Citations similaires :

  1. Vieillir n'est, au fond, pas autre chose que n'avoir plus peur de son passé. Stefan Zweig
    Stefan Zweig Vingt-quatre heures de la vie d'une femme, trad. Olivier Bournac et Alzir Hella, p.126
  2. Ceux qui tombent entraînent souvent dans leur chute ceux qui se portent à leur secours. Stefan Zweig
    Stefan Zweig Vingt-quatre heures de la vie d'une femme, trad. Olivier Bournac et Alzir Hella, p.62
  3. La reconnaissance, on la voit si rarement se manifester chez les gens! Stefan Zweig
    Stefan Zweig Vingt-quatre heures de la vie d'une femme, trad. Olivier Bournac et Alzir Hella, p.87
  4. Cet éternel besoin de fabriquer des héros. Stefan Zweig
    Stefan Zweig Amerigo, trad. Dominique Autrand, p.80
  5. Cet homme possédait le pouvoir magique d'exprimer ses sentiments par le mouvement et par le geste. Stefan Zweig
    Stefan Zweig Vingt-quatre heures de la vie d'une femme, trad. Olivier Bournac et Alzir Hella, p.64
  6. Mais n'est-ce pas déjà l'insulter injurieusement que d'appeler les échecs un jeu ? Stefan Zweig
    Stefan Zweig
  7. Tant qu'ils ne sont pas fin prêts, les despotes qui préparent la guerre n'ont que le mot de paix à la bouche. Stefan Zweig
    Stefan Zweig Les Très Riches Heures de l'humanité
  8. Je pense donc je suis... Je panse donc je saigne
    Stefan D
  9. L'art monotone de la pêche Stefan Zweig
    Stefan Zweig Vingt-quatre heures de la vie d'une femme, trad. Olivier Bournac et Alzir Hella, p.14
  10. La gratitude rend heureux parce qu'on en fait si rarement l'expérience tangible. Stefan Zweig
    Stefan Zweig Vingt-quatre heures de la vie d'une femme, trad. Olivier Bournac et Alzir Hella, p.94
  11. (Zweig parle ici du néant) aucune chose au monde n'oppresse davantage l'âme humaine. Stefan Zweig
    Stefan Zweig Le joueur d'échecs, p.51