L'être qui reste perpétuellement assis,...

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   Voici les quelques poèmes qui nous semblent être souvent reconnus comme étant les meilleurs, les plus beaux poèmes français.

3. Le temps passe. Et chaque fois qu'il y a du temps qui passe, il y a quelque chose qui s'efface.

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4. En peu de temps parfois on fait bien du chemin.

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5. Le maître doit faire honneur à sa maison, et non la maison au maître.

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6. L'amour que je vous porte est un chemin d'évasion du Temps, avec une majuscule. De quel temps, je l'ignore : le mien ou le vôtre, qui, pour l'heure, sont inexplicablement confondus.

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7. - Suivons le chemin ! - Quel chemin ? - Le chemin que nous traçons !

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9. L'architecture actuelle s'occupe de la maison, de la maison ordinaire et courante pour hommes normaux et courants. Elle laisse tomber les palais. Voilà un signe des temps.

   • 1

10. Je t'aime dans le temps. Je t'aimerai jusqu'au bout du temps. Et quand le temps sera écoulé, alors, je t'aurai aimée. Et rien de cet amour, comme rien de ce qui a été, ne pourra jamais être effacé.

    • 929

11. Ma maison est sur les eaux, mon bateau est ma maison. Qu'il pleuve, qu'il vente ou qu'il fasse beau, je suis un marin qui brave les eaux et la mer en sera mon tombeau...

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12. Quand j'étais petit à la maison, le plus dur c'était la fin du mois... Surtout les trente derniers jours !

    • 442

13. Dès que tu avances sur le chemin, le chemin apparaît.

    • 138

14. Le chemin du paradoxe est le chemin du vrai. Pour éprouver la Réalité, il faut la voir sur la corde raide. On ne juge bien des Vérités que lorsqu'elles se font acrobates.

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15. Un chemin qui descend est un chemin qui monte en sens inverse et réciproquement.

    • 24

16. Le chemin des paradoxes est le chemin du vrai. Pour éprouver la réalité, il faut la voir sur la corde raide.

    • 19

17. L'espoir est semblable à un chemin de campagne ; le chemin n'a jamais vraiment existé, mais si beaucoup l'empruntent, il finit par apparaître.

    • 17

18. Quand on ne sait pas quel est le vrai chemin, le bon chemin est forcément le vrai.

    • 10

19. On dit se frayer un chemin, mais s'effrayer un chemin serait encore plus juste. Il n'y a de naturel dans le geste de partir que la terreur. Le reste, ce ne sont que des excuses. Voyager se résume à trouver des raisons pour expliquer son absence.

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20. Le chemin qui descend est un chemin qui va monter lorsqu'il faudra rentrer à la maison

    • 10

21. Le chemin de la sagesse ou de la liberté est un chemin qui mène au centre de son propre être.

    • 6

22. Le pardon n'est pas au bout du chemin ; il est le chemin.

    • 6

23. 'Le but du chemin est le chemin lui-même, un déplacement sans fin qui devrait nous conduire non quelque part mais ailleurs. Vers soi-même ? Je n'en sais rien. S'il n'y a pas de but, il n'y a pas non plus le souci d'accomplir. C'est dans ce nulle part que se trouve la libération, c'est à dire que l'on découvre que l'on est libre.'

    • 13

24. Le temps file, le temps n'attend personne. Le temps guérit toutes les blessures. Tous autant que nous sommes nous voulons plus de temps. Du temps pour se relever, du temps pour grandir, du temps pour lâcher prise. Du temps.

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26. Il y a un temps pour tout, un temps de pleurer, un temps de rire, un temps à se lamenter et un temps de danser.

    • 137

27. L'argent peut acheter une maison, mais pas un foyer. Il peut acheter le lit, mais pas le sommeil. Il peut acheter une horloge, mais pas le temps. Il peut acheter un livre, mais pas la connaissance. Il peut acheter une position, mais pas le respect. Il peut acheter du sexe, mais pas l'amour !

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28. Une maison sans livres est une maison sans âme.

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29. Le temps de lire, comme le temps d'aimer, dilate le temps de vivre.

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30. Là où il y a une volonté, il y a un chemin.

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31. Ne suis pas le chemin de tes aînés, suis ton propre chemin, ton aventure, ta vie.

    • 11

32. C'est étrange, une maison de famille ! Un lieu rassurant, avec les odeurs et les bruits de notre enfance et, en même temps, l'endroit qui nous impose le passé et nous empêche d'être nous-même.

    • 87

33. Notre maison brûle et nous regardons ailleurs.

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34. Qu'est-ce qu'une maison où l'on ne rit pas, me dis-je, une maison où l'on ne chante pas, où l'on ne s'embrasse pas, ou alors si distraitement, à de si rares occasions que ça compte pour du beurre ? Qu'est qu'une maison où l'on ne dit jamais mon enfant, nom soleil, mon petit coeur, je t'aime ; qu'est-ce qu'une maison où on ne lit pas, à l'exception du journal et du papier peint, jamais un vrai livre ? Qu'est-ce ? Un écrin vide... un lieu clos où les murs sont seulement des murs auxquels on ne peut que se cogner ?

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