Page 46 | Citation sur les femmes

Les femmes sauvages n'ont pas de pudeur, car elles vont nues. Je réponds que les nôtres en ont encore moins : car elles s'habillent.

Vouloir le bonheur de sa femme, n'est-ce pas l'avoir obtenu ?

De quelle adresse une femme n'a-t-elle pas besoin pour faire qu'on lui dérobe ce qu'elle brûle d'accorder !

Quand nous trompons nos femmes, si nous avions autant de remords que de plaisir, la vie ne serait plus tenable.

La femme ne sait plus même être courtisane !

Homme sans femme, tête sans corps ; femme sans homme, corps sans tête.

Aujourd'hui, toutes les femmes font de l'oeil avec leurs jambes.

La femme est un danger quand on n'en aime qu'une.

Les femmes ne peuvent jamais se décider entre la fierté d'inspirer de la jalousie et l'ennui d'en supporter les conséquences.

Auprès des femmes, les paroles doivent être plus respectueuses à mesure que les gestes le sont moins.

Il y a bien peu de femmes dont la conversation plaise encore après qu'on les a eues.

C'est depuis que les femmes laissent voir leurs jambes qu'on comprend toutes les raisons qu'elles avaient jadis de les cacher.

Les femmes attachent de l'importance à la pudeur physique pour avoir moins à se soucier de la pudeur morale.

Pour les femmes, le meilleur argument qu'elles puissent invoquer en leur faveur, c'est qu'on ne peut pas s'en passer.

A mesure que les femmes comprennent moins, elles se croient plus incomprises.

Il y a des femmes qui se tuent par amour. Mais ce sont toujours les mêmes.

Toutes les femmes capitulent sur l'oreiller.

Les femmes préfèrent la brutalité à l'ironie. Le brutal se met nettement dans son tort à leur égard ; l'ironiste les met en méfiance vis-à-vis d'elles-mêmes et cela ne pardonne pas.

Les femmes mentent bien parce qu'en mentant elles croient presque dire la vérité.

Les hommes savent haïr. Les femmes ne savent que détester. C'est bien pire.

Il est des femmes dont on s'étonne vraiment qu'il ne soit trouvé personne pour les étrangler.

Si vous battez une femme avec une fleur, prenez plutôt une rose, sa tige a des épines.

Les femmes ne sont guère changeantes ; elles restent elles-mêmes, jusque dans leur contradictions.

Les femmes, c'est le quotidien mis au premier plan : d'où la peur qu'il faut avoir des femmes.

Quand on ne comprend pas sa femme, est-ce qu'on peut demander, comme au cinéma, des sous-titres ?

Ainsi sont toutes femmes, femmes.

Une femme que nous entretenons ne nous semble pas une femme entretenue tant que nous ne savons pas qu'elle l'est par d'autres.

Dans la vie de la plupart des femmes, tout, même le plus grand chagrin, aboutit à une question d'essayage.

Une femme qui exerce son intelligence devient laide, folle et guenon.

Rares sont les femmes qui ont assez de grandeur d'âme pour pardonner à leur mari d'être laides.

Toutes les femmes sont tantôt mères et tantôt cruelles, elles ont besoin de ça pour se sentir entières.

Les femmes sont plus sceptiques que les hommes, surtout les vieilles.

Les femmes exagèrent leur faiblesses.

Une femme qui a un enfant, c'est neuf mois de maladie et le reste de sa vie une convalescence.

Les femmes sont ainsi faites qu'elles sont plus flattées de nous séparer d'une femme que de nous retirer de la solitude.

Chantez femmes seules, riez-en plutôt Les 3/4 des hommes sont des rigolos Chantez femmes seules, c'est le jour le plus beau Les 3/4 des hommes sont des beaux salauds.

Le charme essentiel de la femme consiste à faire passer ce qu'elle dit après ce qui émane d'elle.

Femmes, je vous le dis, vous rangeriez Dieu même.

Aucune femme ne fait un mariage d'intérêt ; elles ont toute l'habileté, avant d'épouser un millionnaire, de s'éprendre de lui.

Aux femmes il est donné de ressembler leur vie durant aux enfants que nous étions.