Les citations proposées par les internautes - page 242
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L'essence de ta vie est dans l'énergie de ton âme
Syh -
Quand vous aimez quelqu'un, vous voulez son bonheur. Si cette personne n'est pas heureuse, vous ne pouvez pas être heureux. Le bonheur n'est pas une affaire individuelle. L'amour véritable implique une compréhension profonde. En fait, l'amour est l'autre nom de la compréhension. Si vous ne comprenez pas, vous ne pouvez pas aimer. Sans compréhension votre amour ne pourra que faire souffrir celui ou celle que vous aimez.
Thich Nhat Hanh- 1
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Le seul problème du Monde d’aujourd’hui, c’est l’incertitude du Monde de demain.
Taha-Hassine FERHAT -
Brader sa dignité, c’est ne plus en avoir !
Taha-Hassine FERHAT -
Qui ne mâche pas ses mots avoue ses maux.
Taha-Hassine FERHAT -
Pour se rendre à l’évidence, il faut s’échapper du doute.
Taha-Hassine FERHAT -
Le talent ne s’improvise pas , il s’invite dans l’esprit et le coeur.
Claudio Pasanisi -
L’amitié par correspondance se tisse sur des doutes en abondance.
Taha-Hassine FERHAT -
La photographie est mon langage universel. Je n'ai pas besoin de parler.
Thierry KAMINSKE -
C’est sur le passé que reposent le présent et le futur.
Taha-Hassine FERHAT -
L'homme ne regardant qu'au bout de son nez, ne peut pas admirer la complexité de sa personnalité.
Thomas Jules -
Il n’est pas donné à tout le monde de briller.
Taha-Hassine FERHAT -
Le danger aime tout ce qui bouge.
Taha-Hassine FERHAT -
Vouloir comprendre son enfance, le rôle de sa mère, le poids des préjugés, est une recherche à haut risque qui me fait penser à la descente dans une grotte dont on ne sait si on pourra remonter.
Laure Adler -
Les différentes métamorphoses des femmes amoureuses représentées par des femmes et des hommes qui, tous, renvoient à l'opacité du secret le mieux gardé du monde : comment emprisonner à jamais, pour soi, ce vertige que provoque l'Amour ?
Laure Adler -
Effectivement, messieurs les connaisseurs des mouvements intérieurs de l'âme et de la psyché, lire donne aux femmes des idées ! Sacrilège. Comment obturer le flux de jouissance que procure alors, chez les femmes, la lecture ?
Laure Adler -
C'étaient des cheveux blonds, d'un blond cendré, d'un blond de poudre, et il y en avait, et ils étaient fin, un brouillard d'or autour de la tête.
Alphonse Daudet -
Je ne sais rien faire de mes bras... je ne paie pas ma place au soleil de la vie.
Alphonse Daudet -
Avec son air bourru, c'était le meilleur homme du monde.
Alphonse Daudet -
Il restait là, taciturne et triste comme sont les grands comiques, l'oreille fermée à toutes les trivialités qui bourdonnait à ses côtés.
Alphonse Daudet -
Et pourtant c'eût été si bon, au milieu de tant de deuils et de tristesse, d'avoir un peu d'amour pour se chauffer le coeur!
Alphonse Daudet -
Quand on est bien lesté, on se lève, on siffle les chiens, on arme les fusils, et on se met en chasse.
Alphonse Daudet -
Le tourment et le sommeil ne sont pas camarades de lit.
Alphonse Daudet -
Un de ces êtres minutieux qui installent dans toute leur vie l'exactitude de l'heure du bureau et l'ordre des cartons étiquetés.
Alphonse Daudet -
Oh! les pleins midis tombant d'aplomb sur la rivière, il me semble qu'ils me brûlent encore.
Alphonse Daudet -
Et la légende court, se répand, s'enjolive.
Alphonse Daudet -
On cause du passé, couleur de deuil, de l'avenir, couleur de rose.
Alphonse Daudet -
Ces visages détendus, abandonnés dans le sommeil.
Alphonse Daudet -
La vie l'épouvantait à présent; il se sentait faible et désarmé devant elle, et il pleurait, pleurait.
Alphonse Daudet -
J'essayai de dégager ma main de celle de mon père; lui croyant que j'avais glissé, me serra plus fort.
Alphonse Daudet -
Enfants d'un jour, ô nouveau-nés, Au paradis, d'où vous venez, Un léger fil d'or vous rattache.
Alphonse Daudet -
Les crânes bouillaient sous le soleil à faire sauter tous leurs couvercles.
Alphonse Daudet -
Avec cette rage d'aventures, ce besoin d'émotions fortes, cette folie de voyages, de courses, de diables au vert, comment diantre se trouvait-il que Tartarin de Tarascon n'eût jamais quitté Tarascon?
Alphonse Daudet -
A ce grand savant, à ce diagnostiqueur infaillible parlant de sa mort avec cette assurance tranquille, il n'y avait rien à répondre que d'inutiles banalités.
Alphonse Daudet -
Il était si bien dans le dorlotement de cette chambre voluptueuse, si délicieusement étourdi.
Alphonse Daudet -
Peu à peu, cependant, la rosée froide se dissipe, la brume s'évapore au soleil.
Alphonse Daudet -
Il faut vous dire qu'en Provence, c'est l'usage, quand viennent les chaleurs, d'envoyer le bétail dans les Alpes.
Alphonse Daudet -
Un regard froid, sans expression, plus redoutable que les plus violentes engueulades de bateau-lavoir.
Alphonse Daudet -
Après quoi, je descendis lentement, regardant attentif autour de moi, comme pour emporter dans mes yeux l'image, toute l'image, de ces lieux que je ne devais plus jamais revoir.
Alphonse Daudet -
Si le tourment empêche le sommeil les larmes sont un narcotique.
Alphonse Daudet