Page 37 | Citation sur les femmes

La vanité des femmes est telle que pour paraître aimées, elles se passeraient fort bien de l'être.

Vous êtes jolie femme et n'oubliez pas que, pour le rester, il faut apprendre à le savoir.

Femmes... Je vous aime. Je n'en connais pas de faciles. Je n'en connais que de fragiles.

Les femmes croient que l'amour mène le monde : c'est dire si elles ont le cerveau dérangé.

La légèreté chez la femme est une qualité essentielle : ne peser jamais sur un homme !

La femme que j'aime, la pluie ne tombe pas sur elle.

Je suis infidèle avec les femmes, mais j'ai toujours été fidèle à moi-même.

Si toutes les femmes ont le même clavier, chacune, néanmoins, doit être touchée différemment.

Les femmes de porcelaine nous donnent l'impression d'être un éléphant dans un magasin de Limoges.

Aujourd'hui, toutes les femmes sont belles au premier regard. Parce qu'elles savent toutes cacher leurs défauts.

Rugby + guerre + femmes = homme.

Lorsqu'on s'apprête à tuer sa femme le soir, on peut bien cogner un peu sur elle le matin.

Une femme, c'est comme un cigare, il faut souvent la rallumer.

Entre ma femme et moi le partage des tâches ménagères est équitable, c'est moi qui les fait, c'est elle qui les nettoie.

Si ma femme ouvrait un bistrot, elle me verrait plus souvent.

Le travail des femmes, dont personne ne conteste la légitimité ni la légalité n'en est pas moins facteur de chômage et de dénatalité. Plutôt que d'envoyer les femmes au travail, mieux vaut les envoyer au lit.

Non seulement la femme a été plus chichement pourvue que l'homme de dons intellectuels, mais encore elle les perd beaucoup plus rapidement.

La langue est l'épée de la femme car sa faiblesse physique l'empêche de se battre avec ses poings et sa faiblesse intellectuelle la pousse à renoncer à donner des preuves : il ne lui reste donc que l'abondance des mots.

Le corps de la femme est comme le garde-manger des plaisirs de l'homme : quoi de plus simple que de mettre un cadenas au garde-manger.

Fort peu de femmes aiment leurs maris ; il n'y a point de maris qui, malgré leurs distractions, ne soient attachés à leurs femmes.

Les femmes : vous les voyez fumer - et toujours les plus gros cigares.

Toutes les femmes libérées finissent quand même par vous parler de leurs rideaux et des couches de leur petit ange, un jour ou l'autre.

Le théâtre. Les hommes et les femmes n'y vont, les uns que pour voir, et les autres que pour être vues, et avec une parure extraordinaire.

Les femmes veulent des hommes médiocres et les hommes s'efforcent de l'être le plus possible.

Les femmes quelconques en savent plus sur les hommes que les belles.

Le public ressemble à une femme : on ne le trompe pas impunément.

Une jeune femme pour un vieillard, c'est une barque qui ne répond pas au gouvernail et que ne retient pas l'ancre.

Prendre femme est étrange chose ; il y faut penser mûrement. Sages gens, en qui je me fie, m'ont dit que c'est fait prudemment que d'y songer toute sa vie.

Une femme doit toujours avouer son âge quand il lui va bien.

Une femme du monde est quelqu'un qui ne montre jamais involontairement ses dessous.

Trop de femmes qui se déshabillent au comptant s'habillent à crédit.

Le sac à main des femmes est une véritable boîte à outils, comme en trimbalent les plombiers. Et toute la journée, dès qu'elles ont un moment, elles réparent.

On juge de la vertu d'une femme à ses dessous.

Voici l'été : épousez une femme ombrageuse !

Les femmes ! Ah ! Les femmes ! Elles sont comme l'argent : on aimerait pouvoir les jeter par la fenêtre.

J'ai choisi ma femme comme elle a choisi sa robe de mariée ; pas pour son apparence brillante et délicate mais parce qu'elle résisterait au temps.

Les femmes et la musique ne devraient pas être datées.

Ciel pommelé et femme fardée ne sont pas de longue durée.

Les femmes galantes ressemblent à ces torrents qui changent très souvent de lit et que les hasards grossissent dans leur course.

Les femmes ont une force herculéenne pour serrer les genoux.