Bienvenue à New York dans l'Upper...

Citations similaires :

2. Le monde est coupable de trahison et me condamne au silence d'être son complice.

   Sébastien Vanier
   • 63

3. La jalousie, est la prison la plus désespérée du monde. Parce que c'est une geôle dans laquelle le prisonnier s'enferme lui-même. Personne ne le force à y entrer. Il y pénètre de son plein gré, verrouille la porte de l'intérieur puis jette la clé de l'autre côté de la grille.

   Haruki Murakami L'Incolore Tsukuru Tazaki et ses années de pèlerinage
   • 12

4. Qui vit sans jalousie, en ce bas monde, est comme celui qui dort sans lampe ; il peut sentir le bras qui vient pour le frapper, mais il ne le voit pas.

   Alfred de Musset
   • 1

5. La jalousie gouverne le monde. Sans elle, il n'y aurait ni amour, ni argent, ni société. Personne ne lèverait le petit doigt. Les jaloux sont le sel de la terre.

   Frédéric Beigbeder
   • 1

6. Jalousie, oh jalousie... Tu tues l'amitié des êtres que l'on a aimé. Jalousie, oh jalousie... De t'en faire des ennemis jurés et combien la vie te haït...

   DESCREA
   • 33

8. 'Parler une langue c'est adopter un monde, une culture.'

   Frantz Fanon ''
   • 5

9. Le monde existe pour la langue et l'offrande.

   Albert Béguin
   • 1

10. Comme la Hongrie, le monde informatique a une langue qui lui est propre. Mais il y a une différence. Si vous restez assez longtemps avec des Hongrois, vous finirez bien par comprendre de quoi ils parlent.

    Dave Barry

11. L'amour est une langue universelle que tout le monde devrait savoir parler sans écorcher.

    Belkacem Macloux
    • 2

12. Chaque langue dit le monde à sa façon. Chacune édifie des mondes et des anti-mondes à sa manière. Le polyglotte est un homme plus libre.

    Rudolf Steiner

13. Chaque langue voit le monde d'une manière différente.

    Federico Fellini New York Times

14. Les idées font le tour du monde : elles roulent de langue en langue, de siècles en siècles, de vers en prose.

    Antoine de Rivarol

15. Tout le monde doit être bilingue dans une langue et en parler une autre.

    Valéry Giscard d'Estaing

16. L'amour fait naître la jalousie, mais la jalousie fait mourir l'amour.

    Christine de Suède
    • 40

17. Dieu est une langue vivante. La religion est une langue morte.

    Gilberto Araújo de Alcântara
    • 5

18. Une oeuvre de la langue traduite dans une autre langue : quelqu'un passe la frontière en y laissant sa peau, pour revêtir le costume local.

    Karl Kraus
    • 2

19. La langue française est langue d'Etat, la seule propre aux grandes affaires.

    Charles Quint
    • 2

20. La langue qui calomnie vaut la langue d'une vipère, son venin se répand vite et va jusqu'au loin.

    Thomas Gatabazi
    • 1

21. De la langue vient le bien et le mal. Quand une langue est bonne, il n'y a pas de meilleur ; quand elle est mauvaise, il n'y a pas de pire !

    Shimon Ben Gamliel
    • 6

22. La langue des signes est la langue la plus crue que je connaisse. Les sourds s'expriment de façon simple, directe et brutale.

    Véronique Poulain Les mots qu'on ne me dit pas
    • 3

23. La jalousie engendre le Mal... La jalousie, c'est le Mal !

    Agatha Christie
    • 21

25. La langue allemande n'est pas une langue, c'est un hache-paille.

    Edmond et Jules de Goncourt

26. C'est de la confiance que naît la trahison

    internaute
    • 46

27. L'avenir, c'est la trahison des promesses.

    Daniel Pennac
    • 42

28. La trahison est une question de dates.

    André Thérive
    • 19

29. La trahison est la seconde nature des femmes.

    Paul Léautaud
    • 90

30. la trahison et la non confiance de ton homme est la pire des souffrances.

    internaute
    • 60

31. La trahison se dissimule dans l'apparence.

    Mazouz Hacène
    • 38

32. Si la trahison n'a pas accru la simplicité, la confiance plus haute, l'étendue de l'amour, on vous aura trahi bien inutilement, et vous pourrez vous dire qu'il n'est rien arrivé.

    Maurice Maeterlinck
    • 14

33. Le dévouement politique est récompensé par la trahison ou par l'oubli.

    Honoré de Balzac Z. Marcas, le 25 juillet 1840.
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