Les pensées sont exemptes d'impôt....

Citations similaires à "Les pensées sont exemptes d'impôt...." :

2. Lire aussi : Le 1 avril : connaissez-vous l'origine du jour des farces ?

3. L'impôt sur le revenu agit comme le mors ; l'impôt sur le capital agit comme l'éperon.

   • 5

4. Mais cela va de soi ! C'est la loi de l'impôt ! L'impôt ressemble fort au chiendent ! Dans un pot, en plein champ, au soleil, au froid, à la rafale, il prospère partout, grandit partout, s'étale En toute climature !...

   • 4

5. La parole est la pensée extérieure, et la pensée est la parole intérieure.

   • 62

6. Le jour est proche où nous n'aurons plus que "l'impôt" sur les os.

   • 41

7. La forme est la chair même de la pensée, comme la pensée est l'âme de la vie.

   • 7

9. La fraude est à l'impôt ce que l'ombre est à l'homme.

   • 6

10. Echapper à l'impôt sur la fortune, c'est la revanche de la cigale sur la fourmi.

    • 5

11. Ah! si l'on demandait plus à l'impôt et moins au contribuable..

    • 4

12. L'impôt est un vol, purement et simplement, même si ce vol est commis à un niveau colossal, auquel les criminels ordinaires n'oseraient prétendre.

    • 1

13. Il faut demander plus à l'impôt, et moins aux contribuables.

    • 5

14. L'impôt est infailliblement nuisible. Ainsi, le peuple n’est pas misérable seulement parce qu’il paie au-delà de ses moyens, mais il est misérable encore par l’usage que l’on fait de ce qu’il paie.

    • 2

15. Il ne fait pas doute qu'un impôt exorbitant, équivalant par exemple, en temps de paix comme en temps de guerre, à la moitié ou même au cinquième de la richesse de la nation, justifierait, comme tout abus caractérisé de pouvoir, la résistance du peuple.

    • 2

16. La décence ressemble aux barrières ; en payant l'impôt on les franchit.

    • 1

17. Un impôt qui doit rentrer facilement, c'est celui sur les portes et fenêtres.

    • 0

18. Le changement de modes est l'impôt que l'industrie du pauvre met sur la vanité du riche.

    • 0

19. Je le considère comme un impôt sur la connerie.

    • 11

20. Un impôt inconsidérablement établi offre beaucoup d'appât à la fraude.

    • 9

21. Puisque l'impôt a une assiette, pourquoi mange-t-il toujours dans la nôtre ?

    • 9

22. Si l'impôt, payé sous la contrainte, est impossible à distinguer du vol, il s'ensuit que l'État, qui subsiste par l'impôt, est une vaste organisation criminelle, bien plus considérable et efficace que n'importe quelle mafia privée ne le fut jamais.

    • 3

23. Tout impôt, de quelque nature qu'il soit, a toujours une influence plus ou moins fâcheuse. Si l'impôt produit quelque fois un bien par son emploi, il produit toujours un mal par sa levée. Il peut être un mal nécessaire, mais comme tous les maux nécessaires, il faut le rendre le moins grand possible: plus on laisse de moyens à la disposition de l'industrie des particuliers, plus un État prospère.

    • 2

24. Tout impôt inutile est une atteinte contre la propriété, d'autant plus odieuse qu'elle s'exécute avec toute la solennité de la loi, d'autant plus révoltante que c'est le riche qui l'exerce contre le pauvre, l'autorité en armes contre l'individu désarmé.

    • 1

26. L'impôt peut entraver l'industrie du peuple et le détourner de s'adonner à certaines branches de commerce ou de travail

    • 1

27. Chaque fois que mon percepteur revenait, je payais un impôt sur le revenu.

    • 1

28. Richesse. Notion relative. Depuis l'instauration de l'impôt sur les grandes fortunes, on sait toutefois que l'on est considéré comme riche à partir de 3.500.000,00 francs et pauvre jusqu'à 3.499.999,00 francs.

    • 0

29. Réduction d'impôt. Signe avant-coureur qui ne trompe pas et qui vous indique que vous allez traverser une zone électorale.

    • 0

30. Si l'action ne soutient pas la pensée, la pensée perd son nerf et sa force s'effrite.

    • 6

31. Une pensée qui s’est fait entendre est une pensée dont on reparle longtemps après qu'elle s'est révélée.

    • 4

32. La crainte, c'est l'impôt payé par la conscience à la culpabilité.

    • 4

33. Si en France on établit l'impôt sur le revenu, on commencera avec un taux progressif fort supportable, et puis, chaque année, à l'occasion du budget, on l'augmentera.

    • 2

34. S'il y avait un impôt sur la connerie, l'état s'autofinancerait.

    • 2