De plus, souvenez-vous : jamais,...

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   Voici les quelques poèmes qui nous semblent être souvent reconnus comme étant les meilleurs, les plus beaux poèmes français.

3. Le désespoir, c'est la conscience... du temps comme prison.

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4. Ne vient-il pas un temps dans la vie où le devoir est le plaisir plutôt que le plaisir un devoir...

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5. L'habitude du désespoir est pire que le désespoir lui-même.

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6. Le temps passe. Et chaque fois qu'il y a du temps qui passe, il y a quelque chose qui s'efface.

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7. Le temps est un grand maître, le malheur, c'est qu'il tue ses élèves.

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9. L'habitude du désespoir est plus terrible que le désespoir lui-même.

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10. C'est un malheur du temps que les fous guident les aveugles.

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11. Le grand malheur de notre temps est que justement la politique prétend nous munir, en même temps, d'un catéchisme, d'une philosophie complète et même quelquefois d'un art d'aimer. Or le rôle de la politique est de faire le ménage et non pas de régler nos problèmes intérieurs. J'ignore pour moi s'il existe un absolu. Mais je sais qu'il n'est pas de l'ordre politique. L'absolu n'est pas l'affaire de tous : il est l'affaire de chacun.

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12. L'ami aime en tout temps, et dans le malheur il se montre un frère.

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13. Gardez-vous de demander du temps ; le malheur n'en accorde jamais.

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14. L'amour d'une épouse ressemble au devoir. Le devoir à la contrainte. La contrainte tue le désir.

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15. Etre heureux, ce devrait être un devoir, en même temps qu'une vertu, une récompense. C'est plus difficile qu'on ne le croit.

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16. Je t'aime dans le temps. Je t'aimerai jusqu'au bout du temps. Et quand le temps sera écoulé, alors, je t'aurai aimée. Et rien de cet amour, comme rien de ce qui a été, ne pourra jamais être effacé.

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17. Le bonheur naît du malheur, le malheur est caché au sein du bonheur.

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18. Le bonheur repose sur le malheur, le malheur couve sous le bonheur. Qui connaît leur apogée respective ?

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19. Le malheur d'autrui nous console de notre propre malheur.

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20. Le malheur ne peut se consoler qu'avec le malheur des autres.

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21. Pour moi, c'est un malheur. Un malheur, tout le monde sait ce que c'est. Ça vous laisse sans défense. Eh bien ! Pour moi c'est un malheur.

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22. C'est un malheur de ne pouvoir supporter le malheur.

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23. Le temps file, le temps n'attend personne. Le temps guérit toutes les blessures. Tous autant que nous sommes nous voulons plus de temps. Du temps pour se relever, du temps pour grandir, du temps pour lâcher prise. Du temps.

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24. Il y a un temps pour tout, un temps de pleurer, un temps de rire, un temps à se lamenter et un temps de danser.

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26. S'il est vrai que l'humour est la politesse du désespoir, s'il est vrai que le rire, sacrilège blasphématoire que les bigots de toutes les chapelles taxent de vulgarité et de mauvais goût, s'il est vrai que ce rire-là peut parfois désacraliser la bêtise, exorciser les chagrins véritables et fustiger les angoisses mortelles, alors, oui, on peut rire de tout, on doit rire de tout. De la guerre, de la misère et de la mort.

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27. Je suis fatigué patron, fatigué de devoir courir les routes et d'être seul comme un moineau sous la pluie. Fatigué d'avoir jamais un ami pour parler, pour me dire où on va, d'où on vient et pourquoi. Mais surtout je suis fatigué de voir les hommes se battre les uns les autres, je suis fatigué de toute la peine et la souffrance que je sens dans le monde.

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28. Le désespoir tue.

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29. Je préfère le désespoir à l'incertitude.

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30. L'humour est la politesse du désespoir.

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31. C'est au malheur à juger du malheur.

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32. Le désenchantement est plus à craindre que le désespoir. Le désenchantement est un rétrécissement de l'esprit, une maladie des artères de l'intelligence qui peu à peu s'obstruent, ne laissent plus passer la lumière.

    

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33. La plus haute forme de courage, c'est le désespoir surmonté.

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34. Le désespoir est une défaite anticipée.

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