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Ni un livre ni un film ne peut transformer la société. Il suffit d'ouvrir les yeux.

Dieu, pourquoi n'as-tu pas fait en premier la femme? Quand tu étais frais?

Il y a tant de choses à voir.

J'aurais rêvé d'être scientifique.

Aujourd'hui, je regrette ­davantage de ne pas avoir fait d'études.

Je n'ai pas subi les effets des sixties car on faisait des opérettes avec Luis Mariano et des tours de chants avec autant de monde que Johnny.

Je comprends que ceux qui ont eu une vie de dur labeur ou ont exercé un métier qu'ils n'ont pas choisi aspirent à leur deuxième vie, mais moi, j'ai tant aimé mon métier...

Un rock cela ne me gène pas, la techno non plus... J'aime l'opéra aussi.

Après ma mort, je reviendrai et je serai la plus grande pianiste du monde.

Le Lido a été pour moi une chose merveilleuse. On m'a mis des plumes, il fallait que je descende très doucement l'escalier et ça m'a donné une autre discipline de moi-même.

Moi je me suis toujours dit : ni wallonne, ni flamande, je suis belge.

À 9 ans, dès qu'on me mettait sur une table, je chantais. A 14 ans, je faisais des radio-crochets. Je suis née pour ce métier, mais ça ne m'a jamais intéressée de devenir "quelqu'un".

Je suis fidèle en amour comme en amitié. Je n'ai jamais été une femme à hommes. Le travail est toujours passé avant tout.

Nini la chance, on m'a toujours appelée comme ça. Ma veine à moi, c'est de prendre la vie comme elle va... La vie est belle quand on y croit comme moi.

Je suis belge et je reconnais que l'on a beaucoup de talent et un humour aussi qui nous est personnel. La bonne humeur et la zwanze

Je n'ai vraiment aucun regrets car je me suis donnée à fond.

J'ai toujours beaucoup travaillé et puis j'ai une base de danseuse. (...) Quand je dois danser, je danse. Je ne suis pas paralytique, je marche.

Si j'étais dans la vie comme à la scène, je serais imbuvable !

Je suis dans la vie comme je suis sur scène et sur scène comme je suis dans la vie, les gens le sentent.

Je suis une positive, d'ailleurs j'ai horreur des gens négatifs.

Je suis une enfant de la guerre, pour moi retraite rime avec défaite...

Les gens vous cataloguent. Ce n'est pas parce qu'on fait rire qu'on ne peut pas pleurer.

On a besoin de quelqu'un qui n'est pas du métier et qui a une vision normale des choses.

Intermittente du spectacle, je ne sais pas ce que c'est.

- Garde tes salades. Et puis, lâche ton oseille. - Vous parlez comme un jardinier.

- Je te le jure sur la tête de mon père. - Oh, qu'est-ce que tu risques, il a été guillotiné !

T'as tort de penser à des trucs. T'as pas l'habitude. C'est ça qui te fait mal à la tête.

T'es pas une femme, t'es un régime !

- Garde tes salades. Et puis, lâche ton oseille. - Vous parlez comme un jardinier.

Je pense que si vous pensez que je pense à ce que vous pensez, nous ne sommes pas très loin de nous comprendre.

La photographie, c'est un art charmant et abominable.

J'aime ce que je n'ai pas.

Oublié dans son pays, inconnu ailleurs, tel est le destin du voyageur.

Je peins malgré moi les choses derrière les choses... Un nageur pour moi, c'est déjà un noyé.

- Ce serait la première fois que vous embrasseriez quelqu'un ? - Non, j'avais un chien. - Un chien ? - Il m'embrassait lui !

- Du temps du muet... il y avait de la musique... - Maintenant aussi... mais on ne l'entend pas... les gens causent tout le temps !

Sans mes amis je ne serais rien, c'est eux qui m'ont inventé.

Je suis très fier d'avoir sauvé Jean Carmet de l'homosexualité

Je comprends que cette cour peut vous paraître petite, mais elle est en réalité agrandie par un règlement adroit.

Et vous pourriez réfléchir avant de parler. Vous eussiez ainsi évité un zéro. Qui porte à votre moyenne un coup sensible.