Page 11 | Citations pour la fête des mères et sur les mamans

Telle mère, telle fille.

Considérer la femme d'autrui comme une mère, considérer le bien d'autrui comme du feu, considérer tous les êtres comme ses parents.

Que de fois la mère partage Et ne garde pas sa moitié !

Ma mère adorait les enfants ; elle aurait donné n'importe quoi pour que j'en sois un.

Les mères n'ont pas de rang, pas de place. Elles naissent en même temps que leurs enfants.

Ma mère, quand elle a arrêté de me faire peur, a commencé à me faire honte.

L'injustice est une mère qui n'est jamais stérile et qui produit des enfants dignes d'elle.

O ma mère et ma nourrice ! Toi dont l'âme protectrice me fit des jours composés avec un bonheur si rare, et qui ne me fus avare ni de lait ni de baisers !

La nécessité est la mère de l'invention.

Peut-être même dans le fameux amour maternel y a-t-il une bonne part de curiosité.

J'ai glissé cette lettre dans mon imitation, un vieux livre qui appartenait à maman, et qui sent encore la lavande, la lavande qu'elle mettait en sachet dans son linge, à l'ancienne mode.

Toute mère du peuple veut donner, et à force de se saigner aux quatre veines, donne à ses enfants l'éducation qu'elle n'a pas eue.

Il n'y a peut-être pas de joie comparable à celle de la mère qui voit son premier-né.

Aucune mère n'est la camarade de son fils.

A la montée du lait commence l'amour maternel.

La caresse est la mère de tous les vices.

Une jeune fille aime toujours à jouer à la maman.

La société, plus marâtre que mère, adore les enfants qui flattent sa vanité.

Avoir sa belle-mère en province quand on demeure à Paris, et vice versa, est une de ces bonnes fortunes qui se rencontrent toujours trop rarement.

Quand un homme est assez heureux pour avoir une belle-mère très bien conservée, il lui est facile de la tenir pendant un certain temps en échec, pour peu qu'il connaisse quelque jeune célibataire courageux.

Si une fille aime rarement l'amant de sa mère, une mère a toujours un faible pour l'amant de sa fille.

L'avenir d'un enfant est l'oeuvre de sa mère.

Une mère doit toujours réfléchir deux fois, une fois pour elle-même, une fois pour son enfant.

La stupidité est mère du crime. Mais les pères sont très souvent des génies.

Je reprends des forces dans le sein de ma mère.

Je me rappelle les prières de ma mère ; elles m'ont toujours suivi. Toute ma vie, je m'en suis imprégné.

Les fils croient à la vertu de leur mère - les filles aussi, mais moins.

Il n'y a que les pères et les mères qui s'affligent véritablement de la maladie de leurs enfants.

La patience est la mère de la charité.

Une belle-mère, c'est une dame qui donne sa ravissante fille en mariage à un monstre horrible et dépravé pour qu'ils fassent, ensemble, les plus beaux enfants du monde.

Ah ! dignité, fille de l'orgueil et mère de l'ennui.

L'enfant doit aimer sa mère avant de savoir qu'il le doit.

L'amour maternel est le plus éminent des sentiments égoïstes, ou, pour dire autrement, le plus énergique des sentiments altruistes.

J'ai hérité à la fois du talent de ma mère pour dépenser de l'argent et du don de mon père pour ne pas en gagner.

J'entends au-dessus de moi dans les cieux les anges qui chantent entre eux, ils ne peuvent trouver de mot d'amour plus grand que celui-ci : Maman.

Si la pauvreté est la mère des crimes, le défaut d'esprit en est le père.

Vis entre une épouse, une mère tendre qui te chériront à qui mieux mieux. Sois indulgent pour elles, heureux pour toi, mon fils ; gai, libre et bon pour tout le monde ; il ne manquera rien à ta mère.

Le fils unique qui se marie perd sa mère et gagne deux belles-mères.

Arrive-t-il quelque bonheur ? Vite, à sa mère on le raconte ; c'est dans son sein consolateur qu'on raconte ses pleurs ou sa honte.

Grèce, ô mère des arts, terre d'idolâtrie, de mes voeux insensés éternelle patrie.