Redécouvrez toutes les phrases cultes des politiques lors des débats

Il faut être calme pour être président de la République

Tout le monde mange du couscous et des merguez dans ce pays, l’intégration est réussie !

De toute façon la France sera dirigée par une femme. Mme Merkel ou moi

Soyez gentil de me laisser parler et de cesser d’intervenir incessamment comme le roquet

Je sais que je tiendrai tête à Poutine et Trump. J’ai connu les ours, les loups et les cavernes

Ce que vous proposez, comme d'habitude, c'est de la poudre de perlimpinpin

Tout d’abord je trouve toujours choquant et blessant de s’arroger le monopole du cœur. Vous n’avez pas Monsieur Mitterrand, le monopole du cœur ! Vous ne l’avez pas J’ai un cœur comme le vôtre qui bat à sa cadence et qui est le mien. Vous n’avez pas le monopole du cœur.

Vous avez tendance à reprendre le refrain d'il y a sept ans, " l'homme du passé ". C'est quand même ennuyeux que dans l'intervalle, vous soyez devenu l'homme du passif.

On est beaucoup plus disciplinés qu'il y a cinq ans, Madame Le Pen

J'aime beaucoup les pommes. Je suis un mangeur de pommes

Je vois que vous essayez de jouer au professeur et à l'élève, ce n'est pas vraiment mon truc à moi

D’abord je n’aime pas beaucoup ces manières, je ne suis pas votre élève et vous n’êtes pas le président de la République ici, vous êtes simplement mon contradicteur

Le marché européen, finito.

Ne me donnez pas la leçon.

Le Général de Gaulle avait la radio de Londres, moi j’ai Facebook

Ce n’est pas parce que je n’ai pas de cravate qu’il faut me couper

Comme le disent les Chinois, qui n'est pas venu sur la Grande muraille n'est pas un brave. Qui va sur la Grande muraille conquiert la bravitude

Je suis la candidate du pouvoir d'achat, vous êtes le candidat du pouvoir d'acheter la France, du pouvoir de dépecer la France

Vous avez démontré que vous n'êtes en tout cas pas la candidate de l'esprit de finesse, de la volonté d'un débat démocratique, équilibré et ouvert

Moi président de la République, je ne serai pas le chef de la majorité, je ne recevrai par les parlementaires de la majorité à l’Elysée. Moi président de la République, je ne traiterai pas mon Premier ministre de collaborateur. Moi président de la République, je ne participerai pas à des collectes de fond pour mon propre parti dans un hôtel parisien, ect

Pas plus que je n’ai accepté dans le passé d’alliance avec le Front national, quel qu’en soit le prix politique, pas plus je n’accepterai demain de débattre avec son représentant

Il vaut mieux cinq ans avec Jospin que sept ans avec Jacques Chirac. Ce serait bien long

Ce soir, je ne suis pas le Premier ministre, et vous n’êtes pas le président de la République, nous sommes deux candidats à égalité, vous me permettrez donc de vous appeler monsieur Mitterrand.

C’est pas Gérard Majax ce soir, Madame Le Pen.

On peut décider de ripoliner tout seul la façade mais enfin c’est une copropriété. À un moment donné dans une copropriété vous ne pouvez pas dire du jour au lendemain, ça doit être comme j’ai décidé parce que je m’appelle madame Le Pen.

Vous ne parlez pas à d'autres dirigeants, vous parlez à votre banquier quand vous parlez de la Russie, c'est cela le problème, madame Le Pen.

C'est long à rembourser, nous remboursons tous les mois rubis sur l'ongle.

Nous sommes un parti pauvre, mais je n'ai jamais considéré que c'était déshonorant.

Je crois que c'est factuel. Je serai très respectueux à votre égard : vous ça ne se voit pas, moi j'ai peur que ça se voit davantage.

Votre stratégie est une stratégie du tout-nucléaire. Elle n’est pas possible. Je ne suis absolument pas climato-sceptique, mais vous êtes un peu climato-hypocrite.

Votre programme n'a ni queue ni tête. J'ai lu votre projet, très transparent : vous êtes climato-sceptique.

Je vous ai retrouvé un tweet que j'avais fait le 9 novembre 2014: je soutiens une Ukraine libre, qui ne soit soumise ni aux Etats-Unis, ni à l'UE, ni à la Russie.

Votre cheminement confond tous les problèmes et les alimente. Dans la cité, vous allez créer la guerre civile si vous faites ça.

Pendant votre quinquennat, vous aurez attendu les crises. Il n'y a que les crises qui arrivent à vous faire bouger.

Aïe, aïe, aïe, arrêtez de tout confondre, c'est pas possible.

Le Mozart de la finance, c'est comme cela que l'on vous avait présenté, a un bilan économique très mauvais.