Page 93 | Citation sur les femmes

Toutes les mères, par principe, ne souhaitent rien tant pour leurs fils que le mariage, mais désapprouvent la femme qu'ils choisissent.

Dans l'extrême jeunesse, l'on est trop enclin, comme les femmes, à croire que les larmes dédommagent de tout.

Elle flotte, elle hésite : en un mot, elle est femme.

Une maison défraîchie, comme une femme, n'est pas forcément vilaine et une vieille maison est presque forcément charmante.

Si vous voulez faire enrager votre femme, évitez de la contredire.

Le célibataire est un homme qui a réussi à ne pas trouver une femme.

Les hommes naissent égaux en droit : c'est pourquoi les femmes se battent toujours pour avoir les mêmes.

Un mari un peu volage, le lendemain de son mariage, tua sa femme à son réveil. Moralité : la nuit souvent porte conseil.

L'amour est une guillotine où l'homme ne doit pas perdre la tête, s'il veut que la femme perde la sienne.

Non seulement chaque corps nouveau est la source d'une volupté différente, mais chaque relation avec la même femme a son histoire et son identité.

Quand les bougies sont éteintes, toutes les femmes sont jolies.

La modération n'a pas de sens pour les femmes.

Aujourd'hui encore, le destin de la femme, dans la plupart des familles, c'est de ne pas bouger.

Messieurs, ne croyez pas aux larmes. Vous seriez obligés de croire aux femmes.

Ma seule et folle misogynie : je ne pardonne pas aux femmes d'aimer les hommes.

Les maîtresses s'en vont au hasard des amours, Une femme s'en vient au détour d'une vie.

Ce que Dieu ne peut plus faire, une femme, parfois, le peut.

Pour vivre heureux, partagez la télécommande avec la femme de votre vie.

Ces philosophes qui croient à l'absolue logique de la vérité n'ont jamais eu à discuter serré avec une femme.

Les hommes divisent instinctivement les femmes en deux catégories : les femmes comme il faut et les femmes comme il en faut...

Adultère : c'est la distraction des femmes mariées.

Un homme est obligé par définition de lutter, de prouver sa valeur, mais une femme peut se contenter de regrets éternels.

Nom commun le plus difficile à porter, le plus humble à trahir : femme.

L'homme asservit tout ce qu'il touche, la nature, ses semblables, et davantage encore celui qu'il accable de son amour, homme ou femme.

Les hommes trompent souvent ; les femmes peu souvent, et, en cherchant bien, il n'y a guère de perfidies à leur reprocher.

Il n'y a pas de moyen plus sûr pour parvenir dans ce monde que de coucher avec la femme d'un homme puissant.

On a remarqué que de tous les animaux, les femmes, les mouches et les chats sont ceux qui passent le plus de temps à leur toilette.

C'est en faisant la même chose qu'un homme honore une femme ou la déshonore.

Une strip-teaseuse prouve que si les femmes n'ont jamais rien à se mettre, il leur faut toujours du temps pour l'enlever.

La garnison a beau jeu près des dames, si les dames ne sont pas comme la ville, imprenables.

Il y a toujours quelque niaiserie à trop respecter les femmes.

Les vers luisants sont l'image des femmes : tant qu'elles restent dans l'obscurité, on est frappé de leur éclat ; dès qu'elles veulent paraître au grand jour, on ne voit plus que leurs défauts.

Qui ne sait que la nuit a des puissances telles, que les femmes y sont, comme les fleurs, plus belles.

Ne pensez pas que ceux qui poursuivent les dames prennent tant de peine pour l'amour d'elles ; car c'est seulement pour l'amour d'eux et de leur plaisir.

Il n'est rien qui plus abatte le coeur d'un homme que de hanter ou trop aimer les femmes.

L'Académie ? Avec une minuscule, c'est un corps de jolie femme. Avec une majuscule, c'est un corps de vieux barbons.

Quand deux époux sont du même avis, c'est toujours la femme qui l'a la première.

Si vous me réduisez au désespoir, je vous avertis qu'une femme en cet état est capable de tout.

Il faut bien admettre que l'espèce humaine est conduite par des hommes à moitié fous. Espérons que les femmes sauront un jour se réveiller pour préserver la Vie.

Les chemins de la chair ne sont pas ceux de l'esprit : on ne progresse pas dans la beauté des femmes comme dans la pensée des philosophes.