- Si tu n'avais rien...
- Si tu n'avais rien à te reprocher tu virerais Chase ! - J'adore ses cheveux !
série Docteur House
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"- Si tu n'avais rien..." :
On se laisse reprocher ses défauts, on supporte les punitions, on souffre patiemment tous les désagréments qu’ils nous attirent ; mais nous ne pouvons nous décider à y renoncer.
Johann Wolfgang von GoetheQuand on n'a rien à se reprocher dans la journée, on ne craint pas que les fantômes viennent hurler à la porte au milieu de la nuit.
Proverbe chinoisToute notre critique, c'est de reprocher à autrui de n'avoir que les qualités que nous croyons avoir.
Jules RenardVous juger selon vos échecs serait reprocher aux saisons leur inconstance.
Khalil GibranLe Prophète (1923)Il est aussi vain de reprocher aux spécialistes de l'information leur démagogie, leur autocensure, leur veulerie, leur avilissement et leur insolente complaisance aux aboiements du maître, que de prêcher l'honnêteté à un homme d'affaires.
Raoul Vaneigem
Rien n'est sacré, tout peut se dire - 2003nUn homme laid ne doit pas reprocher au miroir d'être de travers.
Proverbe chinoisIl ne faut pas reprocher aux gens leur vieillesse, puisque tous nous désirons y parvenir.
Bion de Boristhène
Je croyais que j'avais peur de la mort alors que j'avais peur de la vie.
Frédéric BeigbederOn entend souvent dire : "Si j'avais ceci, si j'avais cela, je serai heureux", et l'on prend l'habitude de croire que le bonheur réside dans le futur et ne vit qu'en conditions exceptionnelles. Le bonheur habite le présent, et le plus quotidien des présents. Il faut dire : "J'ai ceci, j'ai cela, je suis heureux". Et même dire : "Malgré ceci et malgré cela, je suis heureux".
Jean GionoLa chasse au bonheurJ'avais tout bien préparé, j'avais fait mon CV, dans la case loisirs j'avais mis que j'aimais bien le kayak. J'avais jamais fait de kayak, mais j'aime bien les mots qui se lisent dans les deux sens.
série BrefKyan KhojandiJ'avais eu raison, j'avais encore raison, j'avais toujours raison.
Albert CamusL'Etranger (1942)C'est rien madame, j'avais une roue, j'avais un cric. Ce sera vite fait, vous allez voir. Bougez pas.
film Un Jour sans finIl faut cueillir les cerises avec la queue. J'avais déjà du mal avec la main !
ColucheLe BelgeJe n'ai pas d'éducation. J'ai l'inspiration ! Si j'avais fait des études, je serai un imbécile.
Bob MarleyJe me suis rendu compte que j'avais pris de l'âge le jour où j'ai constaté que je passais plus de temps à bavarder avec les pharmaciens qu'avec les patrons de bistrot.
Michel AudiardHier encore, j'avais vingt ans, je gaspillais le temps en croyant l'arrêter, et pour le retenir même le devancer, je n'ai fait que courir et me suis essoufflé.
Charles AznavourHier encore (1964)J'ai pleuré parce que je n'avais pas de souliers, jusqu'au jour où j'ai vu quelqu'un qui n'avait pas de pieds.
Helen KellerLorsque j'avais 17 ans, j'ai lu une citation qui ressemblait à ce qui suit : "Si vous vivez chaque jour comme si c'était le dernier, vous finirez par avoir raison un jour". Cela m'a impressionné et cela fait 33 ans ; depuis lors que je me regarde dans le miroir chaque matin en me demandant: "Si aujourd'hui était le dernier jour de ma vie, voudrais-je faire ce que je prévois de faire aujourd'hui ?" Si la réponse est "NON" pendant plusieurs jours de suite, je sais que je dois changer quelque chose.
Steve JobsSi j'avais eu la conscience suffisamment claire et les mots suffisamment nuancés pour l'exprimer, j'aurais aimé te dire que nous sommes là pour explorer, découvrir et partager ce qu'il y a de meilleur en nous. Chacun possède un trésor. Sois conscient et généreux de ton trésor et, en même temps, reste ouvert, attentif à recevoir le trésor des autres, disposé à apprendre et à te remettre en question. Cherche la beauté, la vérité, l'excellence en accueillant aussi ta fragilité, ta vulnérabilité et ton ombre, de sorte d'être à même d'accueillir celles des autres. Occupe joyeusement ta place: il y a de la place pour chacun, sinon ni toi ni moi ne serions là. Pense que ta place que tu n'occupes pas pour ne pas déranger reste vide à jamais et réjouis-toi que chacun occupe pleinement la sienne autour de toi.
Rabindranàth TagoreLe jardinier d'amourÀ 9 ans mon agent m'a dit que j'avais le nom d'un tortue ninja.
Leonardo DiCaprioQu'est-ce que je me serais ennuyé si je n'avais pas été là.
Jules RenardJ'ai consulté mon téléphone : je n'avais aucun message. C'est à cela que servent les téléphones portables, à se rendre compte que personne ne pense à vous. Avant, on pouvait toujours rêver que quelqu'un cherchait à vous joindre, à vous parler, à vous aimer. Nous vivons maintenant avec cet objet qui matérialise notre solitude.
David FoenkinosLa tête de l'emploiSi j'avais un fils à marier, je lui dirais : Méfie-toi de la jeune fille qui n'aime ni le vin, ni la truffe, ni le fromage, ni la musique.
ColetteSi je n'avais pas donné mon argent, j'en aurais eu plus que n'importe qui d'autre sur la planète.
Bill GatesJ'ai composé de la musique toute ma vie et si j'avais été assez intelligent à l'école, je serais allé au collège de musique.
Anthony HopkinsTu ne me lirais pas si tu ne m'avais déjà compris.
Paul ValéryVie je te veux. Je t'ai toujours voulue. J'avais pas le mode d'emploi. C'est pour ça que j'ai tant attendu. Pour te dire combien je t'aime. Comme si t'avais toujours eu ta place dans mon horizon. Mais comment faire pour t'aimer ? Vraiment t'aimer.
Richard BohringerC'est beau une ville la nuit (1988)Si j'avais à répondre à la question suivante, Qu'est-ce que l'esclavage ? Et que d'un seul mot je répondisse : c'est l'assassinat, ma pensée serait d'abord comprise. Je n'aurais pas besoin d'un long discours pour montrer que le pouvoir d'ôter à l'homme la pensée, la volonté, la personnalité, est un pouvoir de vie et de mort, et que faire un homme esclave, c'est l'assassiner.
Pierre-Joseph ProudhonSi j'avais ma vie à vivre encore, je la vivrais de la même manière. Peut-être que quelques changements ici ou là, mais rien de spécial. La vérité est, chérie, j'ai apprécié ma vie. J'ai passé un bon moment.
Ava GardnerJ'avais vu le moment où l'homme ne s'est pas dépouillé encore des habitudes et de la pitié humaine, où il n'est pas encore habité par le démon, mais où déjà celui-ci s'approche de lui et trouble son âme. Quel démon ? Tous ceux qui ont vu de près la guerre ou l'émeute le connaissent : chacun lui donne un nom différent, mais il a toujours le même visage, hagard et fou, et ceux qui l'ont aperçu une fois ne l'oublieront plus.
Irène NémirovskyParu dans Le Figaro du 4 juin 1938 et recueilli dans Suites françaises(New York, Brentano?s, 1945) par Léon Cotnareanu.
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