La peine capitale n'a jamais...

Citations similaires à "La peine capitale n'a jamais..." :

2. Lire aussi : Les plus beaux poèmes de la langue française

   Voici les quelques poèmes qui nous semblent être souvent reconnus comme étant les meilleurs, les plus beaux poèmes français.

3. L'homme n'existe que par la société et la société ne le forme que pour elle.

   • 167

4. Une société parfaitement juste ferait le malheur des crétins. Une société injuste leur laisse au moins l'illusion qu'ils n'ont pas la place qu'ils méritent.

   • 4

5. Le temps passe. Et chaque fois qu'il y a du temps qui passe, il y a quelque chose qui s'efface.

   • 923

6. Le temps est un grand maître, le malheur, c'est qu'il tue ses élèves.

   • 37

7. Lorsque le malheur touche l'homme il est plein d'impatience ; et lorsque le bonheur l'atteint, il devient insolent.

   • 249

9. C'est un malheur du temps que les fous guident les aveugles.

   • 4

10. La nature a fait l'homme heureux et bon, mais la société le déprave et le rend misérable.

    • 173

11. Le grand malheur de notre temps est que justement la politique prétend nous munir, en même temps, d'un catéchisme, d'une philosophie complète et même quelquefois d'un art d'aimer. Or le rôle de la politique est de faire le ménage et non pas de régler nos problèmes intérieurs. J'ignore pour moi s'il existe un absolu. Mais je sais qu'il n'est pas de l'ordre politique. L'absolu n'est pas l'affaire de tous : il est l'affaire de chacun.

    • 5

12. L'ami aime en tout temps, et dans le malheur il se montre un frère.

    • 34

13. Gardez-vous de demander du temps ; le malheur n'en accorde jamais.

    • 1

14. 

    • 1189

15. Dans une société éprise de liberté, seul le temps juge et consacre les mœurs.

    • 0

16. Je t'aime dans le temps. Je t'aimerai jusqu'au bout du temps. Et quand le temps sera écoulé, alors, je t'aurai aimée. Et rien de cet amour, comme rien de ce qui a été, ne pourra jamais être effacé.

    • 929

17. Je rencontre de temps en temps un jeune homme chez lequel je ne voudrais rien changer. Mais j’éprouve un sentiment pénible en voyant tant de jeunes gens disposés à se laisser entraîner par le torrent du siècle, et je ne me lasserai pas de faire remarquer que des rames ont été mises entre les mains de l’homme, dans sa barque fragile, afin qu’il ne s’abandonne pas aux caprices des vagues, mais se laisse gouverner par sa raison.

    • 21

18. La peur est l'une des causes du malheur de l'homme.

    • 4

19. C'est la société d'autrui qui enseigne à l'homme ce qu'il sait.

    • 1

20. Malheur à l'homme seul ! Car, lorsqu'il sera tombé, il n'aura personne pour le relever.

    • 51

21. Dans une société il n'y a ni homme, ni femme ; il n'y a que des travailleurs.

    • 25

22. Vie en société. Finalement il n'y a que deux espèces d'hommes : ceux qui s'en veulent et ceux qui en veulent aux autres.

    • 9

23. Dans notre société de consommation et d'épargne, un homme qui a de l'argent est un homme considéré. Un homme qui n'en a pas est également un homme considéré, mais lui, comme un pauvre type.

    • 25

24. Le temps des amants est du temps perdu quand l'homme s'acharne sur le corps d'une femme qu'il a fini de découvrir.

    • 2

26. Qu'une société s'abîme au vent qui se déchaîne sur les hommes, cela s'est vu plus d'une fois ; l'histoire est pleine de naufrages de peuples et d'empires ; moeurs, lois, religions, un beau jour cet inconnu, l'ouragan, passe et emporte tout cela.

    • 5

27. Le bonheur naît du malheur, le malheur est caché au sein du bonheur.

    • 84

28. L'arbre, comme l'homme, s'affine en société.

    • 2

29. Ôtez l'homme de la société, vous l'isolez.

    • 2

30. Conviviale est la société où l'homme contrôle l'outil.

    • 0

31. L'homme et la société n'ont plus de liberté de choix, d'orientation ; le seul choix qui leur reste est de s'adapter ou de périr.

    • 10

32. L'homme n'est ni ange ni bête, et le malheur veut que qui veut faire l'ange fait la bête.

    • 15

33. Le malheur de l'homme est sa raison

    • 7

34. La décadence d'une société commence quand l'homme se demande : “Que va-t-il arriver ?” au lieu de se demander : “Que puis-je faire ?”.

    • 10