Page 9 | Citations pour la fête des mères et sur les mamans

La mère tient plus à ses petits que le père. Elle sait qu'ils sont d'elle, le père le présume.

Si la nécessité est la mère de l'invention, le mécontentement est le père du progrès.

Dans les bras de sa mère, tout bébé est beau.

On aime sa mère presque sans le savoir, et on ne s'aperçoit de toute la profondeur des racines de cet amour qu'au moment de la séparation dernière.

On ne peut pas essayer d'être amoureuse de Papa. Maman a déjà essayé.

L'enfant a-t-il moins besoin des soins d'une mère que de sa mamelle ?

Toutes les mères sont impossibles - qu'elles aiment trop ou qu'elles n'aiment pas assez. Il n'y a pas en la matière de juste mesure.

La mère qui laisse voir toute sa tendresse à ses enfants crée en eux l'ingratitude : l'ingratitude vient peut-être de l'impossibilité où l'on est de s'acquitter.

La discipline est mère du succès.

Le coeur d'une mère est l'école de l'enfant.

Pour faire un mot drôle , je tuerais père et mère... Heureusement que je suis orphelin !

La caresse d'une mère, une belle promenade, des heures émerveillées par des récits heureux agissent sur toute l'existence.

Une mère, c'est vaste comme le monde. Elle est l'univers de chaque enfant qu'elle a porté, un univers unique qu'elle a inventé à chaque maternité.

Si la mère a ressemblé si parfaitement à la fille, il est certain qu'un jour, la fille ressemblera parfaitement à la mère.

Le baby-blues, c'est quand on montre l'enfant à la mère et qu'elle s'aperçoit qu'il a quatre mains.

Il y a dans le sentiment maternel je ne sais quelle immensité qui permet de ne rien enlever aux autres affections.

L'oisiveté est la mère de tous les vices, mais le vice est le père de tous les arts.

La mère de la débauche n'est pas la joie mais l'absence de joie.

Si vous avez à choisir entre demeurer avec votre belle-mère ou vous brûler la cervelle :N'hésitez pas, brûlez-la-lui.

L'amour d'une mère c'est comme l'air : c'est tellement banal qu'on ne le remarque même pas. Jusqu'à ce qu'on en manque.

Que ne te dois-je point ? O mère tant chérie, tu me donnas le jour, me nourris de ton lait et je ne dois la vie qu'à ton prudent amour.

La conscience est une belle-mère qui ne sort jamais de chez vous.

Le coeur des mères se fond en douces caresses, en gâteries, en mille soins utiles et inutiles.

Une mère ne meurt jamais car on l'appellera toujours "maman".

L'instinct maternel est divinement animal. La mère n'est plus femme, elle est femelle.

Ma mère, à toi je me confie. Des écueils d'un monde trompeur écarte ma faible nacelle. Je veux devoir tout mon bonheur à la tendresse maternelle.

Comme une mère, une ville natale ne se remplace pas.

Seules les femmes, les mères, savent ce qu'est le verbe attendre.

Sainte Mère de Dieu, vous qui avez conçu sans pécher, accordez-moi la grâce de pécher sans concevoir.

Pleurer sa mère, c'est pleurer son enfance. J'ai été un enfant, je ne le suis plus et je n'en reviens pas.

La mère aimante apprend à son enfant à marcher seul.

La France c'est ma mère. On peut changer d'épouse mais on ne peut pas changer de mère.

Le coeur des mères se glisse derrière les lois des hommes.

La mémoire de ma mère et ses enseignements ont été, après tout, le seul capital dont j'ai disposé pour affronter la vie. Et ce capital m'a fait devenir ce que je suis.

Aucune mère n'a conçu un fils dans le sentiment de la patrie.

La bonne conduite des père et mère est la bénédiction des enfants.

La vraie humilité est la mère de toutes les vertus.

La foule est la mère des tyrans.

Si jeune que l'on soit, le jour où l'on perd sa mère, on devient vieux tout à coup.

Quoique l'ambition soit un vice, elle est pourtant la mère et la cause de toutes les vertus.