Les citations proposées par les internautes - page 198
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Il vaut mieux tranquilliser son âme que de céder au chantage de son cœur.
MEZHERI MOSTAPHA -
La Sagesse est la compréhension des choses célestes auxquelles l'Esprit arrive par l'Amour.
Honoré de Balzac -
Il ne se rencontre pas plus dans la vie de l'homme deux moments de plaisirs semblables, qu'il n'y a deux feuilles exactement pareilles sur un même arbre.
Honoré de Balzac -
Choisir ! c'est l'éclair de l'intelligence. Hésitez-vous ? tout est dit, vous vous trompez.
Honore de Balzac -
La deuxième partie de mon aventure ne me ressemble pas
Emission de TV : Koh Lanta -
Ah, c’est pas gagné encore
Emission de TV : Koh Lanta -
Je n'étais pas complètement à côté de l'alliance mais j'ai été suiveur à plusieurs reprises.
Emission de TV : Koh Lanta -
J’ai une sœur qui disait méfie-toi des femmes, elles sont très stratèges dans le jeu et là, je pense que je vais me prendre une grande claque par elle. Elles n’étaient pas majoritaires et elles ont bien réussi à renverser le jeu.
Emission de TV : Koh Lanta -
C'est souffrir qu'aimer et désirer sans remède.
Colette -
Je ne suis que cerveau, je ne mange pas, je pense !
Colette -
Le plaisir est joyeux, clément et facile.
Colette -
C'est si rare, une âme assez fermée pour garder contre tout son secret !
Colette -
Il est curieux de constater combien le fantastique peut exalter l'esprit d'un adolescent.
Colette -
La seule caresse que je n'aie jamais su accorder à mon mari, c'est le tutoiement.
Colette -
Aimer c'est prendre soin de la solitude de l'autre sans jamais la combler ni même la connaitre
Christian Bobin -
Je ne suis pas une grande dame de la chanson, je ne suis pas une tulipe noire, je ne suis pas poète, je ne suis pas un oiseau de proie, je ne suis pas désespérée du matin au soir, je ne suis pas une mante religieuse, je ne suis pas dans les tentures noires, je ne suis pas une intellectuelle, je ne suis pas une héroïne, je suis une femme qui chante.
Barbara -
Les mots doux ne font pas de bruit, mais font surtout du bien...
Radmou -
Quand un être aimé disparaît, cela ne signifie pas qu’il nous a quittés parce qu’il reste à jamais présent dans nos cœurs et nos mémoires. L’oubli est jeté aux oubliettes et la flamme reste allumée pour toujours.
KHALED Lemnouer -
La bêtise humaine ne connaît que le dilemme : Ami ou ennemi, blanc ou noir, tout ou rien ; tandis que la justice, et la vérité, n'ont rien à faire avec cet esprit de parti. J'ai en aversion cette stupidité épaisse de l'esprit de parti, mais un mouvement populaire n'est jamais au point de vue critique ; il adopte ou repousse un homme en bloc et ne pratique pas le distinguo.
Henri-Frédéric Amiel -
C'est fou ce qu'on peut dire comme bêtises pour retenir les gens, et c'est fou comme les gens croient aux bêtises qu'on leur dit.
Christian Bobin -
Décrire l'ennui ou la bêtise, ne fût-ce qu'en dix lignes, suffit à vous révolutionner l'esprit ; c'est comme si on avalait une tasse de café ; on ne ferme pas l'œil avant deux heures du matin.
Jean Dutourd -
Dans un moment tragique et dans une situation difficile on dit des bêtises : Le chien aboie quand il a peur.
Élisabeth de Wied -
Quand on ne peut discerner le vrai et le bon, on peut encore en nourrir l'amour dans son cœur et le répandre autour de soi. Je crois d'ailleurs que la bêtise tient encore plus à un défaut du caractère qu'à un défaut de l'esprit. Si l'on ne peut acquérir de grandes facultés comme on acquiert une vertu, on peut toujours se corriger d'un certain degré de bêtise comme d'un vice. L'homme de bien a quelquefois l'esprit faible, mais il n'est jamais absolument sot !
Mary Alsop King Waddington -
La philosophie, c'est la complète liberté de l'esprit, par conséquent l'indépendance de tout préjugé religieux, politique ou social. Elle n'est, au point de départ, ni chrétienne ni païenne, ni monarchique ni démocratique, ni socialiste ni individualiste, elle est critique et impartiale ; elle n'aime qu'une chose : la vérité.
Henri-Frédéric Amiel/ -
Si l'opinion est la reine du monde, le préjugé en est le tyran, car le préjugé est l'opinion érigée en raison.
Abbé Roubaud -
Le présent est la semence de l'avenir. Mais pour que ce germe se développe, il doit chercher dans le passé ses conditions d'existence.
Fernand Durand-Désormeaux -
La gloire n'est qu'une forme de l'amour. Dans l'amour, on éprouve le besoin de posséder un être unique ; dans la gloire, on éprouve le besoin de posséder tous les hommes.
Fernand Durand-Désormeaux -
Toute beauté a toujours une face mystérieuse par laquelle elle fait naître en nous l'admiration passionnée.
Fernand Durand-Désormeaux -
Il y a des hommes qui ne s'inquiètent pas des souffrances étalées dans leur famille et autour d'eux. Pour qu'un malheur les touche, il faut qu'il se produise à cinq cents lieues de l'endroit qu'ils habitent. Ces hommes sont les presbytes du sentiment. Ils ne voient pas les objets qui les touchent et ne peuvent découvrir que ceux qui sont éloignés.
Fernand Durand-Désormeaux -
Analyser ses sentiments, ses idées, c'est chercher un soulagement. Nous nous croyons délivrés d'un tourment, nous n'avons fait que nous élever à un tourment supérieur. L'activité intellectuelle de nos jours n'est que la forme d'une souffrance qui ne cesse guère.
Fernand Durand-Désormeaux -
Mon cœur, plein de passions, aspire à des sentiments qui ne finissent pas ; mon intelligence, froide et calme, ne me montre que des êtres incapables de sentiments durables.
Fernand Durand-Désormeaux -
L'automne est souvent la saison où les sentiments intérieurs de l'homme se développent avec le plus d'activité. Il éprouve le besoin de réagir contre les scènes de destruction dont il est entouré ; il est plus lui-même qu'à aucune autre époque de l'année.
Fernand Durand-Désormeaux- 1
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Le paysage est un instrument dont nous nous servons pour exprimer, pour manifester nos sensations. Nous effleurons du regard la profondeur des bois, les ondulations des collines, la couleur changeante des nuages ; nous aspirons la fraîcheur des vallées, et toutes ces choses, touchées ensemble ou successivement par chacun de nos sens ou par tous à la fois, rendent sous cet attouchement des accords ravissants, comme le son d'une lyre, sous la main de l'artiste.
Fernand Durand-Désormeaux -
On voudrait pouvoir retenir, par leur manteau de feuillage, les journées d'automne ; mais elles s'enfuient, ne nous laissant que des lambeaux de leur parure.
Fernand Durand-Désormeaux -
Effleurant déjà le sol des collines et couvert d'une pourpre sombre, le soleil, à travers les chênes, ressemblait à l'un de ces promeneurs mystérieux qui mènent leurs pensées à travers le double silence du soir et des bois.
Fernand Durand-Désormeaux -
C'est l'automne ! Nos collines sont vêtues de tièdes couleurs, et il n'y a plus dans l'atmosphère qu'une chaleur effacée. Il ne nous reste plus de réalité que ce qui est nécessaire pour évoquer des souvenirs et des espérances. C'est le mois où l'on vit par l'imagination.
Fernand Durand-Désormeaux -
Les heures de la nuit sont les plus salutaires de toutes soit qu'elle nous offre le sommeil, soit qu'elle nous le refuse, l'ombre fait germer le rêve.
Fernand Durand-Désormeaux -
Les grands spectacles, comme celui de la mer, nous plaisent par leur charme propre, parce qu'ils sont le signe de l'immensité, et presque de l'éternité. Les flots évoquent les terres qu'ils ont baignées, les hommes qu'ils ont transportés, les événements auxquels ils ont touché. L'attrait des contrées d'où l'on aperçoit la mer vient de ce que celle-ci est à la fois un signe et un spectacle.
Fernand Durand-Désormeaux -
L'accomplissement du devoir, dans le sens le plus élevé du mot, c'est la liaison établie entre nos idées de bien les plus hautes et tous les actes de notre existence. Les actes d'un peuple se jugent à la même lumière, la plus haute de toutes. L'idéal, c'est l'accomplissement du devoir, c'est la conformité de nos actes avec les révélations de la conscience appliquée au bien.
Fernand Durand-Désormeaux- 1
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Tout est nécessaire et ordonné dès l'origine par des lois qui ne peuvent fléchir. Mais les lois, pour accomplir leur action dans le monde, pour réaliser le monde, ont attaché un plaisir ou une douleur à chacun de nos actes. Ces sentiments nous indiquent la voie. Dans l'ordre moral et intellectuel, nous sommes poussés à chercher les actes auxquels est attachée la plus haute somme de satisfaction. Nous sacrifions un plaisir inférieur à un plaisir élevé.
Fernand Durand-Désormeaux