Page 150 | Citations sur la vie, et proverbes inspirants sur la vie

L'âge adulte, la période la moins sûre, la plus dangereuse en tout cas, parce que la moins simple. Comme si l'être humain en vieillissant oubliait le rythme naturel de la vie.

L'âge est une question de foi, d'espérance, d'amour, une question de disponibilité ; le temps ne marque pas les êtres constamment à l'affût de la vie.

J'adore être comédien. C'est tellement plus réel que la vie.

Jeunesse. Cette merveilleuse époque de l'éveil du coeur, époque décisive où, sous toutes ses formes, l'amour prend le sens même de la vie.

Je vous dirai que je n'ai jamais eu d'échecs dans ma vie. Il n'y a pas eu d'échecs. Il y a eu des leçons épouvantables.

Je veux bien être embêté toute ma vie par les femmes, mais pas par la même.

Je suis pour la peine de vivre.

Je suis en train de changer ma vie par mes actions. C'est un choix qui m'appartient.

Je ne t'ai pas épousée pour la durée de ta vie, mais pour la durée de la mienne.

Je crois quelquefois que le signe le plus flagrant qu'une vie intelligente existe quelque part dans l'univers est que personne n'a essayé de nous contacter.

Je défendrai mes opinions jusqu'à ma mort, mais je donnerai ma vie pour que vous puissiez défendre les vôtres.

J'aime bien les histoires qui finissent mal. Ce sont les plus belles car ce sont celles qui ressemblent le plus à la vie.

J'ai mis tout mon génie dans ma vie; je n'ai mis que mon talent dans mes oeuvres.

Inutile de se faire des illusions, notre vie est exactement ce que nous la faisons et personne, sauf nous-mêmes, n'est responsable des succès ou des échecs qui nous incombent.

Internet est une toile où se projettent les passions comme les fantasmes, des pans de vie réelle et des réalités virtuelles, un réseau où se côtoient contestation et aliénation, fatalisme et fanatisme.

Inspirons, s'il est possible, à la nation l'amour de l'architecture nationale. C'est là, l'auteur le déclare, un des buts principaux de ce livre ; c'est là un des buts principaux de sa vie.

Il y aurait une grande mortalité si l'on cessait de vivre lorsqu'on a plus rien à se dire.

Il y a une interrogation constante pour les femmes écrivains : est-il préférable d'avoir une vie heureuse ou un stock d'intrigues tragiques ?

Il y a une différence entre vivre et exister.

Il y a une grande beauté à avancer dans la vie sans anxiété ni peur. La moitié de nos peurs sont sans fondement et l'autre moitié peu honorables.

Il y a un temps pour vivre, un temps pour mourir. Après cela s'aggrave parce qu'il n'y a plus de temps du tout.

Il y a trois sortes d'hommes : les Vivants, les Morts, et ceux qui vont sur la Mer.

Il y a toujours une disproportion immense entre le désir et son objet. L'illusion nous porte à trop demander à la vie.

Il y a tant de belles choses à dire et à écrire sur la vie qu'il est absolument insensé de perdre son temps à se lamenter sur les mauvaises.

Il y a deux sortes d'hommes. Ceux qui combattent leur père et ceux qui cherchent toute leur vie à le remplacer.

Il y a deux choses avec lesquelles il ne faut pas plaisanter dans la vie, c'est l'argent et les dollars.

Il y a des instants qu'on voudrait voir durer la vie entière. Cela tient à une secrète plénitude, à un mystérieux apaisement en nous de l'inquiétude, cette autre forme du désir.

Il vaut mieux vivre dans la plate solitude que de toucher un peu à la joie, l'étreindre pendant quelques jours, et finalement la perdre sans raison apparente.

Il vaut mieux donner à son fils le nom d'un chanteur vivant que celui d'un général mort.

Il suffit parfois de si peu de chose pour allumer un amour qui ira jusqu'au bout de la vie !

Il semble bien difficile de vivre, parce qu'avec ou sans amour, le premier problème de l'homme demeure l'amour.

Il n'y a rien de plus triste qu'une vie sans hasard.

Il n'y qu'un seul instant où vous êtes en vie, cette minute, ici et maintenant.

Il n'y a rien de pire que de se gâcher la vie à se demander ce qu'on aurait pu faire.

Il nous arrive à la fois des événements drôles, curieux, angoissants, voulus ou non. Chacun d'eux est une maille, mailles qui formeront la chaîne longue ou courte de notre vie.

Il ne faut pas plus de temps pour voir les bons côtés de la vie que pour voir les mauvais.

Il ne faut pas moins de toute une vie pour comprendre quelque chose à la vie.

Il n'y a rien de vivant dans une cellule sauf l'ensemble.

Il n'y a plus que la peur de mort qui les retienne à la vie.

Il n'y a pas de paix - et, ultimement, de vie - sans comunauté.