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Nous avons tous des perceptions différentes, se prétendre être juge de la vérité ne peut s'avérer être vrai car nous filtrons notre propre réalité à travers les filtres de notre passé, notre projection du futur et ce que nous faisons réellement dans le présent en rapport à ce que nous percevons être possible ou non.

Il réside toujours un cadeau caché dans toutes situations.

La magie de la vie s'opère lorsqu'on s'occupe moins du comment cela va se produire mais plutôt pourquoi cela doit se produire. Notre motivation est notre carburant et réside en cette simple question : Pourquoi ?

Notre passé a tendance a impacter notre présent et notre présent le futur mais le moment le plus précieux reste le présent et c'est pour cela qu'on l'appelle ainsi.

Nous ne souffrons jamais d'une situation mais de l'interprétation que nous nous faisons de la situation en elle-même. Hors ces mêmes interprétations peuvent être changés à chaque instant.

Le temps est notre ressource la plus précieuse car contrairement aux autres ressources dites universelles, une fois perdu, celui-ci ne peut être récupéré.

Ce qui est impressionnant ce n'est pas quelqu'un de parfait mais quelqu'un qui s'estime faible et qui fait tout ce qui est en son pouvoir pour devenir meilleur et peu importe ce que cela lui coûtera en terme de temps, énergie, argent et pensées.

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Celui qui manque de quelque chose dans le passé en aura manqué toute sa vie.

Le cerveau constitue le principal d'un bon roi, quant à l'oreille son accessoire nécessaire.

Le chemin qui mène à la paix, à la joie et à la tranquillité, passe par l'amour.

À trop se charger d'amour-propre, on risque de se remplir de mensonges.

Un être qui s'est libéré de l'emprise de l'argent a déjà fait un grand pas vers la lumière.

Il vaut mieux être pauvre et amoureux de la vie que riche et son ennemi.

Ne pas avoir à rendre des comptes pour son fait n'a jamais mis personne à l'abri de la conscience.

Si l'amertume et l'envie ne dirigeaient pas souvent l'homme, moins nombreux seraient ceux s'adonnant à la critique.

Le chenoui est une preuve de la résistance et de la révolte par le dialecte. Par la langue, les hommes continuent à exister.

C'est nulle part ailleurs que dans le cœur de l'homme que se trouve l'arme la plus efficace contre le racisme.

Peut-être le monde ne connaîtrait-il pas le racisme si chacun se souciait plus de la couleur de son âme que de celle de sa chair.

Parmi ces divers bruits du monde, comment ne pas sursauter allègrement à l'annonce de l'abolition de la peine de mort en France ? Comment résister à l'envie d'applaudir une telle loi, quand bien même elle arrive tardivement ? L'Humanité respire beaucoup mieux. Et la justice peut enfin s'exprimer pleinement.

Un idiot qui a trouvé un sens à la vie dans la lumière de l'ignorance est plus heureux qu'un savant qui le cherche encore dans l'obscurité de la connaissance.

Cette lumière aura été mon fort durant les années de tourmente. Sans elle, j'aurais fini par sombrer, autrefois. Aujourd'hui, hélas, elle révèle crûment un réel odieux et insoutenable. Je suis condamné à rester calfeutré dans l'ombre, à y demeurer. Et je me sens comme Caligula.

S'il est un mal dont on accuse toujours l'autre, jamais soi-même, c'est le racisme.

L'ignorant est celui qui l'est sans le savoir, non pas celui qui pense l'être.

Si l'inconscient ne pouvait pas influencer la pensée, chacun serait souvent maître de soi.

Malheureusement, dans le présent, je suis condamné à demeurer dans l'ombre. À marcher seul dans les pays de l'ombre, vêtu de l'anonymat dont la douleur ralentit mes pas. Je suis semblable à un condamné à mort qui sait que sa sentence est sur le point d'être exécutée et à qui l'on a omis de demander s'il a une dernière volonté.

Si il m'était accordé le pouvoir de larguer le temps. Larguer le temps face aux vents tourbillonnants de l'existence. Gonfler les voiles de l'inachevé. Libérer le gouvernail. Et m'évader jusqu'à arriver à bon port, au creux des bras de Maria.

Le doute, qui est à même d'affaiblir l'esprit, peut pourtant conduire à l'épanouissement de l'intelligence.

Si aimer était une chose aisée pour l'homme, la vie serait moins dure à chacun.

Quiconque pense que toute occasion est bonne pour se jouer de son prochain se moque de la conscience.

Un esprit qui jamais n'a su ce que c'est que le remords est privé d'un mal nécessaire.

Pour aimer la jungle qu'est la vie, il faut s'accommoder du singe, du lion, du chien ainsi que du reste des bêtes.

Quiconque fait de la richesse la raison de toute sa motivation se prive de joie pendant une bonne partie de sa vie.

Un jardin secret n'est lumineux que lorsque ses fruits sont agréables à l'esprit.

Être prompt à pardonner est la vertu des âmes qui n'aiment pas le voisinage de la souffrance.

Une vie que dirige la réflexion conjuguée à la recherche de la paix est toujours lumineuse.

Le monde est ce qu'il est parce que le lion y est le roi, le singe y est l'idiot et la fourmi y est écrasée par tous.

Lorsque l'on veut alourdir sa vie, on l'encombre de noirceur nuits et jours.

Un juste ne se sépare jamais de son cœur, qu'il a dans ses mains, quitte à perdre la raison.

Le vécu est une des sources intarissables de l'inspiration.

Se pencher un peu trop sur un problème peut entraîner un déséquilibre.