effort et repos, sérieux et jeu, travail et plaisir, la promenade a également sa place.

Dans notre monde, la seule valeur authentique qui nous reste, c'est la vie, rien que la vie.